Thème « souvenir, mémoire »
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L'histoire de Pochée la tortue qui croyait avoir trouvé le bonheur et l'amour avant de perdre son compagnon, Pouce. Elle dut pourtant faire beaucoup de chemin, chercher des fraises des bois, lire des messages à propos de cadeaux, supporter un escargot baptisé Truc, une tortue appelée Nestor et un hérisson du nom de Pépin, avant de comprendre comment on peut être heureux de nouveau.
La grand-mère de Mathilde ne ressemble à aucune autre grand-mère. Elle ne porte pas de lunettes, ses cheveux ne sont pas gris ni blancs ni mauves, elle n'aime pas le thé, encore moins les tisanes, elle ne s'intéresse pas aux mots croisés et, surtout, elle déteste par-dessus tout faire la cuisine. Mamie est plutôt du genre à conduire à toute allure sa voiture de sport décapotable jaune d'or et à boire du café très noir. Quelle chance ! se dit Mathilde, la plupart du temps. Mais parfois aussi elle s'interroge : pourquoi Mamie est-elle si différente ?
Retrouvez Mathilde dans la collection Mouche : « Mathilde est tous les animaux », « Mathilde à la déchetterie » et « Les hamsters n'ont pas de voix ».
À force de ressasser leurs aventures dans le Lailleurs, Abel, Adèle, Antoche, Miel, Miloche, Alysse et Ulysse ont fini par inventer une longue histoire, peuplée de monstres, de nuages aux yeux verts et de soleils à l’envers que les autres Pozzis ne se lassent pas d’écouter. Ce soir, le chef Ignace leur a demandé de raconter les dix épisodes de leur aventure, en musique, en chansons et en une seule fois. Ce sera la Grande Représentation. Tous les Pozzis sont invités, même les chefs disparus, qui flottent dans le ciel transformés en nuages roses. L’un d’entre eux se démarque des autres, il paraît plus grand, plus rose, plus brillant aussi. Il s’agit du Chef Pozzi, celui par qui tout a commencé…
La maîtresse aurait pu réfléchir à deux fois avant de donner son sujet de rédaction. Racontez votre meilleur souvenir…
Corentin a deux meilleurs souvenirs, il ne sait pas lequel choisir ; Melvin sait mieux raconter qu’écrire ; quant à Soleman, il n’a rien à dire. Pire, il se retient de pleurer : dans sa vie, il n’y a pas de bon souvenir.
Corentin est révolté ! Un enfant sans meilleur souvenir, comment est-ce possible ?
Puisque c’est comme ça, on va l’aider à s’en fabriquer.
Une nuit, alors qu'il est dans son lit, Henri entend un drôle de bruit. C'est dans l'armoire qu'il découvre Alphonse, un petit lutin aux oreilles pointues, portant un lourd sac à dos.
« Tous les enfants ont un Alphonse », lui dit le lutin.
« À quoi ça sert ? », demande Henri.
« Les Alphonses gardent les souvenirs des enfants.»
Henri veut des preuves.
Cette histoire se passe à Touvabihin, un pays sans soleil où le noir n'existe pas. Un pays où il est interdit de pleurer et où les habitants portent un drôle de sac dans le dos, qui les cajole pour les empêcher d'être tristes. Cette histoire est celle d'une princesse, de son meilleur ami, le chien Timothée, et d'un secret très important. Une princesse qui a un grand besoin de pleurer, qui écrit une lettre à la Mort, et qui, un jour, réussira à changer le monde et à faire revenir le soleil.
Mousse va accueillir sa nièce Pistache pour quelques jours. Il veut que tout soit parfait : il fait les courses, aménage une petite bibliothèque avec ses livres préférés, prépare la chambre d’amis… Il s’aperçoit vite que ce qui fait le plus plaisir à Pistache, c’est de se baigner, encore et encore. Il n’y a rien d’autre qui pourrait l’intéresser ? Si, peut-être de participer à ce vide-greniers. Mais Mousse trouve que ce qui est au grenier est très bien au grenier. Et puis, ce sont ses souvenirs à lui…
Barzolo et Barzolino se promènent dans la montagne, dans les grandes prairies d'herbes hautes. Les deux oursons se souviennent qu'ici, « avant », ils venaient pêcher, faire du ski, se baigner, s'amuser avec Grand-Papa. Mais, depuis, les deux oursons ont reçus une lettre leur disant que Grand-Papa s'était endormi pour toujours. Maintenant rien n'est plus pareil dans la montagne...
Violette déteste la plage. Elle la déteste même si tous les enfants aiment la plage. Elle déteste le sable qui colle, la mer glacée, les pâtés idiots, les crabes de travers. Elle la déteste encore plus quand elle s'y rend avec Maryse, sa baby-sitter toujours pressée de retrouver son amoureux. Mais un jour, dans les vagues, Violette aperçoit quelque chose. C'est une boîte qui flotte sur l'écume.
