Thème « relation avec le père »
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Ce soir-là, il y avait un match de foot à la télévision, et, comme d'habitude, nous étions assis, Papa, mon frère et moi, dans le canapé pour le regarder. Mais ce n'était pas un soir comme d'habitude car il s'est produit sous nos yeux trois événements extraordinaires. Tout d'abord, l'équipe de Papa s'est mise à bien jouer. Ensuite, l'arbitre a reçu un ballon en pleine figure et ne s'en est pas relevé. Et c'est alors... que Papa a plongé dans le poste pour le remplacer. Mais, hélas, les choses se sont gâtées très vite, car à part son pyjama-short noir, Papa n'avait guère de choses en commun avec un arbitre véritable, et lorsqu'il a injustement sifflé un penalty contre son équipe chérie, nous avons compris, mon petit frère et moi, qu'il nous fallait intervenir de toute urgence...
Gini ne veut pas être grand. Il aime trop se blottir dans la douce fourrure de sa maman, boire son lait tiède et se promener agrippé à son cou. Mais un jour, son papa le prend fermement par le bras et l'entraîne dans la forêt.
Parce que Samuel a eu mal au ventre pendant la nuit, son père a quitté la chambre où il dormait avec sa belle-mère pour lui donner un médicament. Alors que le jour va se lever, il lui propose un petit déjeuner rien que pour eux deux. Un petit déjeuner de rêve ! Mais dans la cuisine, la lumière est inhabituelle et il règne un calme anormal. Quelque chose ne tourne pas rond…
Billy ne deviendra pas un supergangster comme moi, se désole son père. Il a trop bon caractère, il est bien trop gentil… Pourtant, Papa décide de fournir à son fils une panoplie complète et de lui donner sa première leçon de bandit.
C’est simple : il s’agit de pointer son revolver et de dire : « Haut les pattes ! » Ce que son père ignore, c’est que cet exercice va permettre à Billy de gagner ses galons de héros, mais surtout de se faire toute une bande d’amis !
Julie est fâchée contre son papa. Il a quitté la maison et Julie ne voulait pas. Mais c'est comme ça... Alors, Julie a dit à son papa : « Je ne veux plus te voir ! Jamais ! »
Un petit garçon s'ennuie à côté de son papa. Il essaie de lui dire quelque chose mais celui-ci ne comprend pas et se montre agacé. Alors le petit garçon va voir son ami Meüle, mi-bête, mi-homme qui habite dans la forêt. Meüle l'aide à sortir tous les mots bloqués sous forme d'un long ruban couvert de dessins. Le petit garçon le porte à son papa.
Le père d'Anton est écrivain et il vient de commencer un nouveau livre. Comme tout écrivain, il aime en parler; Anton le sait. Il est résigné, prêt à écouter une fois de plus ce qui se passe dans la tête de son père. Pourtant, cette fois, Anton reçoit un choc. Le nouveau livre de son père est un effondrement, une trahison, une tragédie... Et cela ne fait que commencer.
Dunne a plein de raisons d’être heureuse. Elle est heureuse quand elle apprend à nager. Elle est heureuse à la maison, avec papa et le chat. Elle est heureuse en préparant sa rentrée à l’école élémentaire.
À l’école, Dunne rencontre Ella Frida, et très vite elles deviennent inséparables. Elles partagent leurs jeux, leurs repas… Presque tout, en fait. Mais, après les vacances de Noël, Ella Frida doit déménager.
Est-ce qu’on peut être heureux encore lorsqu’on est séparé des gens que l’on aime ? Peut-être que le bonheur n’est pas toujours là.
Peut-être faut-il quelquefois le chercher. Alors si Dunne cherche bien…
Le père de Mustafa a un magasin de tapis. Quand les touristes étrangers arrivent, il leur dit : « Welcome », « Bienvenue », « Beautiful »... Il aimerait bien que son fils apprenne lui aussi les langues étrangères.
