Thème « Inde »
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Il s’appelle Shivan et travaille comme éléphant sacré au temple du village, là -bas, en Inde, au bord de la rivière. Mammout, c’est le surnom affectueux que lui a donné Appoos, le petit garçon de son gardien. Mammout a un gros appétit. Un jour que le père d’Appoos est débordé, il confie à son fils le soin d’emmener l’éléphanteau prendre son bain. Mais bientôt, la mousson arrive, la rivière déborde, c’est le déluge ! Ensemble, Mammout et Appoos n’ont peur de rien. Ils vont même aider d’autres animaux, et être bien récompensés !
Tous les matins, depuis très longtemps, Satomi Ichikawa se met de bonne humeur en regardant la photo de bébé éléphant qui décore la fenêtre de sa cuisine. En août 2015, elle a décidé de partir pour le Kerala, en Inde, voir des éléphants. C’était la mousson. Il n’y avait aucun bébé, mais elle a pu voir un jeune de huit ans, comme Mammout. Six mois plus tard, Satomi retournait en Inde, à Goa, à Jodhpur. Toujours pas d’éléphanteau ! Alors, en vraie sage, elle a inventé une histoire avec ce qu’elle avait. Il vous suffit d’imaginer que Mammout aussi a été un jour un bébé…
Un Maharadjah porte des bijoux, un foulard de soie, de longs cils et des chaussures vernies. C’est pourquoi il arrive que les pirates le confondent avec une princesse et le kidnappent, en pleine jungle… Que faisait-il, en pleine jungle ? Il poursuivait une panthère, parce qu’elle lui avait subtilisé quelques diamants. Et, en partant à leur recherche, il va retrouver bien plus que des bijoux…
Falgu le fermier ne supporte plus les bruits de sa ferme, il a besoin de silence ! Du moins, c’est ce qu’il croit…
Mais qui est ce grand garçon qui se promène partout les bras en l’air ? Il dit qu’il est fort comme le soleil et l’homme le plus intelligent du Bengale. Au bord de l’étang, il rencontre Asun, celui qu’on surnomme Petit Yogi. Asun croit à la beauté du monde, il est rêveur de jour, il écoute le chant des oiseaux, et il observe tout.
Asha parle hindi avec ses parents. Mais depuis toujours, les animaux parlent à Asha et elle leur répond. Un jour, une étrange maladie envahit la ville de Chandigarh. Elle vient d’une race inconnue de moustiques. Rien ne peut guérir de ce poison. Le maharadjah s’est fait piquer. Et voilà que vient le tour du père d’Asha. « Je le jure : je te guérirai, Papa. Je trouverai ce remède, les animaux m’aideront. »
Voici la journée d'une troupe de macaques bonnets, quelque part en Inde. Vivida, Rama, Kumara et les leurs partent en quête de nourriture aux abords de la ville. Après quelques déconvenues, ils trouveront refuge dans un temple, où ils bénéficient de la protection des religieux hindous. Malgré la bienveillance des Indiens envers les animaux, la cohabitation n'est pas toujours de tout repos et gagner sa pitance ne va pas sans mal ! Si les macaques bonnets sont capables de s'adapter au monde des hommes, à leurs villes et à leurs temples, leur habitat naturel reste les arbres et la forêt. Or, dans beaucoup d'endroits, la forêt disparaît. Si les hommes sont responsables de la disparition des forêts où vivent les singes et beaucoup d'autres animaux, ils sont aussi les seuls à pouvoir faire quelque chose pour protéger la nature, suivant l'exemple des religieux en Inde.
Dans les contes merveilleux, les rois sont amoureux de princesses d’une beauté incomparable, les princesses demeurent captives d’horribles monstres, les oiseaux volent au secours de leur maître, les chevaux magiques fendent l’azur de leurs sabots.
Ces contes n’ont pas été créés pour faire rire mais pour qu’on puisse rêver en noble compagnie, trembler et se réjouir de fins heureuses où les bons triomphent et leurs ennemis sont horriblement châtiés.
