Thème « photographie »
Message d'erreur
- Notice : Undefined variable: pageCollection dans include() (ligne 7 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined variable: pageCollection dans include() (ligne 7 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined index: prix dans include() (ligne 79 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Warning : Invalid argument supplied for foreach() dans include() (ligne 79 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined index: prix dans include() (ligne 137 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Warning : Invalid argument supplied for foreach() dans include() (ligne 137 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
Réunir tout le monde pour faire une photo de groupe n’est pas aisé quand on est un photographe débutant. Aucun toutou ne reste tranquille pour prendre la pose.
Jane, la dalmatienne photographe, s’énerve un peu et clic…
TOUT MOMO DANS UN SEUL LIVRE ! Enfin, voici les trois histoires de ce dinosaure-alligator au fichu caractère : « Momo fait de la photo », « Momo ouvre un magasin » et « Mais qu'est-ce qu'il a Momo ? »
Parcourir une ancienne photo de classe avec sa maman, quel fabuleux voyage ! Chaque visage a une histoire qui remonte à la mémoire. Mais ce visage-là, dont maman conserve un souvenir si vivant, ce monsieur Animaux si rigolo, qui est-il exactement ?
Antonia est un peu allergique à la vie. Elle n'aime pas entendre les mauvaises nouvelles à la radio, et son ventre se tord dès qu'elle pense à certaines choses. Heureusement, elle a un truc magique. Elle sait s'échapper. Elle se rêve en oiseau et plus rien ne lui fait peur. Plus rien de désagréable ne peut lui arriver. Enfin, presque. Il y a une journée contre laquelle les rêves ne peuvent rien. C'est une journée particulière à l'école où tout le monde se fait beau et sourit. Antonia, elle, a envie d'être comme d'habitude et de disparaître. Cette fois-ci, ce n'est pas seulement de la peur, mais un grand secret. Car, ce jour de la photo de classe, Antonia a vraiment de bonnes raisons de le détester.
Avec Claude, son frère aîné, Nicéphore Niépce a commencé par mettre au point un moteur à explosion, le pyréolophore. Puis ils ont tenté de perfectionner les grandes eaux de Versailles, la culture de l’indigo, la lithographie… Mais le projet qui tient le plus à coeur à Nicéphore, c’est une boîte, inventée au IVe siècle avant Jésus-Christ, qu’on appelle la camera obscura. À l’aide de la science, de la chimie et du soleil, il est en train d’inventer ce qui ne porte pas encore le nom de photographie. Le monde n’en sait rien encore. Mais Clarisse, la fille des domestiques de la maison, elle, est dans la confidence…
Le père de Sophie, ouvrier zingueur, est mort en tombant d’un toit. Elle rêvait d’aller à l’école, mais il n’en est plus question.
Sophie est pauvre et doit travailler comme domestique chez les bourgeois des beaux quartiers. Dans son malheur, elle a de la chance : son patron est le célèbre Nadar, un photographe génial et farfelu. Il vient de faire construire un ballon géant qui va survoler Paris.
Et puis, il y a la voisine de Sophie, Madame Louise Michel, une institutrice qui lui apprend à lire en cachette. Ce qui va se révéler bien utile pour sympathiser avec Paul, le fils de Nadar, passionné de photo, lui aussi.
De retour à la Maison des enfants de Sèvres, Catherine se lance dans le monde. Poussée par Goéland et Pingouin, elle commence une carrière de photographe-reporter. Mais, au début des années 50, il ne fait pas bon être une femme dans ce milieu exclusivement masculin. Et si la guerre est finie, les combats, eux, ne manquent pas. À commencer par le féminisme, que Catherine découvre avec Simone
de Beauvoir. Sa rencontre avec Mayis, chanteuse noire américaine qui a fui les États-Unis pour s’installer en France, la pousse à réaliser un vieux rêve. La voilà embarquée pour trois mois dans cette Amérique de l’après-guerre, où le meilleur côtoie le pire. À sa façon, Catherine lutte. Et peut-être que cette lutte lui permettra de faire la paix avec celle qu’elle était avant la guerre, cette jeune adolescente qu’on appelait « Rachel Cohen ».
Rachel Cohen s’appelle désormais Catherine Colin. Elle doit oublier son ancien nom et celui de ses parents. Mais aussi sa vie d’avant, quand il n’y avait pas la guerre et que les Juifs ne devaient pas se cacher. Et puis il faut partir. Dans sa fuite, Catherine emporte son Rolleiflex et des films. Pour tenir, pour résister, elle fait des photos.
« Je sors mon appareil et prends une photo d’Hélène, au moment où elle me fait un signe de main. Je devine que j’ai saisi chez ma compagne de route un mouvement infime, entre tristesse pesante et force que donne la nécessité d’agir. Ce simple geste de femme qui soulève sa valise est la première image qui me restera de mon long périple dans la guerre. »
Julia Billet à propos de son livre : « Cette histoire s’inspire donc de faits du réel, de personnages ayant existé et à qui je souhaite rendre hommage. […] mais La Guerre de Catherine reste avant tout un roman, un roman qui s’inscrit dans une période de l’histoire et vient rappeler que, même quand les loups hurlent à la mort, des femmes et des hommes savent rester fidèles à leur humanité. »
La Guerre de Catherine a été adapté en BD chez Rue de Sèvres.
Lou va entrer en seconde. Elle sait ce qu’elle laisse derrière elle. L’ennui des années collège. La chaleur orageuse de l’été. Les disputes entre ses parents.
Mais que va-t-elle trouver devant ? Il y a la vie rêvée, les cours de hip-hop, et toutes les photos qu’elle fait dans la cité. Il y a la vie qui s’organise avec tous les voisins de l’immeuble.
Et puis surtout il y a Lili, la grande soeur de Lou. Lili l’insaisissable. Lili qui se met tout à coup à faire le ramadan et à porter le foulard. Lili qui va loin, très loin, trop loin. Jusqu’où ?