Thème « petits boulots »
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"Il doit exister une meilleure école que l'école ", pensaient Frédéric et Albert. Il doit y avoir d'autres personnes à qui parler anglais que professeur d'anglais. Il y a un autre univers à explorer que la salle de classe et ses quatre murs. Alors hop! Faisons une fugue pour apprendre l'anglais, ce qui sert d'alibi pour tenter l'aventure. Gill Rosner est anglaise. Susie Morgenstern est américaine. Elles ont eu tant de plaisir à travailler ensemble en mangeant du chocolat pour innover et inventer des cours d'anglais à la Faculté des Sciences de Nice qu'elles ont continué à être complices pour écrire ce roman anglo-américain en français... et en anglais! Vous retrouverez Frédéric et Albert Papillon dans "New York Alibi" et "Europe Alibi"
Émilien déteste les mioches qui pleurnichent. Il s'est juré de ne jamais devenir père. Un père, d'ailleurs, il ne sait pas ce que c'est. À quatorze ans, il vit seul avec sa mère depuis toujours. Alors, pourquoi jouer les baby-sitters ? Par appât du gain, bien sûr. À 15 euros de l'heure, il pourra bientôt se payer le PC de ses rêves... Mais voilà, à force de mentir en se faisant passer pour un as du baby-sitting et de potasser « Comprendre et aimer son enfant », Émilien se prend au jeu. Et il s'intéresse si bien au petit Anthony, six mois, le bébé qui ne sourit jamais, qu'il finit par s'y attacher. Hélas, c'est au moment où il prend vraiment goût à la garde d'enfants que sa mère l'empêche de continuer. Études obligent. Émilien trouve un compromis : donner des cours de français à une dyslexique. Lui qui cherchait à parfaire sa connaissance du coeur humain, il va être servi...
Avec sa bande d'amis, Émilien se prépare à devenir mono au centre d'Argilly, en Bourgogne, un endroit pittoresque, selon la directrice. Traduction : sans salles de bains. La colo accueille des enfants de trois à sept ans, quelques cas sociaux et deux handicapés : un autiste de six ans, un mongolien de huit. La directrice a insisté : il faut encourager l'autonomie des enfants, avoir un consensus pédagogique et une complémentarité des apports. Émilien, lui, joue avec les petits à boire la pluie et il organise des courses d'escargots. C'est très mal vu. Il les aide à écrire des lettres pleines de chagrin à leurs parents. C'est désastreux. Bref, il cherche à se faire aimer des enfants. Les autres le traitent de démago et d'incapable. Il ne lui reste plus qu'à écrire à la sienne, de mère : « Chère maman, ton fils est un nul. » Heureusement, Martine-Marie est là. Elle a le dévouement gai et l'enthousiasme contagieux. Et elle, ce n'est pas l'autonomie d'Émilien qu'elle encourage, c'est son amour.
Les fans de « C'est dur à supporter », « La Mousse-manie » et du « Roi des casse-pieds » l'attendaient depuis des années : voici enfin la suite des aventures de Peter Hatcher et de son petit frère Farley Drexel, dit Mousse ! Mousse est très mûr pour son âge, cinq ans, et il a une nouvelle passion : l'argent. Il en est obsédé. Il le met en chansons. Il ne rêve que d'une chose, devenir plein aux as et pouvoir se payer tout ce qui le tente : New York, Washington, trois paires de chaussures pareilles et une pièce pour ses jouets. Mais pour le moment, il ne possède que quatorze dollars et soixante-quatorze cents. Aussi se lance-t-il dans l'émission d'une nouvelle monnaie : les billets-Mousse.
- Tu n'as aucun sens des valeurs ! lui reprochent les autres.
- Le sens des valeurs, ça coûte combien ? réplique Mousse.
Ce n'est pas brillant... Mais les ennuis, les vrais ennuis, ne font que commencer. Les Hatcher tombent par hasard sur leurs cousins éloignés de Hawaii. Les Hatcher d'Hawaii ont deux filles, mais aussi un petit garçon. Et celui-ci s'appelle... Mousse.
Retrouvez Peter et Mousse dans « C'est dur à supporter », « Le roi des casse-pieds » et « La Mousse-manie », tous dans la collection Neuf.
Yvan n'est pas un garçon qui se laisse abattre. Quand il apprend qu'il va désormais devoir passer ses mercredis après-midi chez sa grand-tante Mauricette, qui est pédicure, il décide que cette perspective consternante offre au moins un avantage : celui de pouvoir lui faire rencontrer une princesse. En effet, comme chacun le sait, une princesse se reconnaît à son pied spécialement fin.
