Thème « relation avec le père »
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Depuis qu'elle a huit ans, Jenny range dans une vieille boîte de pralines de Montargis tous les billets de banque qu'elle reçoit à Noël, à ses anniversaires, ou pour d'autres occasions. Aujourd'hui, elle a quinze ans, quatre cent quatre-vingt-cinq euros, et la certitude d'avoir enfin compris ce qu'il fallait faire de cet argent. Le flanquer à l'eau. Jeter avec ces cadeaux tout ce qu'ils représentent : les mascarades des adultes, leurs priorités vaines, leur indifférence aux choses qui comptent vraiment. Comme l'amour.
L'amour, l'amour fou, Jenny sait ce que c'est. Elle l'a rencontré il y a des mois, dans un café, l'a suivi jusqu'au lac. Depuis, elle a vécu pour lui, s'est vêtue comme lui, sans mot dire. Jenny s'approche du lac, elle croit rêver, le garçon est là . Quand il apprend ce qu'elle veut faire, il lui dit juste : Tu me sauves, tu vas m'aider. Et Jenny est d'accord.
Dans la même famille demandez Joseph et Margot, une crise familiale vue par trois regards de frère et soeurs, à trois âges différents.
Le roi est très malade. Seule l'eau de la vie peut le sauver. Il a trois fils. L'Aîné et le Puîné partent tour à tour à la recherche du remède dans le seul espoir d'être les héritiers du royaume. Le Benjamin partira lui aussi dans le seul espoir de sauver son père. Mais que peut un coeur pur contre l'ambition, la ruse, le mensonge, la cruauté d'un monde désenchanté ?
Deuxième exploration d'Olivier Py dans le monde des contes de Grimm.
Consultez le dossier « Pièce (dé)montée » sur le site Canopé
Cette année, Miranda Hilliard a besoin de quelqu'un pour s'occuper de ses trois enfants, Lydia, Christopher et Natalie, et de la maison. Pourquoi pas moi ? propose Daniel, son ex-mari, un acteur au chômage. Pas question, réplique Miranda. Elle veut une personne de confiance, quelqu'un de solide, avec des principes et sans aucune fantaisie. Tout le contraire, pense-t-elle, de Daniel. Alors arrive Madame Doubtfire. Une vraie perle. Du moins en apparence. Car un père acteur peut être prêt à tout, et même à se déguiser en gouvernante poudrée pour être avec ses enfants. Mais comment va-t-il faire pour n'éveiller les soupçons ni de ses enfants ni de Miranda ?
On comprend que le projet mirifique de Daniel Hilliard ait enthousiasmé Robin Williams, sa femme Marsha et leurs enfants et que Madame Doubtfire soit devenu un film de Chris Columbus.
Louis Feyrières doit faire un stage d'une semaine, comme tous les élèves de troisième. Où ? Il n'en sait rien. Ce qui est sûr, c'est qu'il n'aime pas l'école et qu'il ne se sent bon à rien. « J'ai ma coiffeuse qui prend des apprentis, dit Bonne-Maman, lors d'un repas de famille. Stagiaire, c'est presque pareil. » Coiffeur ? C'est pour les ratés, les analphabètes, décrète M. Feyrières qui, lui, est chirurgien. Louis se tait. Souvent. Mais il observe. Tout le temps. Comme il n'a rien trouvé d'autre, il entre comme stagiaire chez Maïté Coiffure. Et le voilà qui se découvre ponctuel, travailleur, entreprenant, doué ! L'atmosphère de fièvre joyeuse, les conversations avec les clientes, les odeurs des laques et des colorants, le carillon de la porte, les petits soucis et les grands drames de Mme Maïté, Fifi, Clara et Garance, tout l'attire au salon. Il s'y sent bien, chez lui. Dès le deuxième jour, Louis sait qu'il aura envie de rester plus d'une semaine chez Maïté Coiffure. Même si son père s'y oppose.
À la suite du décès de sa mère, une petite fille part en voyage avec son père, au bord de la mer. Très vite, elle comprend que le chagrin de son père est au moins aussi grand que le sien. Elle devra inventer bien des ruses et trouver beaucoup d’amour pour que, l’un et l’autre, retrouvent enfin le chemin d’un retour à la vie.
LA FILLE : Papa ?
LE PÈRE : Hum ?
LA FILLE : Pourquoi on est là ?
LE PÈRE : Tu le sais très bien.
LA FILLE : Non. Je veux dire pourquoi on est toujours là ? Pourquoi on ne repart pas à la maison ? Et pourquoi tu pleures jamais ?
