Thème « prise de responsabilité »
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Jusqu'à hier 17h00, j'étais une fée du logis. Pas évident pour un garçon, mais quand on a un papa qui perd régulièrement ses boutons et qui serait du genre à faire cuire des pâtes sans eau, il faut bien faire un effort. Seulement, il y a des limites. Si vous voulez tout savoir, j'en ai assez de vivre seul avec un savant fou, qui est capable de mettre le feu à la cuisine, tout en oubliant d'éteindre le robinet de la baignoire. Heureusement, ma copine Elsa a eu une idée géniale. « C'est une femme qu'il lui faut ! » m'a-t-elle dit. Elle a raison, mais comment savoir quelle femme pourra tomber amoureuse de mon père ? Elsa a réponse à tout : « Si une femme attrape les joues roses à cause de ton père, c'est qu'elle est prête à l'épouser, » m'a-t-elle répondu. Il paraît que l'amour fait rougir. Il ne nous reste donc plus qu'à trouver les joues roses et la dame qui va avec.
Ce n'est pas tous les jours facile d'avoir une mère qui accroche des pendentifs en forme d'araignées à ses oreilles, se teint les cheveux en bleu, se promène en bikini à paillettes et en pantalon bouffant à pois roses, et ne verrait aucun inconvénient à se rendre dans cette tenue à un rendez-vous avec votre directeur d'école. Ce n'est pas facile non plus d'avoir une mère qui passe ses journées à regarder des films à la télé, en mangeant des chips en compagnie de son petit ami, même si ce dernier a suffisamment bon caractère pour apprécier le surnom de Pourri de Malheur, que vous lui avez affectueusement donné. Pourtant, Minna l'héroïne de cette histoire, tient le coup. C'est elle qui pense aux visites chez le dentiste, à changer l'eau du poisson rouge, et à terminer toute seule ses devoirs. Ca ne veut d'ailleurs pas dire qu'elle ne s'amuse jamais. Et de toute façon, une maman, c'est toujours une maman !
Quand peut-on commencer à faire de la politique ? Dès le CM2, répond Maxime, qui vient de créer un syndicat pour la défense des élèves faibles. C'est possible, mais il y a des jours où il faut être le plus courageux du monde.
Retrouvez Maxime dans : « Maxime fait des miracles » (Collection Mouche), « Maxime fait l'idiot », « Maxime fait un beau mariage » (Collection Neuf) et dans « Adieu Maxime » (Collection Médium).
Émilien déteste les mioches qui pleurnichent. Il s'est juré de ne jamais devenir père. Un père, d'ailleurs, il ne sait pas ce que c'est. À quatorze ans, il vit seul avec sa mère depuis toujours. Alors, pourquoi jouer les baby-sitters ? Par appât du gain, bien sûr. À 15 euros de l'heure, il pourra bientôt se payer le PC de ses rêves... Mais voilà , à force de mentir en se faisant passer pour un as du baby-sitting et de potasser « Comprendre et aimer son enfant », Émilien se prend au jeu. Et il s'intéresse si bien au petit Anthony, six mois, le bébé qui ne sourit jamais, qu'il finit par s'y attacher. Hélas, c'est au moment où il prend vraiment goût à la garde d'enfants que sa mère l'empêche de continuer. Études obligent. Émilien trouve un compromis : donner des cours de français à une dyslexique. Lui qui cherchait à parfaire sa connaissance du coeur humain, il va être servi...
Émilien est fatigué. Il a une mère-fille mère. Ce n'est pas qu'elle n'ait pas d'hommes dans sa vie. Ils défilent. Elle les jette tous. Comme homme de la famille, il ne reste que lui. Il ne peut même pas compter sur son futur petit frère. Ce sera Justine, une soeur, donc. Émilien a peur. Le téléphone, puis l'électricité ont été coupés à l'appartement. Six soirs sur sept, c'est raviolis au dîner. Quand quelqu'un frappe à la porte, c'est un huissier. Émilien s'évade. En étudiant Phèdre ou en dévorant les oeuvres complètes de Barbara Cartland que lui a fait découvrir sa vieille voisine, Mlle Sainfoin. Que des histoires d'amour compliquées... mais qui lui donnent une idée.
Pauline sait ce qu'elle veut faire plus tard : poète. Comme son PC (Père Compliqué). Sauf qu'elle, à onze ans, écrit déjà de nombreux poèmes alors que son PC, à l'âge adulte, n'en a pas encore commencé un. Pour obéir à cette vocation, elle est prête à d'immenses sacrifices, comme, par exemple, se voir brutalement quittée par Mimoun, son amoureux de toujours. Mimoun est marocain et musulman et il pense que, dans sa culture, une femme ne peut pas devenir poète.
