Thème « jouets »
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Tout commence le jour où tante Léa offre à Carlotta deux horribles peluches. En les voyant, la petite fille a envie de pleurer. Mais, pour ne pas faire de peine à sa tante, elle les emmène dans sa chambre. Soudain, les peluches se mettent à parler. Tingueli-Tingueli, hoquette l'une, Kataro-Kataro, grogne l'autre. Carlotta est terrorisée. Et si elles étaient des monstres déguisés en peluche ? Carlotta doit vite apprendre à ne pas avoir peur...
C’est un grand jour pour Charlotte et Mona. Aujourd’hui, elles vont entrer dans leur nouvel appartement. Chacune y aura sa chambre. Dans celle de Charlotte, il y a un grand placard. Dans celle de Mona, il y a une cheminée. Mais… cela voudra dire que leurs peluches seront séparées ? Et où lira-t-on une histoire ce soir ?
Ce livre réunit trois histoires de Charlotte et Mona : La chambre de gauche et la chambre de droite, Radio Pistache et Le fantôme de Charlotte.
Charlotte et Mona pourraient être les petites cousines de Delphine et Marinette, les deux soeurs des Contes du chat perché, de Marcel Aymé, auxquels Florence Seyvos voue une admiration infinie. Ses deux héroïnes ne vivent pas à la ferme entourées d’animaux dotés du langage, mais s’installent dans un nouvel appartement et ont des peluches et des poupées qui n’ont pas la langue dans leur poche.
Nous sommes cinq dans la salle d'attente du docteur des jouets. Il y a l'oiseau mécanique, l'oiseau à roulettes, l'ours, la grenouille et moi. Nous avons tous un petit quelque chose qui cloche.
Ce livre, conçu à partir d'un poème d'Ernst Jandl, a reçu le Prix BolognaRagazzi 1998 et a été sélectionné pour le Prix Allemand de la littérature de jeunesse.
Tout commence le jour où Élisa gagne un lot sur le stand de tir à la carabine de la fête foraine et choisit une peluche étrange, tout en longueur et pas très belle, qui ressemble à une grande saucisse. Ce sera sa peluche préférée. Mais, à la maison, sa mère trouve Grande Saucisse tellement moche qu'elle ordonne à Élisa de la jeter à la poubelle. Élisa essaie d'obéir, seulement Grande Saucisse est têtue, on ne se débarrasse pas d'elle si facilement. La peluche résiste aux éboueurs et au chien du voisin. Elle est même décidée à survivre dans la grande forêt. De plus, Élisa n'a pas dit son dernier mot.
Robert l'éléphant et Blanche la souris sont de très bons amis. Sauf quand Robert veut jouer à Robert la Terreur. Son pistolet, il ne le prête à personne. Et personne d'autre que lui n'a le droit de crier : « Haut les mains ! » Mais de temps en temps, Blanche aimerait bien être une terreur, elle aussi...
Quand on est un petit ours en peluche habitué à la vitrine d'un magasin, c'est un terrible choc de se retrouver seul et perdu dans une forêt. Mais peu à peu, on découvre ses secrets, ses habitants en peluche et « en vrai ». Et « en vrai », il y a parfois des loups...
Voici un grand classique revisité. Quatre-vingt-cinq ans après les dessins de William Nicholson, Komako Sakaï s’empare du texte de Margery Williams, un conte de la famille des Michka et autre Pinocchio, pour le renouveler tout en respectant son esprit. Il était une fois un lapin en peluche qui avait entendu dire par un autre jouet, le sage Cheval de cuir, que, quand on est aimé suffisamment longtemps par un enfant, on peut devenir vivant…
Mitch est l'ours en peluche de Barnabé. Un geste magique l'a tiré de son sommeil de jouet. Il vit alors une terrible aventure.
Lola a eu du mal à convaincre sa mère de lui acheter un tomatchou. Qu'est-ce que c'est que ce jouet au juste ? Et voilà qu'en plus il empêche Lola de dormir la nuit. Car le tomatchou complique la vie de tout le monde. Certes, il est mignon, surtout quand son coeur clignote de bonheur. Mais il est aussi très exigeant. Il a toujours envie de quelque chose. Et, à l'école, il provoque des bagarres dans la cour. Pas étonnant que la maîtresse le confisque...
