Thème « religions, croyances »
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Galilée lui a tout appris : à lire, à écrire, à observer les étoiles, à calculer leur course... Alors, ce n'est pas aujourd'hui qu'il est affaibli par l'âge, la cécité et surtout sa condamnation par le tribunal de l'Inquisition qu'Angelo va laisser tomber le vieux professeur. Oui, le génie a osé braver l'interdit de L'Église en démontrant que la Terre tourne autour du soleil ! De protégé, Angelo le jeune berger toscan devient protecteur du savant, en emportant en cachette jusqu'aux Pays-Bas le manuscrit interdit de Galilée, le Discours sur les deux sciences nouvelles, le premier livre de physique du monde, pour le faire imprimer librement...
Cela n'arrive pas tous les jours à une jeune fille juive de se retrouver employée à mi-temps comme Père-Noël dans un grand magasin. C'est pourtant ce qui arrive à Samantha. En grande partie à cause d'une teinture ratée, qui lui a laissé les cheveux blancs comme neige. Pour la teinture, sa mère n'a rien dit, mais pour l'emploi c'est une autre histoire. Elle est désespérée par cet acte incompréhensible, et tient à en parler au plus tôt au rabbin Poppel. Il n'y a pourtant rien d'incompréhensible. Samantha a voulu ce travail parce qu'elle mourait d'ennui. Maintenant, elle ne s'ennuie plus. Elle meurt d'étouffement devant les hordes d'enfants qui viennent se faire photographier sur ses genoux et lui offrent des poèmes. Elle frissonne en reconnaissant dans la file d'attente, une bande de garçons de son lycée. Elle blêmit en lisant le poème que sa propre mère a tenu à lui apporter. Mais elle n'est pas encore au bout de ses émotions, car il y a un deuxième Père-Noël chez Good Buy. Un Père-Noël un peu étrange, mais absolument irrésistible.
Au Ier siècle de notre ère, dans une Palestine sous domination romaine, Juda Ben-Hur, fils d’une noble famille de Judée, est injustement accusé d’attentat contre la personne du gouverneur en poste à Jérusalem. Le voilà condamné aux galères, tous ses biens sont confisqués, ses proches mis en prison.
Sa fougue et sa jeunesse lui inspirent un projet de vengeance qui ne sera pas facile à mettre en oeuvre. Dans ce monde antique où Rome impose son hégémonie, le rameur enchaîné à son banc ne peut rien. Ben-Hur survivra-t-il aux épreuves dont peu de galériens réchappent ? Retrouvera-t-il sa liberté ? Pourra-t-il reconquérir un statut social et les moyens de faire valoir son innocence ?
S’il y parvient, il lui faudra encore vaincre le traître qui s’acharne à sa perte, arracher sa mère et sa soeur au mal qui les ronge et affronter des dangers dont le moindre n’est pas l’intérêt que lui porte une Égyptienne aux allures de femme fatale.
Tels sont les enjeux d’une action romanesque qui nous transporte aux temps du christianisme naissant et d’où nous parvient l’écho d’un quadruple galop d’enfer.
Ce livre est l'odyssée des grands aventuriers, des grands découvreurs, des grands savants qui ont affirmé un peu trop tôt pour leur époque qu'il devait bien y avoir quelque chose au bout de l'océan, que le ciel ne tournait pas au-dessus de nous, mais que c'était bien la Terre qui tournait sur elle-même parce qu'elle était ...ronde ! C'est aussi un livre sur ces moments de l'Histoire où l'on prenait les génies pour des fous ou pour des sorciers. Des fous et des sorciers sans qui nous serions peut-être encore persuadés que notre Terre est plate...
Le papa de César, Bill et Malo est parti faire un tour quelque part dans le ciel, les laissant se débrouiller tout seuls avec les violentes colères de leur mère. Dans la chambre qu’ils partagent, ils veillent les uns sur les autres, scrutent le ciel, le soleil, les étoiles. Malo espère y apercevoir son père. Bill espère que sa mère redeviendra comme avant. César espère qu’il aura le droit d’aller à la Nuit des étoiles. Tous les trois, ils auraient bien besoin d’aide. Mais à qui s’adresser ?
