Thème « vie quotidienne »
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Quand on ne peut plus dormir entre papa et maman, il faut trouver le meilleur moyen pour devenir un grand ! Louis n'aime pas dormir dans son lit. Entre papa et maman, c'est beaucoup mieux. C'est plus chaud, plus grand, plus amusant, et c'est vraiment là que Louis fait les plus beaux rêves. Mais aujourd'hui, ses parents lui disent qu'ils sont fatigués et que ça suffit ! À partir de ce soir, Louis doit dormir dans son lit parce qu'il est grand, maintenant, et non, il n'y aura pas de dernière nuit. Louis est-il grand ? Pas encore vraiment. Mais suffisamment pour trouver une idée, une vraie bonne idée pour obtenir ce soir-là un dernier câlin de maman... le câlin qui donne le courage de devenir grand !
Voici l'histoire d'un tigre en peluche comme les autres tigres en peluche. Il suit partout son petit maître qui s'appelle Paul : dans la gadoue avec laquelle ils préparent de la bonne soupe, dans la chambre où ils font de la peinture avec plein de couleurs. Mais, pendant que Paul va prendre un bon bain, lui file tout droit dans... la machine à laver !
Mal dormi, mal au coeur, le poil raide, les yeux brillants, la tête qui tourne... voilà des raisons suffisantes pour appeler le Docteur Brosse. Il s'approche du lit de Diego et commence par l'ausculter. Puis il examine sa gorge, ses oreilles, et lui tapote le dos du bout des doigts.
« Ce n'est rien qu'une petite grippe. Dans trois jours, tu seras sur pattes. » Chic ! Diego va pouvoir jouer aux cartes avec Papa, qui est venu le garder. Au fait, quand on est malade, on doit forcément gagner, non ?
Flora n’a pas du tout l’intention de finir son assiette ce soir. Ni même de la commencer. Car ce que son Papa lui a cuisiné, c’est une verte et berk purée de brocolis. La goûter pour savoir si elle aime ? Inutile. Flora connaît très bien ses goûts. Et ce dîner-là est dégoûtant, c’est tout. Mais voilà que, vexé, le dîner s’en mêle et se met à parler… On aura tout vu ! Oh là là, il devient agressif ! Au secours !
Anton a un chapeau de magicien. Un vrai. Il va donc pouvoir faire de la magie. Faire disparaître quelque chose. Un arbre, par exemple. Anton se concentre et ferme les yeux. Quand il les rouvre, étrangement, l'arbre est toujours là. Aurait-il vu un peu grand ? Un oiseau, pour commencer, cela serait peut-être plus raisonnable. Anton se concentre à nouveau. Quand il rouvre les yeux, l'oiseau a disparu. Ça y est, Anton est magicien. Il s'empresse de le dire à Lukas, qui a le culot de ne pas le croire. Tant pis pour Lukas, c'est vraiment dommage pour lui, mais Anton va devoir le faire disparaître.
Après le délicieux, et très remarqué, "Anton et les filles", les lecteurs seront heureux de retrouver le plus keatonien des héros de livres pour enfants.
Souvent, on n’ose pas dire tout haut ce qu’on pense tout bas : que ses enfants mangent comme des cochons, que la voisine est une vieille bique, qu’on regrette de s’être conduit comme un âne…
Dommage ! Car pour peu qu’un papa se laisse aller à pousser son cri de révolte quand ses trois enfants se battent à table à coups de yaourts : « Bande de cochons ! », aussitôt les voilà qui se transforment en une vraie bande de vrais petits cochons ! Grouiiiikk !
Et ce n’est pas fini. Ils filent vers la forêt où les attend le loup…
C'est dimanche. Le soleil se lève à peine. Lucille est réveillée, bien réveillée, et obligée de s'occuper toute seule puisque ses parents refusent d'ouvrir l'oeil. Elle décide de préparer un délicieux petit déjeuner...
Les choses que Fillette aime : les locomotives à vapeur, les nuages de fumée, les sifflements stridents, les passerelles métalliques, avoir peur.
Les autres petites filles (de deux à six ans), les animaux en peluche, être maîtresse d’école. Le silence des bibliothèques, le silence de la neige, le silence du matin.
Arriver la première au jardin d’enfants, ne pas être grondée par sa maman, avoir la paix. Regarder les fleurs de l’étang, sucer son pouce, pleurer, rêver peut-être…
Stop ! Ça suffit ! À bas la routine ! S’habiller tous les matins ? Aller à l’école tous les jours ? Manger du vieux poisson et des brocolis ? Se coucher à une heure raisonnable tous les soirs ? C’est terminé. Une nouvelle vie doit commencer. Au début, les parents ne sont pas pour. Mais ils cèdent rapidement, en voyant combien leur vie à eux devient plus facile. Hmmm ! Un pyjama, des jeux infinis, des chips, des bonbons : c’est le bonheur, non ? Euh... non. NOOON !