- Va te faire voir, toi et ta culture de m... ! lui lance Pauline.
Maintenant, non seulement elle est malheureuse, mais en plus tout le monde la prend pour une raciste. On a beau être poète dans l'âme, il y a des jours où c'est dur, très dur, d'avoir onze ans aux Pays-Bas, d'être une fille, et de voir les adultes autour de soi passer de la catégorie Compliqués à Très Compliqués, voire Abominablement Compliqués.
Retrouvez Pauline dans La vie, ça vaut le coup et Le bonheur surgit sans prévenir.
La vie, ça vaut le coup est la suite, écrite dans la foulée, de Unis pour la vie. Trois autres volumes des aventures de Pauline sont déjà parus aux Pays-Bas.
Dans Unis pour la vie, Pauline avait des soucis : un PC (Père Compliqué), un instituteur amoureux de sa mère, et un soupirant marocain, Mimoun, qui voulait lui interdire de devenir poète.
Dans La vie, ça vaut le coup, ces soucis s'aggravent. L'instituteur veut épouser sa mère, Mimoun doit repartir au Maroc. Quant à Spiek, son père poète maudit, non seulement il n'a toujours pas écrit une ligne, mais il est maintenant à la rue, accro à toutes sortes de saletés, obligé par ses démons à voler et même à mentir à sa propre fille.
Heureusement, il y a Pauline le veau, l'animal préféré de Pauline, chez ses grands-parents à la campagne. Il y a la poésie et la gentillesse, les deux armes de Pauline pour encourager Spiek à arrêter la drogue...
Notre mère ne sait pas cuisiner. Mais alors pas du tout. Quand elle rentre fatiguée du bureau, c’est tous les soirs le même menu : raviolis en boîte et yaourts sans goût. Mes trois frères et moi lui avons pourtant offert un livre de recettes pour son anniversaire, mais rien n’y fait, elle refuse de l’ouvrir. Nous, on rêve de boeuf bourguignon et de clafoutis aux cerises.
La seule solution est d’enfiler le tablier et de se mettre aux fourneaux. Mais on ne devient pas cuistot d’un coup de baguette magique. Pourtant, nos tentatives culinaires semblent avoir un effet positif sur le moral de notre mère. Elle sourit beaucoup plus qu’avant, les yeux perdus dans le vague. Et elle n’hésite pas à inviter un nouvel ami à dîner…
Audren aime les livres de recettes, les plats qui mijotent, les gâteaux qui gonflent dans le four. Elle est d’ailleurs réputée pour ses pâtisseries et ses cookies maison. L’écriture, la musique, la cuisine et le jardinage sont ses occupations préférées parce qu’elles forment une combinaison parfaite pour combler les cinq sens et satisfaire son besoin d’évasion.
Mathilde avait espéré qu'elle échapperait à une treizième fille au pair, mais sa mère ne l'a pas entendu de cette oreille. La nouvelle s'appelle Elsie, elle est américaine, et pour Mathilde comme pour sa famille, c'est un sérieux choc.
Une petite fille de dix ans vit avec sa mère, malheureuse depuis que le père les a quittées.
Un jour de grand vent, son mouchoir s’envole. Pas n’importe quel mouchoir, mais celui que son père lui a donné. La mère, exaltée, se persuade qu’il suffit de le suivre pour retrouver son propriétaire.
Et les voici parties toutes les deux dans une quête folle. Pendant ce temps, un homme les cherche, les suit. Quand la fille se retrouve face à lui, il prétend qu’il est son père.
Mais est-ce vraiment lui, cet homme qu’elle ne reconnaît pas ?
Pour conquérir le cœur de Caroline, Olivier a dû vaincre sa timidité, braver le danger, affronter la Mafia, accomplir un exploit. Et maintenant ? Ils ont seize ans et ils s’aiment. Tout devrait être simple. Pourtant, ils ont peur. Peur de ne pas être à la hauteur de leur amour. Peur que tout s’arrête soudain. Car apprendre à s’aimer, aujourd’hui, c’est comme apprendre à conduire dans un cimetière de voitures. Qui va les aider ? Leurs parents ? Ils ne comprennent rien. Les cours d’éducation sexuelle ? Ils sont d’une nullité affligeante. Et si le secours venait d’ailleurs, inattendu, puissant comme un murmure ?