Dans le magasin, il y a un tapis que Mustafa adore. Personne ne semble en vouloir parce qu'il a un trou au milieu. Ce trou, Mustafa s'en moque. Au contraire, il le trouve très pratique : il peut mettre le tapis sur sa tête et regarder par l'ouverture.
«Je te donne ce tapis », lui dit son père, « mais tu me promets d'apprendre les langues étrangères ».
« D'accord », répond Mustafa, mais dès la première leçon, il s'ennuie si profondément qu'il quitte la maison en courant. Il va alors au marché, son tapis sur la tête. Et là, il trouve un étrange moyen d'apprendre quelques mots étrangers... et de faire venir beaucoup, beaucoup de monde dans le magasin de son père.
Quand les petits escargots ont la folie des grandeurs, heureusement qu’il se trouve quelquefois des papas escargots pour remettre les pendules à l’heure. Une maison époustouflante, gigantesque, plus belle qu’un palais, plus grandiose qu’une cathédrale ? Pourquoi pas… mais réfléchis, petit escargot. Avec une maison pareille sur le dos, pourras-tu encore bouger, manger, aller de chou frisé en chou pommelé ? Et pour mieux convaincre son petit, papa raconte une histoire exemplaire…
Comment ranger sa chambre par la seule force de la magie ? Comment revenir d’une île déserte juste à temps pour le goûter ? Comment s’endormir quand on a des Indiens et des bisons qui font la java tout autour de son lit ?
Pas de problème, avec ses amis secrets Powa et Pawo, Marcelle vient à bout des situations les plus délicates.
Il était une fois un petit prince que ses parents avaient surnommé « Méchant Petit Prince », sans comprendre qu’il était méchant pour rire ! Enfermé, puni, il décide de s’évader jusqu’au bout du monde à la recherche d’une vie meilleure. Partout, il emporte son malheur avec lui… jusqu’à ce qu’il tombe sur une Méchante Petite Princesse, avec qui il se marie et a beaucoup d’enfants qui deviennent tous méchants… pour rire ! Un livre coloré, drôle et intelligent qui contient un hommage vibrant à Méliès.
Rien est toujours avec moi, autour de moi. Il est toujours de bonne humeur et ne dit jamais rien de méchant. Je fais des tas de choses avec Rien. Pourtant, il arrive que Rien ne comprenne rien de rien. Quand je lui dis que j'aimerais bien rejoindre Maman au ciel, sur les montagnes d'Himalaya, par exemple. Rien, c'est mon ami à moi et rien ne le remplacera jamais.
Mon papa est tellement affreux qu'ils l'ont mis en prison. Je lui ai fait des dessins pour qu'il les accroche aux murs de sa cellule. Je ne sais pas dessiner mais ce n'est pas grave. Il adore mes dessins horribles. Il adore aussi jouer au poker, il adore gagner de l'argent. Il boit du whisky. Il insulte les gens dans le métro et il vole des voitures. Si vous connaissez un papa aussi affreux que le mien je vous paie des prunes.
Un matin, l'ogre du pays de nulle part trouve un bébé abandonné. Vite, il l'emporte chez lui, bien décidé à le dévorer. Seulement, au moment de le croquer, il lui semble trop petit et peu appétissant. Il va falloir bien nourrir ce gringalet pour qu'il soit plus dodu.
Gringalet grandit et devient un petit garçon... toujours aussi maigre. En attendant qu'il grossisse, l'ogre décide de l'inscrire à l'école. Mais ce n'est pas si simple, un papa ogre peut faire peur aux autres parents...
« Tu as appris tes leçons ? Tu as fait tes devoirs ? Qu’est-ce que tu lis ? Tu as pensé à écrire à Mamie ? »
C’est marrant comme la vie de famille est pareille, et comme les pères débitent les mêmes phrases, qu’ils soient humains ou crocodiles, de part et d’autre d’un palier d’immeuble !
Dans cette histoire complètement loufoque mais à la symétrie parfaite, on apprend tout de même à distinguer les petites filles et les bébés crocodiles : la viande de l’un sent la vase, celle de l’autre est beaucoup trop sucrée…