Thème « violence »
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À l’école, personne n’aime Nejma. Elle est nulle, méchante, moche et mal habillée. En plus, elle crache par terre. Mais on ne lui dit jamais rien, parce que tout le monde sait qu’il ne faut pas pousser à bout une personne qui n’a rien à perdre.
Aussi, le jour où Jonathan Suyckerbuck, grand amateur de catch, est retrouvé inconscient derrière la porte de la cantine, c’est Nejma qu’on accuse. Elle a beau se défendre, personne ne la croit. Elle fait une coupable idéale.
Mais Nejma n’est pas aussi seule qu’elle veut bien le croire. Au tour de son voisin et ami Rajanikanth, alias Raja, alias Freddy, de faire quelque chose pour Nejma, elle qui l’a toujours protégé.
Sans oublier Isidore, le vigile du supermarché dans lequel Nejma se réfugie après les cours. Isidore estime Nejma. Il la voit différemment. Il a même prononcé ces mots magiques : « Tu n’es pas grosse. Tu es puissante. »
Saïd a aimé le travail bien fait, la langue française et ses richesses, les dictionnaires, la beauté sous toutes ses formes. Il a aimé être un bon élève. Mais c'était avant. Il y a longtemps. Il y a un an. Avant le collège Camille-Claudel, la foule hurlante de ses mille deux cents élèves, le racket, la fatigue, le mépris et la haine de ceux qui veulent tuer tout ce qui est beau. Au collège, Saïd a changé. Ce n'est pas qu'il ne veut plus réussir et s'en sortir. Il le veut toujours, de toutes ses forces. C'est juste que, des forces, il en a de moins en moins. Tout seul, il sait qu'il n'y arrivera pas. Alors il s'accroche à ce qu'il peut : une sortie à Paris au musée d'Orsay, un tableau qui représente des fleurs blanches sur un fond noir, son ami Antoine qui baigne dans la culture, le caractère d'un prof qui ressemble à l'acteur de Mission impossible... Sauver Saïd de l'échec et du désespoir, est-ce vraiment mission impossible ?
Jordan, dit Bouboule, et Arthur, dit Quatzieux, n’ont aucune raison d’être amis. L’un est en échec scolaire et ne songe qu’à manger ; l’autre est premier de la classe et soigne à l’excès son vocabulaire. Pourtant, ils ont un point commun qui les rend inséparables. Tous les deux ont le même tortionnaire. L’affronter, ils n’y songent pas. Alors ils l’évitent en se cachant dans un container. Jusqu’à quand durera leur calvaire ?
Elle n'a pas le choix, Annabelle. Depuis la ferme où elle habite, pour se rendre à l'école avec ses deux petits frères, elle doit traverser la Combe aux Loups. Tout le monde a oublié depuis longtemps pourquoi cet endroit de la forêt s'appelle ainsi. Mais il y rôde toujours des créatures un peu sauvages : Betty, une fille experte en mauvais coups, et Toby, un marginal, un silencieux, vétéran du premier conflit mondial, que la violence des combats a laissé hébété.
Aux Etats-Unis, en 1943, la guerre est une réalité lointaine. Mais, certainement, un drame se prépare non loin d'Annabelle. Et quand on va avoir douze ans, on n'est pas encore très armé face aux mystères et aux cruautés de la vie.
Nils Hazard, le héros de « Dinky rouge sang », de « L'assassin est au collège », et de « Scénario catastrophe » (entre autres aventures), a souvent eu l'occasion de s'intéresser à d'autres domaines que sa spécialité, les Etrusques. Son goût du risque l'a maintes fois sorti de son amphithéâtre de la Sorbonne et lui a fait découvrir des choses aussi diverses que les concerts de rap ou les rouages des sectes. Mais il est un milieu où on ne l'attendait pas vraiment : celui des agences de mannequins. Précisons que son amie Catherine Roque, qui change de métier tous les six mois, a décidé d'y tenter sa chance. Pour l'instant, elle n'a réussi à décrocher que des publicités pour de l'électroménager et de la purée en flocons, qui laissent Nils perplexe. Depuis quelque temps, un inconnu envoie des poupées Bardy piégées à de célèbres top models. Claudia Fisher, Estelle Sunday, Maori Cannell ont déjà été visées. Nils Hazard ne s'intéresse pas outre mesure à cette affaire... jusqu'à ce qu'il soit lui-même victime d'un attentat, dans le hall de la Top Ten Agency où il était venu rapporter un book égaré. Le colis qui attendait sa destinataire à l'accueil a tué une hôtesse et en a gravement blessé une autre. Le commissaire Berthier enquête et Nils, à peine remis, se garde bien entendu de lui confier tout ce qu'il a dans la tête. Ange, ce mannequin de seize ans au comportement étrange, est-elle la responsable ? Que sait-elle exactement ? Pourquoi donne-t-elle rendez-vous à Nils à trois heures du matin ? En tentant de résoudre le mystère, Nils se fait harceler par un photographe louche, se déguise sans grand succès en voyou fasciste et prend un certain nombre de coups. Mais il y a peut-être plus grave : il se met à porter Steppe, l'after shave « des hommes qui n'ont pas froid aux yeux », et il n'est pas tout à fait exclu qu'il succombe au charme de la belle Ange...
