Thème « université »
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Cela fait cinq ans que Marianne, l'héroïne de Quand je pense à la Résistance, sait qu'elle veut devenir juge pour enfants. Elle vient d'entrer en faculté de droit, où elle n'a pas encore réussi à se faire d'amis, parce qu'elle travaille sans cesse et de toute façon n'ose parler à personne. Lorsqu'elle rentre chez ses parents pour les vacances de Noël, elle trouve dans sa chambre un article de journal que son père a découpé. Il y est question d'un jeune juge, Jacques Bidalou, qui est sur le point d'être dessaisi d'une affaire dans laquelle il lutte pour que des travailleurs immigrés expulsés en plein hiver, puissent réintégrer leurs logements. Marianne s'émeut, s'enthousiasme et écrit au juge. Contrairement à ce qu'elle pense, elle est la seule à lui avoir témoigné son admiration et proposé son aide et, à son grand étonnement, il lui répond et lui donne même rendez-vous à Paris. C'est le début d'une aventure qui n'a guère de points communs avec le droit tel que Marianne l'apprend dans les salles de cours, et qui va affermir sa vocation en lui donnant toutefois un aspect inattendu.
Non, vous n'êtes pas dans un parking, vous êtes bien au département LSH, Deug mention lettres modernes. Vous avez même réussi à trouver la salle 222, bravo. " Le Deug comporte 11 à 12 modules, le poids total des modules devant impérativement être de 20, dont 8 modules obligatoires de premier et de deuxième niveau, 1 mo-dule optionnel de poids 2, ou éventuellement, 2 de poids 1... " Vous voyez, il y a même quelqu'un pour tout vous expliquer. Si vos parents sont norma-lement généreux, une fois que vous aurez payé votre loyer et votre carte orange, il vous restera, comme à Hélène, 33,333 francs par mois pour vivre. Et ne vous laissez pas envahir par la mélancolie, vous reverrez vos parents à Noël, si vous parvenez à monter dans un TGV surpeuplé. Eh oui, les grèves... C'est un fait, la vie d'étudiant ne ressemble pas toujours à l'idée qu'on s'en faisait en roulant, cheveux au vent et bac en poche, sur une petite route de cam-pagne. Pour ne pas craquer, il faut se trouver de sérieuses motivations, ou bien un genre de gourou, comme le prof de théâtre de Camille, qui aime expliquer que " La matière est excrémentielle " et qui a entrepris de révolutionner le théâtre et le monde par la même occasion. Mais attention, si vous avez choisi le théâtre, vous n'avez pas droit à l'amour, cette " illusion bourgeoise " n'étant pas compatible avec " l'exercice de communauté qu'est le théâtre ". Hélène, elle, a choisi le structuralisme et sa grande prêtresse, Olga Diamant, grammairienne divine et ô combien charismatique. Avec elle on peut facilement passer trois mois sur une strophe de Baudelaire. C'est peut-être ça, le bonheur, la vie d'adulte, la liberté. De toute façon, il est trop tard pour revenir en arrière : lorsqu'elle est rentrée chez elle pour les vacances, Hélène a exploré sa bibliothèque et a dû s'avouer qu'elle n'aimait plus Les quatre filles du Dr March.
« Vous faites plus que vos dix-neuf ans… » C’est le genre de remarque qu’Ari aime entendre. Dix-neuf ans, elle ? C’est ce qu’indique sa fausse carte d’identité, mais en réalité elle a cessé de vieillir à l’âge de treize ans en devenant vampire. Ari, une éternelle adolescente ? Il n’en est pas question. Aujourd’hui, elle veut profiter des avantages de l’âge adulte, s’afficher au bras de celui qu’elle aime, vivre au grand jour sa liaison avec Neil Cameron, ce séduisant politicien en passe d’être le premier vampire candidat à la Maison-Blanche.
Chez les vampires, les ambitions de Cameron attisent les rivalités entre les Sanguinistes, les Nébulistes et les Colons. Chez les humains, ses adversaires politiques traquent ses moindres faux pas. Pour éviter de nuire à la campagne électorale, Ari doit se sacrifier… à moins de vieillir de quelques années. On parle d’une nouvelle hormone de croissance, le Septimal. On raconte qu’une injection suffit pour stimuler le processus normal de vieillissement. Une intervention sur Ari, mi-vampire, mi-humaine, n’est pas sans risques. Surtout si, cachés dans l’ombre, certains ont eu vent de son projet.
Le temps des disparitions est la suite de La société des S.
Ari broie du noir. Les proches de la jeune vampire ont une fâcheuse tendance à disparaître ces temps-ci. Raphaël Montero est parti. Après avoir échappé de peu à un incendie criminel, son père a préféré s’exiler en Irlande, laissant Ari seule avec sa mère. Kathleen, sa meilleure amie, a été assassinée. Et son meurtrier, le vampire Malcolm, est toujours en cavale. Mysty a disparu une nuit de pleine lune. Ari fréquentait la jeune humaine depuis quelques semaines et était parvenue à s’en faire une amie. Pour la première fois depuis qu’elle est vampire, Ari ressent de la peur… À plusieurs reprises, elle a croisé une camionnette avec à son bord un type au crâne rasé et aux yeux vides qui semblait la surveiller. Ce n’était ni un humain ni un vampire. Alors quoi ? Elle décide de quitter la Floride et de se fondre dans l’anonymat de l’université de Hillhouse. Sur le campus, Ari va rencontrer Walker le magicien et des étudiants accros à une nouvelle substance : le V…
Quand Susan Hubbard parle de ses personnages, elle dit souvent MES vampires. Il est vrai que cette professeure de littérature américaine a créé des vampires d’un genre nouveau : des vampires intellos ! Érudits et cultivés, ils aiment parler littérature et philosophie, s’intéressent à la science et se mêlent de politique.