Thème « théâtre contemporain »
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Louis Beaugosse est heureux. C'est le jour de son mariage. Il a rendez-vous avec Anabelle pour la conduire devant monsieur le Maire. Mais Anabelle n'est pas là. À sa place, Louis rencontre ses deux soeurs qu'il ne connaissait pas. Elles sont laides, vraiment laides, et bizarres, très bizarres. Louis est paniqué. Les soeurs d'Anabelle le dévorent des yeux.
Matti vit dans le marais, ces terres où personne ne s'aventure. On prétend même qu'il y est né. On dit aussi qu'il est le fils d'un crabe et d'un crapaud. Ni père, ni mère, jamais de tendresse, Matti est devenu mauvais. Le vieux Barbaud ne l'aime pas : Matti noie ses brebis dans le marais, lance des cailloux, sans jamais rater sa cible, sur tous ceux qui l'approchent et même sur la bielleuse, l'oiseau de Barbaud, l'ancêtre de la tourterelle. Pourtant, Piot aime Matti, il voudrait en faire son ami. Il est le seul à lui rendre visite, mais Matti se moque de lui. Ce que Matti voudrait, c'est un ami fort, courageux, au coeur doux, un ami immense : un géant qui le promènerait dans le pays comme un prince. Piot, décidé à sauver Matti du désespoir, relève le défi. Il trouvera un géant pour Matti. Il demande de l'aide au vieux Barbaud. Une légende raconte qu'autrefois, il y a très longtemps, vivaient dans le pays des géants très doux. Puis les hommes sont venus et, très vite, les géants n'ont pu supporter cette vie agitée. Trop lents, trop bons, les géants, pour vivre dans la compagnie des hommes. Alors ils sont partis, mais certains ont laissé une partie de leur doux coeur incarné dans les tourterelles. Barbaud croit aux miracles. Si Piot réussit à construire un géant de sable dans des conditions précises, la bielleuse lui tiendra lieu de coeur et le géant s'animera. Par amour pour Matti, Piot entreprend cette tâche surhumaine. Quand son oeuvre est finie, il invite Matti à rencontrer le géant, et c'est bien un ami que Matti découvre sur la plage. Et pour la première fois, il rit.
La tétralogie de Catherine Zambon : La Bielleuse, La Berge haute, L'Oca, Les Rousses.
Victor a tout pour être heureux. Il est le fils unique et chéri du directeur d’un grand hypermarché, sa mère est belle, ses parents s’aiment. Il vit dans une grande maison avec une piscine. Il a un copain de foot qui s’appelle Bazouk.
Un jour, pourtant, son monde s’écroule. Dans l’hypermarché truffé de caméras de surveillance, sa mère a volé une boîte de pâté. Et tout le monde l’a vue. Même Victor.
Noam a eu un accident. Depuis, il ne peut plus marcher et il s'ennuie. Son destin n'a pas été très gentil avec lui. Mais est-ce qu'il le connaît, vraiment ? Justement, voici qu'un jour un petit bonhomme frappe très fort dans sa tête. Stupéfait, Noam le voit apparaître devant lui. Il s'appelle Camino, et c'est le destin de Noam ! Commence alors une aventure extraordinaire où il sera question de chemins, de rivières, de chantiers, de rencontres avec une clandestine et des destins maffieux ! Au bout du voyage, Noam a changé.
C'est un pays qui n'a rien de particulier sauf que tous les habitants ont un long nez. Luc joue avec ses copains au ballon et ils se chamaillent à cause d'une montre perdue. L'un d'entre eux ramasse un tract qui les prévient de prendre garde à une dangereuse épidémie qui leur ferait perdre... leur nez ! Luc n'y croit pas. Il a tort. Il le perd et dès ce moment, tous l'excluent : ses voisins, ses amis et même ses parents. Comment pourra-t-il survivre ?
