Thème « retour à la nature »
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Trois petites souris émerveillées saluent l’arrivée du printemps par une vraie déclaration d’amour. Le printemps ? C’est leur saison préférée. C’est fou tout ce qu’il fait : bourgeonner les arbres, éclore les fleurs, gazouiller les oisillons, clapoter la pluie… Grâce à lui, nous découvrons les lys et les fraises qui poussent, et quantité de belles choses. Et grâce à cet album, nous découvrons beaucoup de mots nouveaux.
Ses cheveux ? On dirait des flammes. D’où son nom, Allumette. Un jour, en s’asseyant sur un gros caillou, elle le réveille et il se met à parler ! Il dormait depuis cent mille ans et il a oublié des choses essentielles, comme les cerises. C’est le début d’une aventure hors du commun, où Allumette allumera un feu d’artifice d’amitié, avec son chat Patapouf, Bogota la tortue, un petit nuage, et bien sûr le caillou accueillant.
Yû-chan passe la journée au bord de la rivière avec son grand frère et ses parents. Ils l’appellent pour venir se tremper les pieds, mais la petite fille préfère suivre un joli papillon. Il s’envole, s’enfuit, virevolte ! La prairie sent le dentifrice, les feuilles chatouillent les pieds, Yû-chan s’enfonce dans les herbes hautes, tellement que bientôt elle est perdue, elle a peur. Heureusement, Maman veille.
Six enfants sur une île attendent sagement le retour de leurs parents qui sont partis faire les courses en bateau. La faim les titille et ils décident de trouver le meilleur endroit de l’île pour pêcher. Maxime sera le chef. Les autres suivent plus ou moins... Puis, tout le monde se retrouve pour écouter le bruit du vent et regarder passer les nuages… avant les bonnes crêpes du soir !
La rivière coule, les insectes et les oiseaux volent et planent, les grenouilles sautent, les poissons frétillent, les enfants jouent, le pêcheur arpente les bords… Tout bouge dans ce paysage, sauf Petit rocher. Impassible, immobile, solide comme un roc, discret comme un caillou, il est si calme qu’il attire les autres. Ils viennent se poser sur lui, se réchauffer. La nuit tombe, le jour se lève. Petit rocher demeure.
Penchée à la fenêtre de sa chambre, Mouha décide d'aller voir le sol de par terre où elle n'est jamais venue. Il y a sûrement plein de choses, d'animaux, de plantes, de personnes et de surprises belles et intéressantes. Peut-être même des énigmes et des mystères rieuses ? Mouha n'est pas déçue. Les monstres de rencontre horribilivicieux, Archikrott, Bâfrafon, Marfagole et Rédèdékère ? Elle va n'en faire qu'une bouchée !
Mer d'huile ou tempête, peu importe dans les profondeurs de l'océan où tout est immuable et paisible comme la mort. Les habitants des contrées sous-marines sont des créatures pour qui tout est toujours égal et qui ne conçoivent pas qu'on veuille quitter la quiétude aquatique pour aller vivre à terre en compagnie d'un lynx, d'un ours et d'un homme : ils n'imaginent en aucun cas qu'on puisse se choisir «des animaux pour famille». Pourtant, parfois, l'un d'eux tente l'expérience, et il advient qu'il (ou elle) n'ait pas à le regretter...
Naufrage, rive déserte, bêtes fauves : au-delà du récit d'aventures, Randall Jarrell (1914-1965), qui fut un des grands poètes et critiques américains de son époque, nous donne ici une fable pleine de poésie et de sagesse vraie, où l'élément de merveilleux ne fausse nullement un sens aigu de la Nature.
À l’entrée du bateau, le contrôleur a dit quelque chose comme « Grine douskha sabédou ». Mais comment se douter que cela signifiait « Rien avant samedi ». Quand Harry et son oncle Tristram comprennent le sens de cette phrase, il est trop tard. Une fois sur l’île, ils sont coupés du monde pour une durée incompressible de sept jours. Belle-de-Jour, la petite amie de Tristram qui les accueille sur place, est très « nature ». Chez elle, pas d’ordinateur ni de télé. Pas même une radio. Heureusement, elle est très jolie, et la vie sur cette île n’est pas si ennuyeuse que prévu. Harry se dit qu’il aurait pu plus mal tomber. En attendant le ferry du retour, c’est terrine d’orties et beignets de pissenlits au menu, sauf le jour de la fête de l’île, où, paraît-il, on mange toutes sortes de choses (pâtés en croûte, hot-dogs, steaks, pizzas…), à condition qu’elles soient piquées sur des brochettes.
Au printemps, à la ferme, les animaux ont leurs petits. Et les animaux, c'est la passion de Calpurnia. Elle les aime, elle les observe, elle les étudie. Un jour, elle les soignera. Peut-être même bientôt ? Car un papillon à l'aile abîmée ne peut pas attendre. Ni la brebis qui va mettre bas, quand les choses ne se présentent pas comme prévu et que le vétérinaire n'est pas là...
Calpurnia adore les animaux. Son frère Travis aussi. Elle rêve de devenir vétérinaire, plus tard. Lui, ce qu’il aime, c’est les apprivoiser, les prendre sous son aile. Seulement, dans leur ferme au Texas, tous les animaux ne sont pas les bienvenus. Les mouffettes, par exemple. Elles abîment les plantations et volent des légumes. Comment résister pourtant aux cris déchirants d’un bébé mouffette orphelin, seul dans la forêt ? Calpurnia et Travis ne peuvent pas le laisser livré à lui-même… Il va falloir l’aider, sans se faire remarquer. Mais attention… une mouffette peut en cacher une autre !