LE PÈRE : Il y a des millions de façons de pleurer. Chacun la sienne. Il y a des gens qui…
LA FILLE (l’interrompant) : Et c’est quoi ta façon ?
Que faire quand on a quatorze ans et un père qui vous interdit tout, dont les ordres tombent comme des couperets ? Jusqu'à présent, Paul pensait avoir trouvé une parade : il avait décidé qu'il n'aimait pas les fêtes, que les expéditions en bande le laissaient froid et que les filles ne l'intéressaient pas non plus. Mais on ne peut pas toujours se faire croire ce genre de chose. Cet été-là , alors que ses relations avec son père sont plus tendues que jamais, Paul fait la connaissance de Fanny, une fille incroyablement culottée, très séduisante, et un peu dangereuse. À cause d'elle, pour la première fois, Paul va désobéir à son père. Ensuite, il faudra qu'il apprenne à ne pas se laisser mener par le bout du nez...
Une petite fille de dix ans vit avec sa mère, malheureuse depuis que le père les a quittées.
Un jour de grand vent, son mouchoir s’envole. Pas n’importe quel mouchoir, mais celui que son père lui a donné. La mère, exaltée, se persuade qu’il suffit de le suivre pour retrouver son propriétaire.
Et les voici parties toutes les deux dans une quête folle. Pendant ce temps, un homme les cherche, les suit. Quand la fille se retrouve face à lui, il prétend qu’il est son père.
Mais est-ce vraiment lui, cet homme qu’elle ne reconnaît pas ?
Pauvres Doinel ! Ils s’aiment, mais n’ont pas le temps de se le dire. Ils ont chacun leurs angoisses, leurs soucis mais les gardent pour eux. Marc Doinel, le père aux allures de cow-boy, n’a toujours pas parlé du rachat de sa boîte par des Hollandais décidés à restructurer au lance-flammes.
Nadine, la mère débordée, n’évoque jamais la lassitude qui l’accable devant les « fiches de suivi d’acquisition des compétences » de ses élèves de maternelle.
Charlie, la fille aînée, se demande bien pourquoi elle est amoureuse de Kikichi, un héros de manga bisexuel, plutôt que d’un garçon de sa classe. Et pourquoi se sent-elle si transparente au collège ?
Le petit Esteban, lui, ne se plaint jamais, au point de se laisser maltraiter sans broncher par les grands de l’école.
Pauvres Doinel ! S’ils savaient qu’ils partagent un rêve secret… En feuilletant un magazine, chacun d’entre eux est tombé en arrêt devant la même photo. Celle d’une yourte mongole plantée dans une clairière bretonne.
Marie-Aude Murail, infatigable curieuse, s’est toujours intéressée au monde comme il va. Cette fois, elle s’attaque à l’ordinaire, au quotidien, à ce mode de vie absurde dont nous souffrons tous. Famille, monde du travail, système éducatif ! Tout y passe ! L’état des lieux est aussi implacable que désopilant.
Marie-Aude Murail ne voulait pas introduire d’événements exceptionnels dans ce livre. Inutile ! Cette chronique de la vie ordinaire menée tambour battant est aussi captivante qu’un roman d’aventures.
Il était une fois un pays où régnait un Roi. Comme tous les rois, il faisait des guerres et il veillait sans cesse au bon ordre de son royaume. Mais ses guerres à lui étaient étranges. Il chassait les cris, les larmes, les couleurs, les soupirs, les rêves et ils les enfermaient dans des cages. Peu à peu, tous désertèrent son royaume. Tous, sauf sa fille qui ne supportait plus d'être princesse du pays de rien. Un jour, elle se révolta contre son père bien-aimé. Grâce à un garçon.
Suzie vit avec sa mère et son père : un homme violent. Pour échapper à ces tempêtes quotidiennes, elle va se réfugier soit chez son grand-père, soit au pied d’un arbre : un saule-pleureur. Au premier qui ne voit rien de sa souffrance bien qu’il l’aime, elle ne dit rien. Au second, auquel elle prête une voix, elle parle. L’arbre l’écoute, la gronde, la console, la fait rire, l’encourage à danser. Mais rien ne change. Jusqu’au jour où éclate une tempête, une vraie.
Simple dit « oh, oh, vilain mot » quand Kléber, son frère, jure et peste. Il dit « j'aime personne, ici » quand il n'aime personne, ici. Il sait compter à toute vitesse : 7, 9, 12, B, mille, cent. Il joue avec des Playmobil, et les beaud'hommes cachés dans les téphélones, les réveils et les feux rouges. Il a trois ans et vingt-deux ans. Vingt-deux d'âge civil. Trois d'âge mental.