Lorette passe l'après-midi à la décharge municipale. Apparemment, elle attend. Samuel s'assoit à côté d'elle. Il a envie de croire qu'elle l'attend, lui. Mais voilà, Lorette est contre toute attente : attente des prochaines notes, attente des anniversaires, attente du lendemain. Y a-t-il autre chose qui pourrait rompre ce calvaire ? Lorette cherche et Samuel est prêt à l'aider et en... attendant, ils se parlent...
Corinne Fleurot nous invite à un dialogue subtil sur l'ennui et la seule manière de l'éviter : le pouvoir des mots et de l'échange. Cette pièce a été créée en Bretagne, à Bannalec, par la compagnie L'Arbre à lune, en janvier 1999.
C’est l’histoire d’une famille trimballée sur les routes, dans une carriole. Depuis toujours, le père raconte à ses trois enfants qu’ils ont tous été chassés d’un splendide palais situé dans un pays tout aussi splendide. Dora s’en fiche de cette histoire, elle ne souhaite qu’une chose : ne plus bouger, s’arrêter, aller à l’école, au moins une année. Pavel, le petit dernier, y croit dur comme fer. Clow, le plus espiègle, celui qui se fait toujours gronder, n’y croit plus depuis longtemps. Un matin, il décide de dire la vérité à Pavel. Et ça fait mal.
Raoul et Erika ont décidé de vivre avec leurs trois enfants dans une maison isolée, au coeur de la forêt. Et cela suppose une sérieuse organisation. Erika, la mère se débat pour que les horaires soient respectés, les repas assurés, bref, que la vie soit la plus harmonieuse possible. Hélas, le plus souvent, elle craque. À cause de Raoul, son époux, qui perd la boule. Il ne va plus travailler, lit des livres étranges, disparaît la nuit. Il semble attendre quelqu'un ou quelque chose. Qui ? Quoi ?
Un jour, on a demandé à Philippe Dorin de faire une conférence sur son théâtre. Il en a profité pour raconter comment lui venaient ses histoires. Enfin, des histoires, c’est vite dit. Encore faut-il trouver les mots. Et les mots, il leur arrive de se faire attendre. Il en a profité aussi pour se rappeler des réflexions d’enfants, car, après tout, c’est à eux qu’il s’adresse. Il a lu des extraits de ses pièces parce qu’il aime beaucoup lire à haute voix devant des gens, et les faire lire aussi. C’est un auteur de théâtre, ne l’oublions pas. Il a donné également des recettes : comment inventer un langage du Moyen Âge. Ou encore comment faire des vers. Enfin presque.
Écrire, c’est comme essayer de voir une biche dans la forêt. Il faut se lever tôt, marcher longtemps sur un petit sentier pas toujours très bien indiqué, attendre pendant des heures sans bouger, recroquevillé derrière un fourré dans le froid et le brouillard de l’automne. Et la biche ne vient pas. Alors, on y retourne le lendemain. Et la biche n’est toujours pas au rendez-vous. Comme ça pendant des jours. Et puis, un matin, vous êtes à peine sorti de la maison qu’elle est là à vous attendre, buvant l’eau fraîche de la fontaine. Pour l’écriture, c’est pareil.
Une petite fille construit sa maison imaginaire. Deux minutes plus tard, elle est devenue une vieille dame. mais elle porte toujours ses chaussures d'enfant. C'est l'heure de mourir, annonce le promeneur. Déjà ? Laisse-moi juste le temps d'une pensée. Je dois retourner rendre ses chaussures à la petite fille. Le promeneur accepte. Mais la petite fille retient la vieille dame, allume sans cesse la lumière, elle ne doit pas, c'est dangereux, car le promeneur revient.