César — Papa, je l’ai vu en rêve. Une fois. Il était à la
maison et il jouait aux marionnettes avec toi, Malo, dans
le salon.
Malo — Avec moi ? T’as fait comment pour que papa,
il vienne dans ton rêve ?
César — Rien. Ah si. J’ai prié. Avec Abdel et son papa.
Bill — C’est peut-être ça !
César — Ou alors un gros coup de bol.
Bill — On n’a qu’à faire pareil !
À Heinzerdof, petit village de Moravie, Johan Mendel attend le grand départ pour le lycée d'Opava. Fils de métayer, il doit participer aux moissons l'été, alors qu'il ne pense qu'à sa rentrée scolaire et à sa passion des plantes. Il a tout juste seize ans en cet automne 1838 et il rêve d'une vie en correspondance avec ses aspirations. Étudier encore et encore, construire son avenir, et ne pas mettre ses pas dans ceux de son père. Il brûle d'aller plus loin. Mais, sans cesse, les épreuves se mettent sur sa route et le rappellent aux dures réalités de sa condition modeste. Il est contraint de travailler en parallèle de ses études, au risque d'y perdre la santé. Alors, une chance lui est offerte : entrer au célèbre monastère de Brünn pour poursuivre ses études et y pratiquer l'hybridation. Très vite, tout s'accélère pour Johan, devenu Frère Gregor, entre la vie monacale, les cours à l'université de Vienne et les vives querelles d'idées de l'époque. Responsable du jardin expérimental du monastère, Gregor Mendel se lance dans une exploration patiente, à la recherche des mécanismes de l'hérédité. Aller plus loin, c'est maintenant observer des années durant les résultats de ses expériences sur les petits pois. Interpréter et théoriser. Trouver les Lois de l'hérédité. Et défendre ses idées en attendant d'être reconnu, un jour, partout dans le monde.
Un mazal, dans la tradition juive, c'est un ange gardien chargé de plaider la cause de son protégé auprès de l'Éternel. Tout le monde en possède un. Sauf les animaux. Même les filles. Même Elvina la rebelle. Qui pense qu'elle en a besoin, plus qu'une autre. Car Elvina adore lire, écrire et étudier comme les garçons. Et déteste « couver » les œufs et obéir comme les filles. Elle serait tout à fait à son aise au début du XXIe siècle. Le problème, c'est que nous sommes à la fin du XIe, époque guère féministe où Pierre l'Ermite prend la tête de la première Croisade et sillonne la campagne française avec ses troupes à la recherche de nourriture. Il paraît qu'il hait les Juifs. La famille d'Elvina est sur le qui-vive. Un jour qu'elle est seule à la maison, trois étrangers frappent à la porte, et Elvina qui ne doit pas ouvrir leur ouvre...
Retrouvez Elvina dans Le Miroir d'Elvina (épisode 2) et Elvina et la fille du roi Salomon (épisode 3). Au secours, Mazal !
« Le complexe architectural présenté dans cette histoire est purement fictif, de même que les personnages du mécène et de l'architecte. Les bâtiments en revanche, s'inspirent directement d'exemples réels construits entre 1540 et 1580 à Istanbul et ses environs par Sinan, le plus célèbre architecte de l'Empire ottoman. À mes yeux, les meilleurs exemples d'architecture d'inspiration religieuse figurent parmi les plus belles réalisations de l'homme. Quand ils servent une force supérieure, les êtres humains semblent capables de se surpasser, et même de réaliser l'impossible. Motivés par leur foi et guidés par leur sens pratique, les bâtisseurs dont il est ici question ont su créer des édifices qui révèlent une ingéniosité, une ambition et une maîtrise rarement égalées dans l'histoire de l'architecture.» David Macaulay
De l’or, de l’or, de l’or ! En 1523, le général Pizarro part à la conquête du Pérou et entre dans la ville de Cajamalca. Ses hommes et lui sont éblouis par ce qu’ils découvrent : il y a de l’or partout. Pour s’en emparer, Pizzaro a un plan : il va capturer l’Inca, l’empereur du Pérou, et réclamer le plus d’or possible en échange de lui. Mais jusqu’où ira cette fièvre de posséder, violente et incompréhensible ? Et aura-t-elle jamais une fin ?