La rivière coule, les insectes et les oiseaux volent et planent, les grenouilles sautent, les poissons frétillent, les enfants jouent, le pêcheur arpente les bords… Tout bouge dans ce paysage, sauf Petit rocher. Impassible, immobile, solide comme un roc, discret comme un caillou, il est si calme qu’il attire les autres. Ils viennent se poser sur lui, se réchauffer. La nuit tombe, le jour se lève. Petit rocher demeure.
Tous les matins c'est la même chose, et Maman rouspète : « Rosalie, réveille-toi ! » « Rosalie, bois ton lait ! » « Rosalie, habille-toi ! »
Maman en a assez de rouspéter. Ce matin, elle est partie en laissant là sa fille chérie. Pas de panique, se dit Rosalie : un t-shirt, des chaussettes, des chaussures, une jupe... Et la voilà qui court vite, très vite, à l'école. Mais en s'habillant, elle a juste oublié un petit quelque chose. Maman aussi a oublié un petit quelque chose, un petit quelque chose de très important. Alors elle court, elle aussi, vite, très vite, à l'école.
Demain, sûrement, tout ira mieux : Maman n'oubliera pas d'embrasser sa fille chérie. Rosalie pensera à mettre une culotte. Et puis demain, il y aura vraiment école. Parce qu'aujourd'hui, c'est mercredi !
Même quand on aime l’école et quand la journée a été bonne, on est parfois bien content de rentrer dans sa maison chérie et de retrouver les siens. Voyez ce petit garçon : tout le monde lui fait la fête. Son chien, bien sûr, mais pas seulement ; les autres animaux aussi, chatons, poissons, sans oublier ses jouets préférés. Et ses parents alors ? Ils ne sont pas loin… surprise !
Avec douceur, avec vigueur, Yuichi Kasano fait du retour de l’école un moment de célébration, de fête et de joie.
Un cadeau attend Zou chez ses grands-parents. C'est un vélo tout neuf !
Tiens, qui est cette très vieille personne, encore plus âgée que sa mamie et son papi ? C'est sa bisaïeule. Zou refuse de l'embrasser et ne veut pas dire pourquoi. Il préfère aller voir son vélo. Mais son vélo n'est pas prêt. Grand-père doit fixer les stabilisateurs. Les stabilisateurs, c'est pour les bébés, pense Zou, ou pour les vieux, se dit-il en regardant la bisaïeule s'approcher en s'appuyant sur son déambulateur.
Comment Zou apprendra-t-il à faire du vélo sans stabilisateurs ? C'est une question grave, et il se pourrait que cette chère bisaïeule connaisse la réponse.
Il y a un crocodile dans la vie de Zuza. Quoi qu’elle fasse, il est là. Qu’elle veuille border tous ses bébés pour la nuit, qu’elle cherche à récupérer son dîner qui s’en est allé par la fenêtre, qu’elle prenne soin de se savonner jusqu’aux orteils dans sa baignoire… Crocodile… Crocodile ! Au début, il dérange, il gêne, il encombre. Mais, chaque fois, Zuza lui fait une petite (grande) place, le laisse jouer son rôle de crocodile familier, et tout finit par s’arranger !
Il y a des matins comme ça, où rien ne va. Pas envie de se lever. Pas envie de se laver. Pas envie de s’habiller. Pas envie de manger. Pas envie de se dépêcher. Pas envie de marcher. Pas envie de travailler. Envie de rien. Oui, les enfants aussi ont leurs coups de blues, leurs jours sans.
Et ce matin, c’est le cas de Nathan. Mais parfois, il suffit d’une phrase ou deux pour qu’un jour gris prenne des couleurs. Un mot d’espoir glissé à l’oreille. Ou mieux encore, ceux qu’on écrit, en vidant son coeur…
Hector n’a pas de chance : il est champion du monde d’ennui alors qu’il déteste s’ennuyer. Le pire jour, c’est le dimanche. Hector rêverait d’être ailleurs, loin. Mais non, le dimanche, c’est déjeuner chez tante Gertrude. À l’école, ce n’est pas franchement mieux. Sans cesse, il s’ennuie. Mais un jour, la maîtresse leur dit : « Vous avez vécu huit ans dans cette vie qui est unique et que l’on ne vit qu’une seule fois. » Ces mots retentissent dans la tête d’Hector. Et si sa vie changeait ? Fini l’ennui pour Hector ?