Victor découvre, un jour, au cimetière, un petit garçon caché au fond d'un trou. Il a dix ans, il est battu par sa mère et il veut mourir. Victor le convainc de sortir et le baptise Debout. Plus tard, il l'emmène au cimetière des Gitans où, par une porte, on accède à un lieu où l'on peut rencontrer d'autres mères. Debout fera ce long voyage, seul. Des mères, il en verra de toutes sortes : Reine Verticale, Mère Jardin, Mère Araignée, Mère Porte, Mère Bijoux... Mais pourra-t-il en choisir une ?
Un vieil homme, Aldébaran, originaire d'un petit village, Saint-André-du-Loing propose à un enfant, son préféré, son protégé, une balade en vélo extraordinaire. Au début l'enfant rechigne mais il est vite enthousiaste. Au cours de cette balade, Aldébaran lui apprend tout ce qu'il sait : les potins de son village, la beauté du printemps avec son cortège de fleurs sauvages, le nom de tous les oiseaux, la reconnaissance des champignons, les délicieux et les traîtres. Le vélo, c'est merveilleux et difficile, l'enfant peine mais le vieil homme lui confie les secrets de la bécane et les ruses pour ne pas flancher. Ils pédalent si bien que les voici arrivés au dernier sommet. Et qui voient-ils ? Les plus grands coureurs du Tour de France ! Aldébaran se transforme en chroniqueur sportif, il commente à l'enfant ébloui la dernière étape. L'enfant est surexcité : il pourrait y arriver, les doubler tous, gagner la course ! Pourtant le vieil homme, si près du but, s'arrête : « On ne gagne pas contre la montre. » L'enfant est furieux. Le vieil homme trouvera des arguments pour le convaincre. Ce n'est pas gagner qui compte, ce ne sont pas ces bonheurs factices qui donnent du goût à la vie. L'enfant n'est pas tout à fait convaincu. Il comprendra lorsque la nuit tombera et qu'à la belle étoile, contre lui, le vieil homme s'endormira.
Le roi est très malade. Seule l'eau de la vie peut le sauver. Il a trois fils. L'Aîné et le Puîné partent tour à tour à la recherche du remède dans le seul espoir d'être les héritiers du royaume. Le Benjamin partira lui aussi dans le seul espoir de sauver son père. Mais que peut un coeur pur contre l'ambition, la ruse, le mensonge, la cruauté d'un monde désenchanté ?
Deuxième exploration d'Olivier Py dans le monde des contes de Grimm.
Consultez le dossier « Pièce (dé)montée » sur le site Canopé
L'histoire se passe en Chine. Un soir, Zao Ming confie à son ami Shen You qu'il ne restera pas une heure de plus chez lui. Pourquoi ? Parce que la Chine change trop vite, l'argent commande tout, ses parents en sont devenus les esclaves et ne s'occupent plus de lui. Son ami le suit. Ils iront, d'épreuves en épreuves, jusqu'au bout du monde avec comme compagnons de routes des pinceaux et des mots pour dire le monde comme il va et comme on le rêve.
Il s'appelle Le Grand, elle s'appelle La Petite. Ils sont seuls au monde. Il ne leur reste plus qu'à se rencontrer, à s'inventer des fables. Pourquoi, le jour, les étoiles disparaissent ? Comment faire réapparaître le fantôme de leur mère ? Comment traverser des villes et frapper aux portes des maisons ? Ils sèment des cailloux sur les chemins et l'un d'entre eux les accompagne. Lorsqu'ils ont fait le tour du monde, ils s'interrogent. Comment donner un sens à leur histoire ?
La Tiotte et la Grande sont jumelles. Tiotte, née quelques minutes après sa soeur, souffre du désintérêt de sa mère et de la liberté dont bénéficie son aînée. Elle ne sait quoi inventer pour attirer l'attention de sa mère. Lui parler ne sert à rien, imiter sa soeur non plus. Elle s'enferme dans des souvenirs lointains où elle essaie de retrouver des signes de bonheur. Un jour, grâce à la rencontre avec un jardinier, elle a une idée, une idée lumineuse pour exister, enfin.