La nuit, quand les enfants dorment, les poupées vivent leur vie. À dos de chien, les voilà, parcourant les champs, et même rendant visite aux lapins.
Dans un pays où il neigeait toujours à Noël, où les parents achetaient avec bonheur des cadeaux pour leurs enfants chéris, un homme et une femme souhaitaient avoir un enfant à eux, même un peu raté ou décevant. Rien n'aurait pu les réjouir autant. Ils avaient rempli de jouets une chambre d'enfant mais elle restait désespérément vide. Alors, par une nuit de Noël, ils firent à nouveau ce souhait le plus cher à leurs cœurs et Camélia, une petite fille au visage noir, apparut. En entrant dans la chambre de ses parents, Camélia découvrit deux petits cœurs rouges palpitants de bonheur. Les cœurs de ses parents.
« Le souhait » est un cœur qui bat. Un cœur étrange et stupéfiant, un cœur tendre à pleurer, un cœur lucide et cruel, un cœur simple qui ne vous quitte plus. Il est, au-delà même de l'étrange beauté de sa narration, une rencontre avec la puissance de la littérature et ses sensations, une promesse, les mots sauvent le réel. Dans leurs bras, on se sent moins seul, on comprend les choses cachées et silencieuses, le besoin de l'autre, le temps des chagrins, l'amour orphelin.
« Je suis parti parce que plus personne ne m’aimait. Les jours où l’on me désignait roi ou tout simplement ours n’étaient que vieux souvenirs. Les nuits où l’on me confiait secrets, joies et chagrins étaient devenues muettes. Le temps des ours était terminé. »
Petit Ours quitte alors le jardin des hommes, marche droit devant lui et dialogue avec les fleurs, les nuages, les pierres et la rivière.
Il arrive que l’on grandisse carrément trop vite ! C’est le cas de Lulu, un jour trop petit pour espérer une voiture à pédales, et subitement trop grand pour recevoir autre chose qu’un vélo à son anniversaire. Comment faire pour retourner en arrière ?
Car louper l’épisode voiture à pédales, il n’en est pas question !
Jibril est un berger exemplaire. Tous les jours, à travers le désert, il emmène son petit troupeau en quête d’herbe fraîche et d’eau. Mais cette vie bucolique n’est pas son rêve. Sa passion ? Les voitures, les 4 x 4, les bolides ! En attendant de pouvoir s’en payer une vraie, il en fabrique en miniature, avec tout ce qui lui tombe sous la main : ferraille, débris de plastique, semelles en miettes… Hélas, son père se fâche. Ça ne rapporte rien, ce bricolage, fais-moi disparaître tout ça ! Jibril va devoir déborder d’ingéniosité pour obéir sans trop souffrir…
Au rayon peluches du grand magasin, il y a des piles de girafes, des centaines d’ours blancs ou bruns, des lions, des phoques, et un mogwaï aux yeux tendres, brillants, un mogwaï irrésistible.
Marion passe la main dans la fourrure du mogwaï.
Elle pourrait revenir lundi, pour l’acheter avec son argent du mois. Mais elle est sûre que quelqu’un va venir dans les cinq minutes et l’emporter. Elle ramasse le sac avec la jupe et y fourre le mogwaï. Elle en a presque un arrêt cardiaque mais il n’y a aucun problème. Aucun problème jusqu’au retour à la maison…
« Céline cherche un gardien des yeux. Mais il n’y a que des montagnes de peluches. Des girafes, des lions, des marsupilamis, des chats, des lamas, des chiens. Et, entre deux ours bruns, un mogwaï. De longs poils blancs retombent sur son petit nez retroussé. Il a de gros yeux tendres et brillants. Deux grandes oreilles roses s’échappent de sa fourrure comme des antennes. Marion est certaine que jamais, jamais, il n’a existé de peluche plus adorable. Ce mogwaï est unique et il est là pour elle. »