Thème « recherche de ses origines »
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Suzie, bientôt dix ans, a tout pour être heureuse. Elle a deux parents, aux cheveux bruns et lisses, qui l’aiment. Elle a aussi une meilleure amie, Marcia. Sa chevelure rousse vous saute au visage, une vraie attaque orange. La vie n’est décidément qu’une sombre affaire capillaire. Suzie vient de s’en rendre compte. Sur la tête de Suzie, des multitudes d’anglaises. Incroyable, disent les gens.
Mais ils ne connaissent pas son secret. Suzie, elle, a enfin compris. Elle est une enfant adoptée. Alors, Suzie passe ses journées à écrire à celle qui l’a abandonnée. Ça l’obsède. Suzie ne comprend plus rien à rien. Ces milliers de points d’interrogation dans sa tête l’empêchent d’y voir clair. Suzie a certainement la maladie des mauvais yeux. Pour guérir, il faudrait juste regarder la vérité en face. Mais Suzie fait mentir les miroirs.
Dans la tête de Léo, il y a plein de mots. Des mots comme « strapontin » ou « mousqueton », des mots jolis et qui l’emportent ailleurs.
Et autour de Léo, dans le métro, il y a plein de monde. Le manteau rouge de sa maman. Une fille avec peut-être du poil dans le dos. Un monsieur qui sent l’agrume flambé. Et des quantités d’enfants qui avancent comme des poissons panés sur des tapis roulants.
C’est comme ça que Léo a perdu la trace de sa maman, et qu’il se retrouve seul au milieu du monde. Comment faire maintenant ? Une vieille dame à la voix bizarre lui propose son aide. Elle s’appelle Calamiti-Djène. Elle a des lèvres de cheval, un harmonica, et un chien du nom de Dostoïevski. Et ce n’est que le début des surprises…S’il retrouve sa maman, Léo en aura des choses à lui raconter.
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d'ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n'a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d'Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu'au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres filles de la classe avaient déjà remarqué...
Malo de Lange est le fils de personne. Rien ne permet d’identifier l’enfant recueilli en 1822 par l’abbé Pigrièche à l’orphelinat de Tours. Rien, sauf une marque sur son épaule, la fleur de lys des bagnards que découvrent, horrifiées, les demoiselles de Lange qui viennent de l’adopter.
De l’aventure ! Il n’a que douze ans, il est à peine éduqué, et déjà le voilà arraché à ses tantes adoptives par un certain Riflard, une brute qui se prétend son père, mais qui le bat et le séquestre. Malo parvient à s’échapper et part sur les routes à la recherche de son vrai père.
De l’amour ! Elle s’appelle Léonie de Bonnechose, elle est belle, elle est riche. Malo a décidé que c’était sa fiancée, mais elle n’est pas au courant. Gagnera-t-il son coeur ? Aimera-t-elle le fils du voleur ?
Un héros partagé entre le bien et le mal ! Vagabond, bonimenteur, voleur à la tire, escorté du petit Craquelin, du gros Bourguignon et de La Bouillie qui lui apprend à jaspiner l’argot, Malo se retrouve avec sa bande à la taverne du Lapin volant, un repaire de voleurs et d’assassins. C’est le Lapin volant qui connaît le secret de sa naissance, Malo en est persuadé. Oui, mais gare ! À force de fréquenter la canaille, Malo risque de s’enfoncer dans le crime comme le couteau dans le beurre…
Retouvez la suite des aventures de Malo de Lange dans :
Malo de Lange, fils de Personne et Malo de Lange et le fils du roi.
Et revoici Émilien, le héros de « Baby-sitter blues » ! Sa mère pense qu'il manque cruellement d'un modèle identificatoire masculin. D'un homme, quoi. D'un père. Lui qui n'a même pas une photo du sien. Aussi, tandis qu'elle essaie en douce de refaire sa vie, elle envoie Émilien en vacances chez son oncle Marc, beau gosse, sportif, tellement dans le coup qu'il en est fatigant pour un adolescent. Mais, quand Émilien commence tout juste à le supporter, sa mère le rappelle d'urgence : Martial, le père inconnu, vient de mourir en laissant un tas de pièces d'or, sesterces, écus... accumulés en écumant les bords de Loire. Martial était joueur : Émilien doit se montrer digne de son héritage en traversant un véritable jeu de piste pour le retrouver, avec messages codés, pièges et rebondissements. Escorté de Valentin, l'énigmatique frère de Martial, Émilien va croiser sur sa route des vieilles dames qui font tourner les tables, un curé pendule et un moulin fantôme ! Alors, ce trésor, on va le chercher ?
