Thème « vie quotidienne »
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« La première fois que j’ai lu les aventures d’Anastasia Krupnik, je m’ennuyais dans un petit bureau poussiéreux, je me demandais quel était le sens de ma vie. Si ça allait durer toujours. J’étais grognon. Dégoûtée de tout. Donc je venais de rencontrer une fille rousse et intelligente avec des lunettes de hibou. Avec des parents injustes, drôles, tolérants, humains. Une fille normale, avec un frère normal, une maîtresse normalement effrayante et pudibonde. Normal.
So what ? À quoi tenait cette force communicative ? Aux dialoÂgues ? Ils sont sans le moindre souci de politically correct, sans la moindre censure. Sexualité, politique, religion, rien ne fait peur à l’auteure. Ils sonnent plus vrai que nature. Un ping-pong permanent. Des situations hilarantes ? Bien sûr. À base de hamsters, d’apparitions de Sigmund Freud, de passages de girafes, d’élans amoureux, de jalousies horribles. »
Geneviève Brisac
Anastasia est la compilation de trois tomes :
Anastasia Krupnik, Anastasia, demande à ton psy !, Une carrière de rêve pour Anastasia.
Jamais Anastasia n'a été aussi furieuse que le jour où ses parents lui ont annoncé qu'elle allait avoir un petit frère. Elle est allée dignement dans sa chambre, a décroché son poster d'orang-outang et a commencé à faire ses valises. Ses parents lui ont tout de même suggéré de passer Noël à la maison. Ils lui ont également dit que si elle restait, elle pourrait choisir le prénom du bébé. C'est alors qu'Anastasia a eu l'idée du prénom le plus abominable, le plus calamiteux qui puisse exister. Elle s'est empressée de le noter dans un endroit secret. Ensuite, elle a ajouté "les bébés" dans la liste des choses qu'elle déteste. Anastasia met très souvent ses listes à jour. C'est nécessaire. Des événements totalement imprévisibles et indépendants de votre volonté peuvent vous faire changer d'avis. Qui aurait cru, par exemple, que des mots comme "les garçons", "Mme Wesvessel" (la maîtresse), et même "les bébés" puissent un jour être rayés de la liste des choses qu'Anastasia déteste ?
La saga d'ANASTASIA dans l'ordre : "Anastasia Krupnick", "C'est encore Anastasia", "Anastasia à votre service", "Anastasia, demande à ton psy !", "Anastasia connaît la réponse", "Le nom de code d'Anastasia", "Anastasia avec conviction".
1953. Alain Moret, huit ans, vit dans une petite ville française. Bientôt, ses parents achèteront leur première voiture et changeront d’appartement. Ils auront la télévision, le téléphone, un réfrigérateur, une salle de bains. Les années cinquante sont celles du passage à la modernité.
Oui, Anatasia Krupnik est encore en guerre contre ses parents. Leur dernière idée ? Déménager pour aller habiter en banlieue. Anastasia les a menacés, une fois de plus, de sauter par la fenêtre - rappelons que les Krupnik habitent au rez-de-chaussée - et cela ne les a même pas ébranlés. Alors, en désespoir de cause, Anastasia a expliqué à son petit frère Sam que son doudou ne survivrait pas au déménagement. C'est bien connu, les déménageurs refusent de transporter les doudous. Mais le problème avec les parents d'Anastasia, c'est que même au coeur de leurs décisions les plus dictatoriales, ils restent démocratiques. En l'occurence, la nouvelle maison doit plaire à tout le monde et chacun a le droit d'émettre un souhait. « Je veux que notre nouvelle maison ait une chambre avec une tour », dit Anastasia. A sa grande surprise, non seulement son père note très sérieusement cette requête dans son calepin, mais en plus, une maison avec une tour, en banlieue, ça existe. L'heure du déménagement a donc sonné, et finalement, c'est une épreuve à laquelle Anastasia résiste plutôt bien, et même mieux que ses parents. Dans la maison voisine vit une vieille dame qui ressemble à une sorcière et qui porte un drôle de nom: Gertrude Stein. Comme elle semble à la fois très seule et peu désireuse de contacts humains, Anastasia décide de lui offrir un cadeau idéal : un poisson rouge...
Je m’appelle Lilas Fleury, j’ai onze ans, j’entre en sixième et je ne suis plus un bébé. J’ai un grand frère un peu fleur bleue, une soeur qui s’habille d’un tutu et des parents qui se chicanent ; à la maison ce n’est pas toujours joli-joli. Je suis amoureuse en secret de Clovis Buzenval, le fils de la gardienne, mais je ne suis pas du tout gnangnan. J’ai des amies à épater, et je vais organiser en février un dîner de classe exceptionnel qui changera ma vie sans chichis. Parce que les choses doivent changer. Parce que je vais grandir. Alors surtout, surtout, n’allez pas croire que je sois cucu.