Malheureusement, Yvan s'aperçoit vite que la moyenne d'âge des clientes de Tante Mauricette est très élevée, et les pieds qu'il voit défiler devant lui n'ont parfois plus grand chose d'humain... Pourtant, cette première journée d'assistant pédicure n'est pas dénuée d'intérêt, ni même de mystères qu'Yvan a très envie de comprendre. Pourquoi, par exemple, Tante Mauricette semble-t-elle contrariée lorsque ses clientes complimentent son petit-neveu sur ses talents de masseur ? Et pourquoi est-elle, d'une manière générale si différente de la personne qu'Yvan a toujours connue ? À quel secret pense-t-elle quand son regard devient doux et un peu triste ? Et surtout, à quoi reconnaît-on vraiment une princesse ?
Mathilde avait espéré qu'elle échapperait à une treizième fille au pair, mais sa mère ne l'a pas entendu de cette oreille. La nouvelle s'appelle Elsie, elle est américaine, et pour Mathilde comme pour sa famille, c'est un sérieux choc.
Cela n'arrive pas tous les jours à une jeune fille juive de se retrouver employée à mi-temps comme Père-Noël dans un grand magasin. C'est pourtant ce qui arrive à Samantha. En grande partie à cause d'une teinture ratée, qui lui a laissé les cheveux blancs comme neige. Pour la teinture, sa mère n'a rien dit, mais pour l'emploi c'est une autre histoire. Elle est désespérée par cet acte incompréhensible, et tient à en parler au plus tôt au rabbin Poppel. Il n'y a pourtant rien d'incompréhensible. Samantha a voulu ce travail parce qu'elle mourait d'ennui. Maintenant, elle ne s'ennuie plus. Elle meurt d'étouffement devant les hordes d'enfants qui viennent se faire photographier sur ses genoux et lui offrent des poèmes. Elle frissonne en reconnaissant dans la file d'attente, une bande de garçons de son lycée. Elle blêmit en lisant le poème que sa propre mère a tenu à lui apporter. Mais elle n'est pas encore au bout de ses émotions, car il y a un deuxième Père-Noël chez Good Buy. Un Père-Noël un peu étrange, mais absolument irrésistible.
Ce matin-là, au lieu d'aller au collège comme d'habitude, Louis cède à une idée folle : il passe la journée au cinéma. Rien de très dramatique, direz-vous. En plus Louis a de la chance, le cahier de classe n'a pas circulé ce jour-là. Personne n'a rien remarqué. L'ennui, c'est qu'il a intégralement dépensé l'argent de l'assurance scolaire et qu'il n'a aucun moyen de le rembourser. Avouer son escapade à ses parents ? Ce serait le plus raisonnable, d'autant qu'ils ne sont ni l'un ni l'autre, spécialement sévères. Mais depuis leur séparation, rien n'est simple, la moindre conversation a des allures de champs de mines.
Et comme, plus on attend pour dire la vérité, plus elle est difficile à dire, Louis a finalement laissé tomber. Il n'y a pas si longtemps, il en aurait parlé à son grand frère Edson, son « gourou », mais Edson est parti faire sport-études à Nice, pour mieux signifier qu'il désapprouvait la séparation. Il ne reste qu'une solution : gagner de l'argent. Louis décide de donner des cours à des élèves de primaire en difficulté. Après une longue attente, sa petite annonce affichée à la boulangerie porte ses fruits. Louis a une élève, plutôt sympathique, mais financièrement, le premier cours est une catastrophe. Non seulement la maman n'est pas là pour le payer, mais en plus il casse un vase. Les journées au collège ne sont pas une partie de plaisir : traumatisé par une publicité pour l'assurance scolaire, Louis craint les bousculades comme la peste et n'ose plus frapper dans une balle. Il se fait rapidement exclure, entre autres, des parties de foot. Sans doute il sombrerait dans une profonde déprime, s'il n'avait pas pour nouvelle voisine de classe Sandra Tournachère. Elle ne peut pas tellement l'aider à regagner de la popularité, parce tout le monde la déteste et la trouve bizarre, mais elle s'y connaît en philosophie chinoise et c'est une bonne alliée dans la vie.
Pour Antoine et ses amis, l'été qui commence sépare les années lycée de l'entrée à l'université. Si tous (Mehdi, Hannah, Alice) savent déjà ce qu'ils vont faire, ce n'est pas son cas. En pleine incertitude, y compris familiale — car sa mère a un nouveau compagnon qui ne lui plaît guère —, Antoine broie du noir depuis qu'Hannah et lui ont rompu. Faute de mieux, entre deux fêtes trop arrosées, il se console dans les bras d'une jolie blonde et accepte un petit boulot dans une maison de retraite.
Mais le temps presse, et il faudra bien qu'il décide ce qu'il veut faire de sa vie, avec ou sans Hannah.