Personne ne s’imagine mourir d’un coup, forcément. Personne ne sait ce que contient le sac de Norbert. Sauf nous trois, Lalie, Jordan et moi, David. Et Norbert bien sûr puisqu’il a osé la prendre et l’emporter en classe avec lui, cachée dans son sac. « Il est complètement malade. Il peut nous tuer d’une seconde à l’autre. »
Quatre amis découvrent une grenade dans un vieux manoir datant de la Deuxième Guerre mondiale. Que faire avec cette grenade ? La laisser là ou l’amener au collège quand on est soi-même sur le point d’exploser ?
La bibliothèque du lycée. C’était mon sanctuaire. L’abri sûr en cas de coup dur, le lieu saint à l’abri du vulgaire. C’était mon terrain de chasse favori, depuis que j’y avais découvert un gros livre relié de maroquin vert qui portait sur le dos ces lettres d’or : Amours des dieux et des héros. Je revenais toujours consulter ce livre, rêver à ces amours. M’éblouir d’images jusqu’à me brouiller la vue et la raison. Or, il arriva qu’un jour le livre disparut. Ce livre était ma machine à rêver. Qui avait pu m’en priver, sous prétexte d’un exposé banal, d’une simple lubie ?
Voici la suite tant attendue de "La guerre des chocolats", roman qui a fait date par son portrait sans concession du pouvoir et de ses victimes. Robert Cormier nous emmène à présent au-delà de la guerre des chocolats aux conséquences dévastatrices, dans cette école de Trinity où le sombre drame s'achemine vers une conclusion bouleversante.
L'année scolaire s'achève. Pour les élèves, pour Frère Léon, le nouveau directeur, pour les membres de l'organisation secrète appelée les Vigiles ; la vente des chocolats n'est plus qu'un souvenir. Mais pour Jerry Renault, brutalement molesté parce qu'il a défié les Vigiles, et pour tous les autres enchaînés dans le tourbillon de la cruauté, de l'intrigue et de la fourberie, la violence et l'humiliation de ces événements passés restent encore présentes. Seul Archie Costello, qui commande les Vigiles, semble inchangé. Distant, imperturbable, machiavélique. Archie continue à manipuler sans effort la vie des autres. Mais Obie, qui en était le bras droit, commence à prendre des distances. Cherchant à mettre l'invulnérable Archie en position de faiblesse, Obie est conduit à un acte de vengeance désespéré et forcé d'affronter - et de reconnaître - le visage démasqué du mal.
"Après la guerre des chocolats", roman à suspense, provocateur et convaincant, réaffirme avec force le talent de Robert Cormier qui sait nous fasciner, nous déranger et nous surprendre.
D'un côté, les méchants : quatre hommes masqués, armés jusqu'aux dents, des preneurs d'otages, des terroristes, des monstres. En face, les bons : l'armée américaine, généraux, agents secrets, tireurs d'élite, des humains. Au milieu, les victimes. Seize enfants de cinq ans dans un bus détourné, arrêté sur un pont, et la jeune fille remplaçante, morte de peur, qui les conduisait au centre de loisirs, ce matin d'août. Mais si les choses n'étaient pas aussi simples ?
Deux hommes sont dans un mirador tout confort. Ils maintiennent la sécurité d’un Village protégé par une muraille. À leurs pieds, des gamins qui vivent du mauvais côté viennent fouiller dans les ordures pour survivre, au risque de se faire tirer dessus, et tuent l’ennui en faisant des parties de baby-foot imaginaires. Il y a un passage dans cette muraille. La petite Anna, qui habite le Village, l’a traversé pour aller chercher son chat égaré. Sa grande soeur part à sa recherche.