Calpurnia a deux passions dans la vie : soigner les animaux et observer la nature. Quelle joie alors le jour où son grand-père l’emmène en barque sur la rivière San Marcos ! Là-bas, on peut voir des poissons volants. On peut entendre le chant de l’oiseau moqueur. On peut même y trouver des fossiles de l’époque des dinosaures… Et la nature réserve bien des surprises. Une chouette tombe dans l’eau devant eux. Mais que fait-elle ici ?
Majestueux, splendide, irrésistible, l'océan donne tout : du travail aux pêcheurs, des poissons aux affamés, une beauté changeante aux amoureux de la nature. Alors pourquoi quelqu’un a-t-il un jour eu envie de le tuer ? Parce qu’il arrive que l'océan prenne aussi. À Kukrit il a volé ses amours. Il a emporté loin, dans une vague scélérate, sa femme et le petit garçon qu’elle berçait dans une pirogue, du côté de la crique du Tigre. Il ne les a jamais rendus. Depuis, Kukrit est devenu fou. Dans un rituel quotidien, dès le lever du soleil, il marche vers le rivage, bande son arc et tire une flèche dans les vagues en criant : « J’ai tué l’océan ! » Pridi, un petit garçon de dix ans, le plus drôle et le plus malin de toute l’île, est intrigué par ce qui est arrivé à Kukrit il y a longtemps. Il ne croit pas que le chagrin soit sacré. Lui, le roi des blagues, s’est promis d’aller dérider le vieux fou. À ses risques et périls.
Gwendy, une louve solitaire, adopte Rick, un petit d'homme abandonné dans le Cercle magique. Le Cercle magique est une espèce de sanctuaire préservé dans le parc d'une grande ville. Les humains n'y viennent jamais, ils ont peur. Mais un jour, justement parce qu'ils ont peur, ils décident de détruire le Cercle magique et arrivent dans le parc armés de pelleteuses et de chenilles. Rick, l'enfant sauvage, est mis en cage. Parviendra-t-il néanmoins à déjouer les plans monstrueux de Tribedaine, le maire de la ville, et du chef de l'Etat, Son Immonde et Flasque Majesté Boule de Graisse Ier ?
Sara aime prêter attention aux plus fragiles. C’est pour cela qu’elle apprécie la compagnie et les histoires de sa grand-mère. Avec elle, dans son cabanon au fond du jardin, Sara apprend à respecter ce qui l’entoure, et à voir différemment. Les légumes, par exemple. A-t-on jamais pensé que le poireau est un ancien mammifère ? A-t-on jamais écouté le chant discret d’une aubergine ? Et si on les réunissait dans un parc pour leur rendre hommage ? Ce serait peut-être un exploit. Comme de regarder le monde avec les yeux de quelqu’un d’autre.
Quand il était petit, Martin Page n’avait qu’une idée en tête : « s’en sortir ». Dans ses romans, le monde est une fiction et l’imaginaire, une manière de résister à la réalité. À travers Le zoo des légumes, il nous montre comment regarder le monde avec intelligence et imagination pour mieux vivre le présent : « L’enfance n’est pas le bon moment pour vivre son enfance. Il faut la protéger, la préserver, la réserver. Et la vivre tout au long de notre vie. »
Aéris a grandi dans un zoo marin. C’est là qu’elle a fait ses premiers pas et qu’elle a appris à nager. C’est là qu’elle est morte, après avoir plongé dans le bassin aux dauphins.
Quand elle est revenue à la vie, elle s’est réveillée sous des milliers de mètres cubes d’eau. À ses côtés, il y avait cet étrange garçon à la peau bleue. Ces derniers jours, elle l’avait surpris qui jouait au milieu des dauphins, elle essayait de le rejoindre quand l’accident est arrivé.
Il dit s’appeler Bazmaru et l’a arrachée à la mort. Mais à quel prix !
Pour la ranimer, le garçon bleu s’est servi de Pounamu, une pierre qui a métamorphosé le corps d’Aéris et l’a doté de branchies.
La pierre est enfoncée à la base de son cou. Mais elle veut s’en débarrasser et inverser le processus.
Pour cela, elle va devoir suivre Bazmaru au fond des océans, chevaucher les épaulards, traverser les eaux polluées, partir à la rencontre des hommes bleus. Devenir la fille du vent !
En février 2006, des expériences dans la zone polaire provoquent une gigantesque tempête qui ensevelit l'hémisphère nord sous plusieurs mètres de neige, paralysant toute activité. Quelques années plus tard, un jeune homme, Simon, raconte la longue lutte pour la survie matérielle et spirituelle qu'il a menée avec sa famille, dans leur chalet des Alpes, au coeur de ce déluge blanc. Dans leur arche perdue, le père, la mère et les deux enfants affrontent de multiples périls, la solitude, la peur, parfois l'angoisse, mais finalement c'est l'ingéniosité et l'espoir qui l'emportent. Ils réinventent des gestes ancestraux qu'ils croyaient oubliés. Auprès d'eux, leurs animaux familiers les aident, de diverses manières, à surmonter l'épreuve. Dans les livres qui les entourent, et dont le père lit chaque soir quelques pages au coin du feu, ils puisent aussi des leçons d'amour et de courage. Roman d'anticipation, récit d'aventures, fable écologique, ce livre est aussi une méditation sur la fragilité du monde où nous vivons, et comme un manuel de survie pour les futurs naufragés de la société industrielle.