Nous vivions à Paris dans un trois-pièces tout moche quand une lettre mystérieuse est arrivée, avec un kangourou sur le timbre rose et vert. Maman venait d’hériter d’un cousin australien inconnu : la fortune et une splendide maison à Barbizon… Le déménagement éclair, le bonheur, la forêt, les peintres, les nouveaux amis, à nous la belle vie ! Mais hasard ou coïncidence ? Voilà que j’apprends que, rien que dans mon école, deux autres enfants viennent de vivre la même aventure. Un parent éloigné qui meurt, l’héritage, l’installation à Barbizon.
Et puis encore un autre… Il y a de quoi former un club. Et mener l’enquête. D’autant qu’il se passe de drôles de choses dans une maison abandonnée, à l’orée de la forêt…
Léopold et ses cousins sont en mal de grand-père… Le vieux Walter est mort trop vite et trop tôt après avoir révélé son existence à sa nombreuse descendance (Le paradis d’en bas, tome 1). Depuis, personne dans sa grande famille n’a eu le courage de s’occuper de ses biens.
Sa maison est restée telle quelle, comme s’il allait revenir, comme s’il existait encore… Alors, quand Léopold apprend que le fantôme de Walter rôderait dans son ancienne demeure, il est à peine surpris.
Et si le spectre de Walter était revenu passer un peu de temps avec sa famille ? Et si ce n’était pas son fantôme ? Et s’il n’était jamais mort et qu’il jouait un tour à sa façon ? Et si ce n’était pas Walter ?
Il est temps de réactiver le Club des héritiers détectives et d’aller mener une petite enquête dans l’au-delà . C’est sûr, le CHD, lui, n’est pas mort !
Tim a disparu. Après son cours d’équitation, il n’est pas rentré chez lui. Le clan Soshimof est en émoi. Léopold, Holly et Manon, les cousins et meilleurs amis de Tim, se posent des questions. Que s’est-il passé ? Tim supportait de moins en moins les remarques incessantes de sa mère, surnommée la méprisenfants par Léopold. « Si ma mère continue, j’me casse », a même dit Tim à Léopold quelques jours avant sa disparition.
Tim a-t-il fait une fugue ? Où a-t-il bien pu aller ? Et pourquoi le pur-sang Oxbow du Grazon a-t-il disparu en même temps que Tim ? Que cache Magali, la responsable du poney club ?
Pour résoudre ces questions, Léopold, Manon et Holly reforment le Club des Héritiers Détectives. Mais sans Tim, le quatrième membre, la tâche s’avère difficile.
À moins que leur grand-oncle Walid ne leur prête main-forte…
Sa mère lui a confié dans un soupir que, la veille de sa naissance, son père avait besoin de souffler et qu'il était sorti prendre l'air. Alizé en déduit que le père qu'elle n'a jamais vu est le Vent. Ni plus ni moins. Mi-dieu, mi-force de la Nature. Exceptionnel et grandiose, en tout cas. Aussi, quand, au cours de vacances au bord de la mer, elle tombe amoureuse du beau moniteur de windsurf, Alizé pense que son destin s'accomplit : la fille du Vent ne peut s'unir qu'à un sublime sportif qui ne manque pas d'air... Mais voilà qu'un jour, enhardie, elle dérive trop loin, perd tout le monde de vue et arrive au bord de la terre : un précipice, précédé d'une plage de ciment. Et sur cette plage, deux canapés en velours côtelé jaune. Sur celui de gauche, un écriteau, « Réservé à ceux ». Elle choisit l'autre. Sans pouvoir deviner ce qui l'attend.
Dans la vie d’Hector il y a :
• un héros (c’est lui) ;
• un lieu ou deux (la maison et l’école) ;
• une personne qui aide le héros (son ami Elliot, ou parfois sa soeur Ludivine) ;
• un but à atteindre (rester le maître de sa vie).
Et il y a aussi :
• une faiblesse (Hector a peur) ;
• un méchant (on le découvrira bientôt) ;
• un événement imprévisible (ou même plusieurs) ;
• et des rebondissements.
Pas de doute, la vie d’Hector ressemble à une série télévisée. Mais comment devenir vraiment un héros ? Il va falloir être à la hauteur.