Simple dit « oh, oh, vilain mot » quand Kléber, son frère, jure et peste. Il dit « j'aime personne, ici » quand il n'aime personne, ici. Il sait compter à toute vitesse : 7, 9, 12, B, mille, cent. Il joue avec des Playmobil, et les beaud'hommes cachés dans les téphélones, les réveils et les feux rouges. Il a trois ans et vingt-deux ans. Vingt-deux d'âge civil. Trois d'âge mental.
Kléber, lui, est en terminale, il est très très courageux et très très fatigué de s'occuper de Simple. Simple a un autre ami que son frère. C'est Monsieur Pinpin, un lapin en peluche. Monsieur Pinpin est son allié, à la vie, à la mort. Il va tuer Malicroix, l'institution pour débiles où le père de Simple a voulu l'enfermer, où Simple a failli mourir de chagrin. Monsieur Pinpin, dans ces cas-là , il pète la gueule.
Rien n'est simple, non, dans la vie de Simple et Kléber. Mais le jour où Kléber a l'idée d'habiter en colocation avec des étudiants, trois garçons et une fille, pour sauver Simple de Malicroix, alors là , tout devient compliqué.
Un appartement. Une chambre à soi. Le rêve, le paradis sur terre quand on vient de passer une bonne quinzaine d'année chez papa-maman à obéir, à se taire, à respecter les horaires et les manies de la famille. C'est ce miracle qui arrive à Colombe et à sa meilleure amie Louise. Elles n'ont que seize ans, c'est l'année du bac de français et pourtant, Gaga est d'accord pour leur prêter un petit appart sous les toits. Gaga, c'est la grand-mère de Colombe. Une grand-mère pas comme les autres, une vraie terreur à vélo. Elle ne doit pas ce surnom à la sénilité précoce, mais à une déformation infantile de son prénom, Olga, par Colombe quand elle avait deux ans. Et depuis c'est resté. Vous croyez peut-être que c'est le bonheur absolu, cet appart sous les toits. Et c'est ce que Colombe croyait aussi. Mais voilà , Gaga a le cœur sur la main. Et quand elle propose à Lola, la fille d'un collègue mutée loin, de le partager avec Colombe et Louise, on peut dire que les ennuis commencent...
Californie Whipple, douze ans, est emmenée de force de son Massachusetts natal jusqu’à l’autre bout du continent. Changeant son prénom honni en « Lucy », elle pose un regard sévère et consterné sur sa nouvelle maison : une tente plantée au milieu d’un tas de boue et de poussière, cernée par des chercheurs d’or alcooliques et incultes. Mais les tas de poussière et les grossiers personnages peuvent réserver de sacrées surprises…
Un jour, à la caisse du magasin, un inconnu tend à Rowan un objet qu’elle aurait laissé tomber par terre. C’est le négatif d’une photographie. On y distingue un visage radieux. Cela fait deux ans que Rowan ne sait plus ce que c’est, un visage radieux. Depuis la mort de son frère Jack, Rowan doit faire face. Ses parents se sont séparés, sa mère a perdu goût à la vie. Et c’est elle, Rowan, à quatorze ans, qui élève sa petite soeur au quotidien. Mais comment quelque chose qui ne nous appartient pas peut-il transfigurer l’existence ? Rowan est persuadée que ce négatif n’est pas à elle. Pourtant, il va révéler bien des secrets, et éclairer sa vie d’un jour nouveau.
George, la mère, se débrouille de façon plus ou moins légale pour faire bouillir la marmite de la famille. Elle répare le four cassé à coups de pompe à vélo. Elle prétend qu'il s'agit d'être aussi inventive que la panne. Forcément, il y a des bonnes âmes pour la traiter de sorcière. Trick et Tin, les petits frères jumeaux de cinq ans, parlent entre eux dans une langue bizarre. C'est de la cryptophasie, et il paraît que c'est courant. Élisabeth, dite Éli, elle, s'évade parfois dans la forêt de cette vie trop originale et pas toujours facile, en rêvant à Marcellin Loiret. Elle se demande pourquoi les autres ne peuvent pas les aimer comme ils sont : « Dans le monde, il faut bien des sorcières et des petits jumeaux et une adolescente amoureuse de son professeur de mathématiques. Pourquoi pas ? »
Mais le jour où elle entend pour la première fois la vérité sur ses racines, Élisabeth a le souffle coupé par la révélation. Et les jambes. Au point de soudain ne plus pouvoir marcher. Marcher, ça veut dire avancer, fonctionner ou être dupe. C'est son tour, à présent, de devoir se montrer aussi inventive que la panne.