L’orphelinat d’Abbey Road ne s’est pas toujours appelé ainsi. Son véritable nom, il vaut mieux ne pas le connaître. Il vaut mieux ne pas poser de questions, non plus, ni sur ce sujet ni sur aucun autre. Sœur Ethelred n’aime pas que les enfants posent des questions. Elle dit que Dieu apportera toutes les réponses. Ses réponses à elle, ce sont les punitions. Ce soir, comme chaque soir, les pensionnaires ont dit leur prière et sœur Ethelred a coupé l’électricité dans le dortoir. Mais Joy ne peut pas dormir. Elle pense au souterrain que son amie Margarita a découvert sous l’abbatiale. Qu’y a-t-il au bout de ces couloirs qui sentent le soufre ? Pourquoi Prudence ne parle-t-elle plus depuis qu’elle les a visités seule ? De quoi a-t-elle si peur ? D’où vient cette étrange brûlure sur son bras ? Que cache le mince sourire de Lady Bartropp, la bienfaitrice de l’orphelinat ? Et pourquoi la petite Ginger chante-t-elle sans cesse une chanson en latin sans même s’en apercevoir ? Les réponses sont peut-être là , tout près, dans un autre monde.
Audren à propos de son livre :
« Margarita Von Straten… Je me suis réveillée un matin avec ce nom qui tournait en boucle dans ma tête. Je ne savais pas d’où il venait, mais je sentais qu’il fallait que ce personnage fasse partie de ma vie. Il FALLAIT que j’écrive l’histoire de cette fille. Au départ, j’ai cru que j’allais parler de la vie d’une fille toute maigre qui paniquait devant les changements de son corps d’adolescente. Puis j’ai compris que sa maigreur n’était pas le sujet de mon livre lorsque j’ai découvert qu’elle vivait dans un orphelinat tenu par des sœurs très sévères et qu’il se passait des choses plus qu’étranges dans les sous-sols et les jardins de l’abbaye… La suite s’est imposée à moi, comme d’habitude… le livre s’est écrit, malgré moi. »
La journée s’annonce sans histoire aux bords du lac Baïkal. Sans histoire, vraiment ?
Dans le ciel d’un bleu intense, l’aigle Lelio Lodoli s’apprête à fondre sur la malheureuse marmotte Stavroula Spassiba. Indifférent au drame, Malmousque Gourbi le glouton paria discute avec une pâquerette très fine et très spirituelle, pendant que Dianda l’Esprit du Lac rôde dans les fourrés. Non loin de là , l’escargot Dwayne Dodo s’élance vers un carré de salades, alors que Nastiouchka Pilipili, la pie borgne et un peu médium, converse avec les animaux morts depuis moins d’un mois et demi.
Qu’ils vivent dans, autour ou au-dessus du Grand Lac, les riverains du lac Baïkal ont souvent quelque chose à dire. Le seul humain à capter ces conversations est un jeune chaman de la région. Mais étant donné que Geirg Dordjé ne parle à personne, il ne risque pas de les répéter…
En Louisiane, tout le monde croit aux esprits. Lanesha, elle, a le don de les voir.
« Tu es comme moi, ma chérie, tu as un don de double vue », lui a expliqué Mama Ya-Ya, la sage-femme qui l’a recueillie à sa naissance.
Mama Ya-Ya savait qu’un ouragan approchait, bien avant que la radio et la télévision n’en parlent. Les dégâts seront incommensurables, répète le présentateur.
Tous les habitants de La Nouvelle-Orléans doivent quitter la ville. Mama Ya-Ya est très âgée, et ne possède pas de voiture, alors Lanesha a fait des provisions d’eau et de nourriture, et a cloué des planches sur les fenêtres. Elle ne sait pas ce qui l’attend, mais elle se prépare de toutes ses forces à survivre. Avec TaShon, le fils des voisins, avec le chien Spot, qu’ils viennent d’adopter ensemble. Avec le fantôme silencieux de sa mère, qui est venu pour l’aider. Avec l’amour de Mama Ya-Ya, qui est incommensurable.