On a l'impression que Gabriel voit le monde de très haut. Il y a une sorte de cour autour de lui. Des amis qui viennent dans sa chambre de bonne, pour passer le temps et fumer des cigarettes. Des amis qui lui reprochent tous secrètement quelque chose. Les cadeaux somptueux qu'il offre, ses sautes d'humeur. Il ne m'aime pas, se répète Laura, sa petite amie. Pour qui il se prend, disent les autres. Et d'où tient-il son argent ? C'est peut-être un dealer. Le secret de Gabriel est ailleurs. Il est dans les aéroports, et dans le tableau accroché au-dessus de son lit. La seule personne à qui Gabriel pourrait en parler, c'est Samuel Pichet, qui ne fait partie d'aucune bande, et qui ne traîne jamais à la sortie des cours parce qu'il a un pacte avec sa petite soeur.
Qui sont les vrais parents de Polyxène ? Les seuls indices qu'elle ait pour les retrouver sont un petit pendentif de corail en forme de poisson, un morceau de tissu noir, rêche et sale, aux bords déchirés, une chaussette en soie rouge et une sorte de couverture rayée, aussi longue qu'étroite. Polyxène est-elle la fille du roi, la fille d'un mendiant, la fille d'un pêcheur ? A-t-elle été volée ou délibérément abandonnée ? Est-elle orpheline ou ses parents sont-ils encore en vie ? Chacun des indices va parler à tour de rôle, chacun va dévoiler une parcelle de vérité, toujours plus difficile à croire. Car l'histoire de Polyxène est plus étonnante que tout ce qu'elle aurait jamais pu imaginer.
On les appelle les EANA : les élèves allophones nouvellement arrivés. Ils viennent d’un peu partout. De Bulgarie, de Turquie, de Corée, de Grande-Bretagne ou, comme Luca, de Roumanie. Ils sont là pour un temps ou pour longtemps. Ils viennent avec leurs histoires, simples ou heurtées. C’est peut-être le travail de leurs parents qui les a amenés là , ou bien l’absence de travail. Parfois l’espoir, parfois l’absence d’espoir. Ils parlent un français dansant, boiteux, drôle. Ils portent des rêves puissants et fragiles, celui de devenir champion de Rubik’s Cube ou virtuose du violon. C’est pour toutes ces raisons qu’ils sont venus à Paris, dans la Ville lumière. Mais la lumière a aussi ses ombres.
Je m’appelle Corneille. Quand je n’étais qu’un bébé, quelqu’un m’a déposée dans un vieux rafiot et m’a poussée en haute mer. Je me suis échouée sur une toute petite île. C’est Osh qui m’a trouvée et qui m’a recueillie. Pendant longtemps, j’ai été heureuse de vivre avec lui, d’apprendre à pêcher et à lire avec Miss Maggie, notre voisine. Et puis, une nuit, j’ai vu brûler un feu sur l’île de Penikese où personne n’allait jamais. J’ai décidé que le temps était venu de savoir qui j’étais. Et pourquoi tant d’habitants de l’île m’évitaient comme s’ils avaient peur…
Malo de Lange est le fils de personne. Rien ne permet d’identifier l’enfant recueilli en 1822 par l’abbé Pigrièche à l’orphelinat de Tours. Rien, sauf une marque tatouée sur son épaule, la fleur de lys des bagnards que découvrent, horrifiées, les demoiselles de Lange qui viennent de l’adopter. Quels mystères se cachent derrière l’abandon de ce mystérieux enfant blond ? Quelle est donc sa véritable identité ?
Un roman d’aventures écrit à la mode des feuilletons du XIXe siècle, qui plonge le lecteur au cœur des rues du Paris de 1822, dans les ombres desquelles se tapissent bandits, voleurs et assassins.
« Normalement, c'est dans les greniers des grand-mères qu'on découvre des secrets de famille. Pour moi, ce fut dans le garage de ma tante Fabienne. Les vacances d'été se terminaient et j'avais douze ans. Ma soeur m'a crié de venir à table. J'ai mangé. Ensuite, nous avons fait la vaisselle et mon frère a aidé mon oncle à poncer un plancher. Les mots dansaient devant mes yeux Il n'y a plus aucun doute à présent. J'ai fait le test. Paul revient de Turquie dans un mois. Il sera trop tard, alors, pour arrêter quoi que ce soit. je n'ai rien dit à Gilles. Viens me voir, Fabienne, viens vite. J'ai besoin de toi... C'était l'écriture de maman. La lettre était datée de juillet 1982. Huit mois avant ma naissance.»