1953. Alain Moret, huit ans, vit dans une petite ville française. Bientôt, ses parents achèteront leur première voiture et changeront d’appartement. Ils auront la télévision, le téléphone, un réfrigérateur, une salle de bains. Les années cinquante sont celles du passage à la modernité.
Il n'y a pas bien longtemps, au Japon, dans une petite maison à flanc de colline, vivaient un vieil homme et sa femme. Bien qu'ils n'eussent jamais eu d'enfants, ils s'appelaient l'un l'autre « Jiichan » et « Baachan ». Jiichan signifie grand-père et Baachan veut dire grand-mère.
Un jour, Baachan dit: « Jiichan, cela fait trois jours que tu n'as pas dit un mot. » « Hum, je pensais combien mes tournées me manquaient », répondit Jiichan. Baachan le dévisagea: « Depuis quand as-tu arrêté ? » demanda-t-elle. « Hum, depuis de longues années... mais mes jambes sont encore solides. Et j'ai pris grand soin de ma bicyclette... »
Jiichan était l'un des « bonshommes kamishibaï » qui racontaient des histoires aux enfants japonais, au coin des rues, autrefois, quand il n'y avait pas encore la télévision et que les enfants étaient fascinés par les magnifiques illustrations des kamishibaï, ces livres-spectacle - littéralement « théâtre de papier » en japonais. Son métier lui manque tant que, ce matin, il a décidé de reprendre le chemin de la ville. L'écoutera-t-on raconter ses histoires ? Quelqu'un se souviendra-t-il de lui ?
Il y a deux histoires dans ce recueil. Une noire, une blanche. Une chaude, une froide. Le Wyoming, la Lorraine. Une histoire de nature, une histoire d'école. Une histoire d'incendie de forêt, une histoire de souffre-douleur albinos. Des flammes, des larmes. Racontées par une jeune fille, puis par un vieil homme. Deux récits de souvenirs. Les souvenirs les plus marquants de leurs enfances respectives. Toutes les deux des histoires de parias, de remords, de révolte.
Des pêcheurs en barque, des chevaux, des cerisiers en fleur, des champs à taille humaine cultivés à la main, des rizières, des jeux, des courses, des fêtes, un train à vapeur, des vélos, des charrettes, des défilés, des fanfares, des moissons, des récoltes, des moulins, des toits de chaume. Dans ce Japon encore rural, celui de l’enfance de l’auteur, l’électricité est peut-être plus rare qu’aujourd’hui, mais la vie est là, en abondance, simple et tranquille. Et si le progrès, le vrai, consistait à retrouver la douceur de vivre mieux avec moins ?
Comment on sait quand on est amoureux ?
Kaï se sent tout bizarre depuis que Sidonie lui a donné une lettre pendant la récré. Quand il la voit, il a une drôle de sensation dans le ventre, comme s’il avait mangé trop de tomates. Et quand il ne la voit pas, il pense à elle. C’est ça être amoureux ?
Pour en avoir le coeur net, Kaï aimerait trouver quelqu’un à qui se confier. Mais son copain Obeid a l’air de s’en moquer ; son père, qui n’a jamais été un grand bavard, préfère raconter des blagues et Tom, son tonton – et son meilleur ami sauf que c’est un adulte –, ne le prend pas au sérieux. Kaï se dit pourtant que c’est le moment d’être grand. Il a dix ans, une furieuse envie de pleurer, de sortir tout ce qu’il a dans la tête et de vivre très fort, enfin.
Dans ce récit autobiographique, Chen se penche sur son passé. Il coule une enfance paisible en compagnie de ses grands-parents. Sa grand-mère cuisine, coud, élève des poules. Sa grande sœur sourde-muette lui apprend à dessiner. Et puis, un matin, la radio annonce que le président Mao a proclamé la Révolution culturelle. La propagande et les violences commencent. Il faut brûler les souvenirs et les livres. Les gardes rouges humilient en pleine rue intellectuels et propriétaires... Et voilà que, à huit ans, Chen doit à son tour devenir garde rouge.
Chen a longtemps porté ce projet de livre autobiographique. Ce sont les enfants rencontrés en classe, curieux de son enfance, de la Chine et de son histoire contemporaine, qui l’ont convaincu de s’y lancer. Dans ce récit, Chen livre les faits bruts, sans porter aucun jugement, en montrant des générations sacrifiées sur l’autel du communisme, mais qui incarnaient un idéal sans équivalent dans le monde contemporain.
Quand Moun est née, la guerre faisait rage. Pour la sauver, ses parents la placèrent dans une petite boîte qu'ils confièrent à l'océan. Portée par les vagues, Moun fit un long voyage. Puis un jour, la petite boite échoua parmi les coquillages...