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Il y a le jour où j'ai été le chef, le jour où le maître a martyrisé Thierry Balleau parce qu'il avait fait 19 fautes à sa dictée. Il y a le jour où j'ai voulu épouser Arthur (le squelette du cours de biologie des sixièmes) et le jour où j'ai du chercher CINQ péchés pour aller à confesse. Et il y en a d'autres, des jours, plus injustes les uns que les autres, plus drôles parfois aussi (comme quand Mamy a perdu au Scrabble) mais il faudrait un livre pour tous les raconter. Qu'on pourrait appeler, par exemple, « Le jour où j'ai été le chef ».
C'est une vallée immense, dont les habitants s'appellent les Touim's. Suivez bien la carte. Vous pourrez regarder pousser les Arbres-à -bateaux. Si vous aimez les labyrinthes, rendez-vous dans la Forêt de l'Enfant Perdu. Rencontrez aussi Soyotte et Smargoule...
Dans ce récit autobiographique, Chen se penche sur son passé. Il coule une enfance paisible en compagnie de ses grands-parents. Sa grand-mère cuisine, coud, élève des poules. Sa grande sœur sourde-muette lui apprend à dessiner. Et puis, un matin, la radio annonce que le président Mao a proclamé la Révolution culturelle. La propagande et les violences commencent. Il faut brûler les souvenirs et les livres. Les gardes rouges humilient en pleine rue intellectuels et propriétaires... Et voilà que, à huit ans, Chen doit à son tour devenir garde rouge.
Chen a longtemps porté ce projet de livre autobiographique. Ce sont les enfants rencontrés en classe, curieux de son enfance, de la Chine et de son histoire contemporaine, qui l’ont convaincu de s’y lancer. Dans ce récit, Chen livre les faits bruts, sans porter aucun jugement, en montrant des générations sacrifiées sur l’autel du communisme, mais qui incarnaient un idéal sans équivalent dans le monde contemporain.
Émilien déteste les mioches qui pleurnichent. Il s'est juré de ne jamais devenir père. Un père, d'ailleurs, il ne sait pas ce que c'est. À quatorze ans, il vit seul avec sa mère depuis toujours. Alors, pourquoi jouer les baby-sitters ? Par appât du gain, bien sûr. À 15 euros de l'heure, il pourra bientôt se payer le PC de ses rêves... Mais voilà , à force de mentir en se faisant passer pour un as du baby-sitting et de potasser « Comprendre et aimer son enfant », Émilien se prend au jeu. Et il s'intéresse si bien au petit Anthony, six mois, le bébé qui ne sourit jamais, qu'il finit par s'y attacher. Hélas, c'est au moment où il prend vraiment goût à la garde d'enfants que sa mère l'empêche de continuer. Études obligent. Émilien trouve un compromis : donner des cours de français à une dyslexique. Lui qui cherchait à parfaire sa connaissance du coeur humain, il va être servi...
Et revoici Émilien, le héros de « Baby-sitter blues » ! Sa mère pense qu'il manque cruellement d'un modèle identificatoire masculin. D'un homme, quoi. D'un père. Lui qui n'a même pas une photo du sien. Aussi, tandis qu'elle essaie en douce de refaire sa vie, elle envoie Émilien en vacances chez son oncle Marc, beau gosse, sportif, tellement dans le coup qu'il en est fatigant pour un adolescent. Mais, quand Émilien commence tout juste à le supporter, sa mère le rappelle d'urgence : Martial, le père inconnu, vient de mourir en laissant un tas de pièces d'or, sesterces, écus... accumulés en écumant les bords de Loire. Martial était joueur : Émilien doit se montrer digne de son héritage en traversant un véritable jeu de piste pour le retrouver, avec messages codés, pièges et rebondissements. Escorté de Valentin, l'énigmatique frère de Martial, Émilien va croiser sur sa route des vieilles dames qui font tourner les tables, un curé pendule et un moulin fantôme ! Alors, ce trésor, on va le chercher ?
À treize ans, Anastasia se sent prête pour vivre une histoire d'amour avec un homme. Plus précisément un JHC, ou Jeune Homme Célibataire, déniché dans les petites annonces de la New York Review of Books. Elle-même signe ses lettres JEFICAS, qui signifie selon les jours « Jeune, Enthousiaste, Féminine, Intelligente, Célibataire, Ambitieuse, Sociable » ou bien « Jalouse, Éblouissante, Fabuleuse, Impatiente, Chaleureuse, Amicale, Sociable ».Dans le même temps, Anastasia se prépare fiévreusement à l'événement de l'année : le mariage de la soeur de son amie Meredith. Elle a été choisie pour être sa demoiselle d'honneur junior, en robe bleue, bouquet et chignon. Et si Anastasia a renoncé au mariage, elle n'a pas renoncé à aller au mariage des autres...
La saga d'ANASTASIA dans l'ordre : « Anastasia Krupnick », « C'est encore Anastasia », « Anastasia à votre service », « Anastasia, demande à ton psy ! », « Anastasia connaît la réponse », « Le nom de code d'Anastasia », « Anastasia avec conviction ».