Grenade, Espagne, 1491. Isabel de Cardosa va avoir quinze ans. Fille d’un médecin très en vue à la cour royale, elle sera bientôt en âge de se marier et est promise à un avenir radieux. Ses parents ont d’ailleurs toujours voulu son bien. Or les voilà qui insistent soudain pour qu’elle se fiance avec Luis de Carrera, un jeune homme grossier, violent, voire cruel. Pour marquer cet engagement, ils commandent un bijou précieux : une alouette d’or dans une cage d’argent. Mais cette union suffirait-elle à protéger Isabel et à assurer sa situation ?
En Espagne à cette époque, l’Inquisition traque les Juifs et les conversos, ceux qui se sont convertis récemment au christianisme. Sous la conduite de l’effroyable Torquemada, les officiers catholiques emprisonnent des gens, brûlent des livres, sèment la terreur. Isabel comprend que la cage risque de se refermer sur elle et sur sa famille. Comment y échapper ?
Confrontées à la violence et au racisme (« Le pantin »), à l’exil (« Si loin de chez soi »), les jeunes héroïnes des romans d’Eva Wiseman ne baissent jamais les bras. Il en va de même pour Isabel, la jeune héroïne du « Dernier chant », prise dans les tourments de l’Inquisition dans l’Espagne du XVe siècle. Des personnages féminins optimistes qui ressemblent beaucoup à Eva Wiseman, qui, à douze ans, a fui la Hongrie pour le Canada avec sa famille.
Dans la même collection : « Si loin de chez soi »
Le grand-père de Yongouk est sur le point de mourir pour la cinquième fois. Mais ce soir on dirait que c’est pour de bon. Il a demandé à son petit-fils d’appeler son père, ses oncles, ses tantes pour qu’ils accourent à son chevet. En vain ! Les enfants de Papi ont tous refusé de venir, persuadés qu’il s’agissait encore d’une fausse alerte. Il faut dire que, dans la famille, Papi compte souvent pour du beurre. Yongouk est le seul à prendre soin de lui, à l’aimer. De son côté, Papi a confié à son petit-fils un grand secret. Il s’agit d’une boîte entourée de ruban adhésif qu’il ne faudra ouvrir qu’après sa mort. Son contenu servira à organiser la cérémonie d’enterrement, ce que Papi appelle le « dernier événement ». Il semble imminent…
Bienvenue chez moi, Chrissie Jones. Mon pauvre papa pasteur, ma petite maman et mes deux foutus frères, mes cours de français, mes 13 ans et les copines qui vont avec, toutes s’impatientant de rencontrer le prince charmant. Damnit. Bienvenue à Sioux Falls, Dakota du Sud. Ses légendes indiennes, ses deux cents églises, ses phénomènes bizarres, et son bal de la pureté, au cours duquel les jeunes filles doivent promettre à leur père de rester chastes jusqu’au mariage. Ha ha ha. Oui, bienvenue dans ce trou perdu. Dieu merci, il est possible que j’ai quelques pouvoirs, susceptibles de vous étonner.
Comme tous les chefs-d’oeuvre de la littérature, La Divine comédie est un livre que l’on cite souvent, mais que l’on croit pouvoir se dispenser de lire. Ce qui est infiniment regrettable. Car ce poème de sept cents ans, ce long poème de plus de quatorze mille vers, écrit en italien populaire, est tout à la fois un chant d’amour, une méditation spirituelle, un récit de voyage fantastique et une exploration de l’au-delà qui prend des allures allégoriques de plongée dans des mondes surnaturels. Le rêve devient cauchemar quand apparaissent des animaux fabuleux, des géants, des fées ou des monstres...
La Divine Comédie appartient désormais au patrimoine universel. Le monument qu’est devenue l’oeuvre est si imposant qu’on hésite à y pénétrer. Il n’est pas inutile alors d’entrouvrir une porte modeste, celle d’une édition abrégée. C’est par ce moyen qu’on peut rendre familier un « classique » dont on verra qu’il a toujours quelque chose à nous dire.
« Dante peuplait l’Enfer de ses haines et le Paradis de ses amours, écrit Alexandre Dumas. La Divine Comédie est l’oeuvre de la vengeance. Dante tailla sa plume avec son épée. »