Il revient de loin, Edward. Jusqu’à l’âge de 7 ans, il a vécu enfermé dans un appartement avec sa mère, sous l’emprise d’un homme alcoolique et violent. Lorsqu’il est délivré de son bourreau, il peut enfin découvrir le monde qui l’entoure. Mais est-il libre pour de bon ? Recueilli par les services sociaux, puis ballotté de famille d’accueil en famille d’adoption, Edward se construit en tentant d’oublier son passé. Mais au fil des années, ce passé le suit pas à pas et ne cesse de se rappeler à lui. La force, le courage et la volonté lui suffiront-ils pour lui échapper ?
Lorsqu’il se réveille au Village, Oliver « Boo » Dalrymple est à peine surpris. Son cœur malade, croit-il. Mais quelque temps après son arrivée dans cet au-delà réservé aux trépassés de treize ans, le jeune garçon découvre, horrifié, qu’il a été victime d’une fusillade. Pire encore : son assassin pourrait bien se trouver lui aussi au paradis. Avec l’aide de Johnny, un camarade de classe arrivé au Village peu de temps après lui, Boo se lance dans une chasse à l’homme pour retrouver le mystérieux « Gunboy » qui leur a ôté la vie. Mais dans cette antichambre de la mort où les fenêtres brisées repoussent comme par magie et où le ciel demeure éternellement gris, les apparences ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être…
Imaginez. La tête des gens est pour vous comme une chambre dans laquelle vous vous promenez naturellement, au milieu de pensées secrètes et d’ogres aux dents de cisaille. Vous vous appelez Mélusine. Vous écoutez dans les têtes.
La malchance vous poursuit depuis votre naissance. Tout bascule sans cesse dans la poisse. D’ailleurs, vous venez d’être enlevée par un vampire. Votre prénom est Framboise. Vous savez déplacer les objets.
Vous n’avez pas de famille, plus de mémoire et pour terrain de jeu une gare où vous dérobez les portefeuilles. On vous appelle Décembre mais en fait votre vrai prénom est Tristan. Vous êtes télépathe.
Arrêtez d’imaginer. L’Université invisible vient de vous kidnapper. Cette organisation secrète s’intéresse à vos dons uniques, magiques, terribles. Pour les perfectionner, elle vous embarque sur une île mystérieuse. Désormais, votre présent et votre avenir sont ici. Car, bientôt, dans le monde d’En Bas, plus personne ne se souviendra de vous.
Martin et ses amis se doutaient bien que cela arriverait un jour, que l’un d’entre eux finirait par se faire tabasser, simplement à cause de sa façon de s’habiller ou de ses bizarreries. Ça aurait pu tomber sur Bakary, tellement bon en maths qu’il énerve tout le monde ; sur Fred, le musicien, qui se teint les cheveux en vert ; ou même sur Martin, particulièrement doué pour l’ironie. Finalement, c’est arrivé au plus gentil d’entre eux, à Erwan, le bricoleur de la bande, dont le seul tort est de porter une cravate et des chaussures cirées.
Et c’est comme si cette agression avait blessé les trois autres. Au collège, ils deviennent encore plus distants.La moindre injustice met leurs nerfs à vif. La colère circule en eux, leur donnant une énergie folle ! Ils veulent agir, mais à leur manière… forcément particulière.
Jerry est un élève de première année dans un lycée banal. Il va devenir à son insu l’enjeu d’une lutte de pouvoir entre le directeur de l’école et le chef d’une société secrète (« les Vigiles ») qui règne sur les élèves. Chacun tente de le dominer et de le manipuler pour l’obliger à vendre, ou pas, des chocolats.
Quoi qu’il fasse, il est toujours perdant et se retrouve au ban de la communauté du lycée.
Depuis leur retour d’un séjour linguistique en Angleterre, les relations entre quatre adolescents ont changé. Steph reçoit par la poste d’étranges cadeaux dont il feint d’ignorer la provenance. Fred ne le croit pas, le provoque, lui tend un piège. Entre ces deux-là , la tension monte. De son côté, Anne n’est plus amie avec Karen et s’isole. Devant son miroir, elle tente de se reconstruire. Comment en sont-ils arrivés là , tous les quatre ?