À la campagne, il y a Pépé et Mémé. Avec Mémé, c’est super. On va au jardin, on donne à manger aux poules, on ramasse leurs oeufs et, le soir, on joue aux cartes pendant que Pépé s’endort devant la télé. Avec Pépé, c’est autre chose. Pas facile de savoir s’il est en colère ou content. Maman dit qu’il est comme un ours : il râle et il ronchonne, mais en vrai, il n’est pas méchant, il est tout doux. Comme un grand ours… Avec Pépé, on va aussi à la pêche, et il arrive même qu’il fasse des bêtises qui mettent Mémé (un peu) en colère. Finalement, Pépé est un super-Pépé !
La petite famille est la chronique tendre et pleine d’émotion de la relation privilégiée entre grands-parents et petits-enfants. Les trois tomes de la série s’attachent à décrire un quotidien fait de minuscules aventures et de moments partagés qui, quoi qu’il arrive, et même au-delà de la disparition de ceux qu’on aime, permettent aux enfants de grandir et de « se bâtir ».
Aujourd’hui tout le monde est là : Pépé et Mémé, bien sûr, mais aussi Papa, Maman, ma petite soeur… et Tonton. Lui, je l’adore, surtout lorsqu’il propose de faire une partie de foot dans le jardin.
– Attention à mes tomates ! grogne Pépé.
– Eh bien, biquet, répond tonton avec un large sourire, on a oublié ses heures de gloire ?
Moi, je n’y comprends rien. De quoi tonton parle-t-il ? Et surtout, pourquoi appelle-t-il Pépé « biquet » ? Alors Pépé est allé chercher un vieux film dans lequel on le voit jouer au foot quand il était jeune. Tout jeune, sans même un cheveu blanc. Il courait si vite que tout le monde l’appelait « Biquet ». Les pépés aussi ont été jeunes, je n’y avais jamais vraiment réfléchi ! Dans la foulée, on a fait une partie de foot avec lui. Pépé courait beaucoup moins vite que dans le film. Mais peut-être un peu trop vite quand même… Dans la nuit, les pompiers l’ont emmené à l’hôpital. Je me demande si c’est à cause de la partie de foot. À cause de moi ? Mémé dit juste que c’est à cause du coeur de Pépé.
La petite famille est la chronique tendre et pleine d’émotion de la relation privilégiée entre grands-parents et petits-enfants.
Les trois tomes de la série s’attachent à décrire un quotidien fait de minuscules aventures et de moments partagés qui, quoi qu’il arrive, et même au-delà de la disparition de ceux qu’on aime, permettent aux enfants de grandir et de « se bâtir ».
C’est l’été, c’est les vacances. On part très tôt, bien avant qu’il fasse jour. Tata habite loin, tout là -bas, au bord de la mer, parce que le métier de son amoureux, c’est de fabriquer des huîtres. La mer, j’aime bien. Il y a du sable, du soleil, des vagues, des crabes… La seule chose que je n’aime pas, ce sont les huîtres ! Mais les parents, eux, ils adorent. Justement, ils étaient en train d’en manger quand le téléphone de maman a sonné. Rien qu’à sa voix, j’ai tout de suite compris qu’il se passait quelque chose de bizarre. Elle a demandé à Tata de nous emmener faire un tour, et quand elle nous a rejoints sur la plage, elle avait les yeux tout rouges. Elle nous a expliqué que le coeur de Pépé s’était arrêté et que les médecins ne pouvaient plus le redémarrer. Moi, je ne veux pas que Pépé il soit mort. J’avais encore plein de choses à lui dire.
Au Bénin, sur le lac Nokoué, à quelques kilomètres de Cotonou, se trouve le village lacustre de Ganvié, dont le nom signifie : « la collectivité est sauvée ». On l'appelle aussi « la Venise de l'Afrique », et des milliers de touristes y viennent chaque année, fascinés par les maisons sur pilotis, le ballet des pirogues, et aussi par la tradition vaudou. Mais pour Pino, le héros de ce livre, Ganvié est simplement l'endroit où vit sa famille depuis des générations. Son cousin Alladaye, lui, vient du plateau d'Abomey, où les habitants ont peur de l'eau. Aujourd'hui, c'est jour de marché, et les deux garçons ont rendez-vous. Pour la première fois, surmontant sa peur, Alladaye va « pêcher à la monnaie » avec d'autres garçons du village. La légende dit que « le premier qui plonge à l'eau avant le début du marché aura toujours les faveurs des dieux du lac »...
Il a beau porter le nom d’un héros grec, Ulysse n’a aucun goût pour l’aventure. Rester à la maison en compagnie de son chat serait même l’une de ses activités préférées. Mais lorsque Farine disparaît, Ulysse n’hésite pas à braver tous les dangers pour le retrouver. Le voilà prêt à frapper à la porte du garçon d’en face, celui qui collectionne les squelettes, et même à demander de l’aide aux frères Mizzi, les chefs du Clan des Démolisseurs. Toute une aventure !