Kléber, lui, est en terminale, il est très très courageux et très très fatigué de s'occuper de Simple. Simple a un autre ami que son frère. C'est Monsieur Pinpin, un lapin en peluche. Monsieur Pinpin est son allié, à la vie, à la mort. Il va tuer Malicroix, l'institution pour débiles où le père de Simple a voulu l'enfermer, où Simple a failli mourir de chagrin. Monsieur Pinpin, dans ces cas-là , il pète la gueule.
Rien n'est simple, non, dans la vie de Simple et Kléber. Mais le jour où Kléber a l'idée d'habiter en colocation avec des étudiants, trois garçons et une fille, pour sauver Simple de Malicroix, alors là , tout devient compliqué.
Ils sont trois. Trois êtres pris dans la tourmente de la vie et partageant le même secret, la même blessure encore vive. Timide et solitaire, Élisa n'a pas d'amis mais elle déborde d'énergie et a décidé de s'en faire coûte que coûte. Rose, sa grande soeur, épie chaque jour un jeune homme inconnu et bouillonne de sentiments violents qui la dépassent. Éric, leur père, un homme tranquille et résigné en apparence, guette une mystérieuse femme en vert. Il semble que quelque chose soit sur le point d'arriver. Et si cet événement attendu et espéré survenait, si la vie d'Élisa, de Rose et d'Éric en était bouleversée, seraient-ils capables de prendre une nouvelle route et de la suivre jusqu'au bout ?
Que faire quand on apprend, à treize ans, que son père est très malade, qu'il va bientôt mourir, et que c'est le sida ? Que penser quand on entend sa mère, un matin très tôt, lancer à son mari : « Est-ce que tu te rends compte de ce que tu m'as fait ? De ce que tu as fait à notre fils ? » Que dire quand on se rend compte que personne ne dit la vérité ? Que répondre quand le père constate : « La raison pour laquelle tu sais que tout le monde ment, c'est que tu mens toi-même » ? Comment interroger sans agresser ? Comment comprendre le mystère de l'amour quand on ne dispose que du tableau noir de l'éducation sexuelle ? Comment aider à mourir quand on n'a pas encore appris à vivre ?
Liam ne sait pas de combien de temps il dispose pour répondre à toutes ces questions. Il sait juste que le temps presse.
Martin et ses amis se doutaient bien que cela arriverait un jour, que l’un d’entre eux finirait par se faire tabasser, simplement à cause de sa façon de s’habiller ou de ses bizarreries. Ça aurait pu tomber sur Bakary, tellement bon en maths qu’il énerve tout le monde ; sur Fred, le musicien, qui se teint les cheveux en vert ; ou même sur Martin, particulièrement doué pour l’ironie. Finalement, c’est arrivé au plus gentil d’entre eux, à Erwan, le bricoleur de la bande, dont le seul tort est de porter une cravate et des chaussures cirées.
Et c’est comme si cette agression avait blessé les trois autres. Au collège, ils deviennent encore plus distants.La moindre injustice met leurs nerfs à vif. La colère circule en eux, leur donnant une énergie folle ! Ils veulent agir, mais à leur manière… forcément particulière.
Tout au nord de la Sibérie, au bord de l’Arctique, se trouve Tiksi : une ville dont la moitié des habitants sont partis. Que reste-t-il à présent ? Des maisons vides, la mer de glace, les jeux dans la neige, la magie des aurores boréales et de vieux hommes qui se souviennent de tout et parlent par énigmes.
Mais il y a aussi Lazar, l’enfant qui ne trouve pas le sommeil.
Et Gavriil, le poète qui ne parle plus.
Et puis il y a moi, leur soeur, Galya Bolotine, qui me débats avec ma silencieuse colère et mes rêveries océaniques. Moi qui voudrais comprendre ce qui se joue sous le ciel noir. Espérant le retour du brise-glace majestueux qui nous emporterait loin de cette étouffante immensité.
Lui rêve à un enfant, il y pense tout le temps, il le voit partout. Il lui en parle à Elle. Un enfant ? Un bébé ? Tu es fou ! Pourtant, elle accepte, pourtant, ils le font. Et voici qu'elle l'attend. Mais lui aussi, le futur papa, il attend son bébé au moins autant qu'elle. Il le dit à tout le monde, au voisin, au passant, au docteur. Il croit même que le bébé est dans son ventre à lui. Il ne faut pas croire ce que l'on raconte : ce ne sont pas seulement les mamans qui portent les enfants.