Thème « mort, deuil »
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Le grand-père de Pablito lui a offert un petit cochon jaune. Pablito l'a baptisé Amarillo, à cause de sa couleur. Ils sont inséparables. Mais un jour, Amarillo disparaît. Les jours passent et il ne revient pas. Personne ne sait ce qui lui est arrivé. Pablito pense à lui sans cesse, rien ne peut le consoler. « Peut-être Amarillo est-il mort », lui dit son grand-père. « Et ici, au Guatemala, quand les gens sont tristes comme toi, Pablito, ils envoient un cerf-volant dans le ciel pour communiquer avec les morts.»
Le jour de la fête des morts, le cerf-volant de Pablito est prêt. « Vole, vole vers Amarillo ! » lui dit-il. Et ce jour-là, il se passe une chose très belle : Amarillo lui répond.
« Moi, je ressemble à mon grand-papa. Je suis toute petite comme lui. Je n'ai qu'un cheveu sur la tête, comme lui. Je fais souvent la sieste, comme lui. Et quand on me regarde, je ne parle pas, je souris, comme lui. »
Un jour, au milieu d'un pré, Monsieur Monsieur croise la Mort. Sans faire attention, il lui serre la main et le voilà instantanément gelé de la tête aux pieds. Heureusement, Mademoiselle Moiselle, qui passait par là, va vite le réchauffer.
Une histoire d'amitié entre Odette, moineau de Paris et un vieux musicien des rues. Comment ce dernier reprendra goût à la vie, quand tous deux donneront des concerts dans le métro. Comment Odette apprendra la douleur de la disparition, quand un jour, à son retour des pays chauds, le vieux musicien n'est plus là.
Comment guérir d’une blessure ? Comment combler un vide ? Comment supporter une absence ? Comment survivre à la mort d’un être cher ? L’ours croit qu’il n’y arrivera pas. Qu’il restera inconsolable du départ de son ami le petit oiseau. Il ne se sépare plus du cercueil qu’il lui a fabriqué.
Mais c’est en acceptant de passer par toutes les étapes de la souffrance et du deuil – révolte, souvenirs, chagrin, solitude…– qu’il va enfin reprendre goût à la vie, et faire de nouvelles rencontres.
Dans une ville toute blanche, accrochée à une falaise qui domine l'océan, un vieux roi vient de s'endormir pour toujours. Les cloches sonnent à la volée : « Le vieux roi est mort, le vieux roi n'est plus ! »
Dans le palais doré perché au sommet du rocher, un petit prince pleure en regardant la mer. Un énorme chagrin lui serre très fort le coeur. « Viens, petit prince, viens, c'est ton tour... »
Le professeur Plume observe les oiseaux du cerisier pendant des journées entières. Son épouse, Madeleine, aime surtout leurs chants. Elle a même appris à siffler comme eux. Avec son visage tout fin, son petit nez pointu et ses yeux ronds, Madeleine ressemble un peu à un oiseau. D’ailleurs, Monsieur Plume, qui aime beaucoup sa femme, l’appelle tendrement sa « petite plume ».
L'histoire de Pochée la tortue qui croyait avoir trouvé le bonheur et l'amour avant de perdre son compagnon, Pouce. Elle dut pourtant faire beaucoup de chemin, chercher des fraises des bois, lire des messages à propos de cadeaux, supporter un escargot baptisé Truc, une tortue appelée Nestor et un hérisson du nom de Pépin, avant de comprendre comment on peut être heureux de nouveau.
Chez les Pozzis, c’est la fête ou plutôt la récréation. Au programme : concours du meilleur lanceur de boulettes-rectangles et du plus grand avaleur de potage.
Mais Abel, l’extra-lucideur qui voit mieux et plus loin que les autres Pozzis, n’a pas le cœur à s’amuser, ni même à danser avec la belle Adèle. A-t-il compris que son chef, Capone, était en danger ou bien est-il inquiet pour les bébés Pozzis ? À moins que le danger ne vienne du Lailleurs car le danger vient toujours du Lailleurs…
Mais flûtedezut, zutdeflûte, que se passe-t-il au pays si paisible des Pozzis ?
Papipa est mort et cela éveille beaucoup de questions chez Raoul. « Si tu ne pleures pas, c’est parce que tu gardes tes larmes à l’intérieur ? » demande-t-il à son papa.
« Et qu’est-ce que c’est d’être enterré ? Est-ce que ce n’est pas dangereux d’être au ciel ? », s’inquiète sa petite sœur.
Raoul la rassure : « Papipa a dû retrouver Maminou et elle le tient par la main. » De toutes façons, pour Raoul, Papipa est toujours un peu là…
Cette histoire se passe à Touvabihin, un pays sans soleil où le noir n'existe pas. Un pays où il est interdit de pleurer et où les habitants portent un drôle de sac dans le dos, qui les cajole pour les empêcher d'être tristes. Cette histoire est celle d'une princesse, de son meilleur ami, le chien Timothée, et d'un secret très important. Une princesse qui a un grand besoin de pleurer, qui écrit une lettre à la Mort, et qui, un jour, réussira à changer le monde et à faire revenir le soleil.
Jojo est un type bien. Assurément. Gentil comme tout, cela va de soi. Et généreux, à n’en pas douter. Qui aide les vieilles personnes à traverser le boulevard de la jungle ? Qui change les couches d’Ozone, le bébé géant ? Qui prend soin du souvenir de Padouk ? Et qui se préoccupe des ailes des perroquets ? Jojo, vous l’aviez deviné. Parce que Jojo est un type bien.
Barzolo et Barzolino se promènent dans la montagne, dans les grandes prairies d'herbes hautes. Les deux oursons se souviennent qu'ici, « avant », ils venaient pêcher, faire du ski, se baigner, s'amuser avec Grand-Papa. Mais, depuis, les deux oursons ont reçus une lettre leur disant que Grand-Papa s'était endormi pour toujours. Maintenant rien n'est plus pareil dans la montagne...
Voici Véra. Un jour d’automne, elle remarque une feuille morte. « Qu’est-ce que c’est, morte ? » demande-t-elle à son papa. Et les explications de son papa amènent d’autres questions. Véra observe autour d’elle les fleurs qui fanent, les animaux écrasés sur la route. Elle ressent quelquefois de la tristesse, et d’autres fois elle n’éprouve rien de particulier. Mais un jour, la mort frappe un peu plus près, et les questions se font plus précises.
Voilà Dora. Elle se sent un peu seule. Dans sa classe, les autres filles se moquent d’elle. Elle s’interroge : où était-elle avant sa naissance ? Pourquoi est-elle différente de ses parents ? En vacances, elle rencontre Bigarrée, qui est très différente elle aussi, parce qu’elle a un oeil bleu et un oeil vert.
Animée par la curiosité et la passion de comprendre, chacune d’elles fait l’expérience de la vie.
Kiyama, Kawabe et Yamashita sont trois copains d'école d'une douzaine d'années. Trois inséparables. La grand-mère de Yamashita meurt soudain. Il la connaissait à peine, mais il doit partir trois jours pour assister à son enterrement. Il revient troublé, fasciné, obsédé par la mort. Les deux autres se rendent compte qu'ils n'ont jamais vu de cadavre ailleurs que dans les mangas et les films à la télévision, et qu'ils ignorent ce qu'on ressent à la mort de quelqu'un. D'après eux, ce doit être une expérience comme une autre, un sujet d'étude. Et, justement, Kawabe vient de repérer une bicoque branlante sur un terrain vague. Elle est habitée par un très vieil homme. Elle a l'air mourante, cette maison. Son occupant doit l'être aussi. Ils se mettent au travail. À force de guetter, de scruter, d'espionner, ils vont bien finir par voir le vieillard mourir. Ils sauront enfin. Ils perceront le mystère. Ce qu'ils n'ont pas prévu, c'est qu'à force d'être observé le vieil ermite se sent exister, il se sent aimé, il reprend peu à peu goût à la vie. Et eux, en l'aidant à retaper sa maison et à cultiver son jardin en friche, en prenant soin de lui, en l'écoutant raconter ses souvenirs, c'est à une vie bien plus riche qu'ils accèdent patiemment.
Jamais Anastasia n'a été aussi furieuse que le jour où ses parents lui ont annoncé qu'elle allait avoir un petit frère. Elle est allée dignement dans sa chambre, a décroché son poster d'orang-outang et a commencé à faire ses valises. Ses parents lui ont tout de même suggéré de passer Noël à la maison. Ils lui ont également dit que si elle restait, elle pourrait choisir le prénom du bébé. C'est alors qu'Anastasia a eu l'idée du prénom le plus abominable, le plus calamiteux qui puisse exister. Elle s'est empressée de le noter dans un endroit secret. Ensuite, elle a ajouté "les bébés" dans la liste des choses qu'elle déteste. Anastasia met très souvent ses listes à jour. C'est nécessaire. Des événements totalement imprévisibles et indépendants de votre volonté peuvent vous faire changer d'avis. Qui aurait cru, par exemple, que des mots comme "les garçons", "Mme Wesvessel" (la maîtresse), et même "les bébés" puissent un jour être rayés de la liste des choses qu'Anastasia déteste ?
La saga d'ANASTASIA dans l'ordre : "Anastasia Krupnick", "C'est encore Anastasia", "Anastasia à votre service", "Anastasia, demande à ton psy !", "Anastasia connaît la réponse", "Le nom de code d'Anastasia", "Anastasia avec conviction".