Le Bengale est un pays de prédilection pour ces contes-là . Jamais on n’en entendra de plus beaux que ceux collectés au siècle dernier par le folkloriste bengali L.B. Day et traduits de l’anglais par Françoise de Valence.
Vous y découvrirez d’énormes rubis rouges flottant sur les parois d’un terrible tourbillon d’eau de mer, les longs cheveux noirs d’une princesse captive au fond de l’océan, Haraman, l’incomparable perruche verte qui parlait le langage des hommes, un petit prince héritier qui aimait trop ses pigeons apprivoisés, le collier magique de la reine qui voulait sa perte …
Lire les contes bengalis, c’est pénétrer dans une très ancienne culture aussi raffinée que mystérieuse.
Les filles ? Des êtres stupides. Des bouches inutiles à nourrir. Les marier ? La dot coûte cher. Mieux vaut les tuer dans l’oeuf.
Les intouchables, les « hors castes » ? Des parasites. Bons à rien. Arriérés. Condamnés aux basses besognes. Il faut les fuir à tout prix.
Dans l’Inde de tous les possibles, mais aussi des préjugés tenaces, les routes de deux parias se croisent. Elle, Isaï, était venue en cachette assister aux funérailles de sa mère. Lui, Murugan, d’un geste respectueux, a replacé une fleur tombée du brancard.
Leur premier dialogue s’est fait en rythme et en musique. Chanter, jouer, ils en rêvent tous les deux. Ils osent partir. Leur traversée du pays sera semée d’embûches et de mauvaises rencontres.
Mais Sarasvati, la déesse au luth, veille sur eux.
Dans un petit atelier aux volets clos, six garçons s’installent pour la nuit. Ils ne se parlent presque pas. Ils n’osent pas. Ils ne connaissent même pas les prénoms les uns des autres, le patron l’interdit. Ils savent seulement qu’ils doivent se coucher tôt, et se mettre au travail avant l’arrivée du patron. Sinon, ils recevront des coups et seront privés de nourriture.
Gopal est le dernier arrivé, et apparemment le seul qui songe à s’échapper. Sa famille a récemment quitté son village pour venir à Bombay dans l’espoir d’une vie meilleure. Ses parents ignorent qu’il a été enlevé et enfermé ici.
Dans cette prison, le silence qui règne entre les garçons et le climat de délation entretenu par leur geôlier sont pires que les barreaux aux fenêtres. Gopal ne sait s’il parviendra à les briser. Mais si une solution existe, elle ne peut être que dans sa tête.
Après avoir abordé la condition des veuves en Inde dans Un sari couleur de boue, Kashmira Sheth, auteure indienne installée aux États-Unis, dénonce le travail des enfants. Des millions d’enfants « sans noms » car privés de leur identité en même temps que de leur enfance.
Depuis une quarantaine d’années, Le Livre de la jungle est irrésistiblement associé dans nos mémoires à la frimousse du jeune Mowgli, aux soucoupes géantes des yeux du python Kaa, à l’ours Baloo qui se gratte le dos sur les troncs de cocotiers, bref à Walt Disney. On a perdu de vue, parfois, la sobriété et l’élégance du style de Kipling, oublié aussi que l’ouvrage est un recueil de courtes nouvelles, suivi d’un autre intitulé Le Second Livre de la jungle.
Cette édition réunit dans un seul volume les deux textes, en conservant seulement les nouvelles ayant trait au « petit d’homme » recueilli par les loups et que ses amis de la jungle indienne vont protéger des griffes du redoutable tigre Shere Kahn.
Kipling est longtemps resté le plus populaire des écrivains britanniques. Ce « génie qui ne se préoccupait pas de bien parler », selon la formule d’Oscar Wilde, fut aussi, en 1907, le plus jeune auteur à recevoir le Nobel de littérature.
Leela a été fiancée à deux ans, mariée à neuf. À treize ans elle s’apprête à s’installer dans sa belle-famille quand son mari, mordu par un serpent venimeux, meurt de ses blessures.
Dans l’Inde des années 1920, il y a pire que d’être un intouchable. C’est être une veuve.
Leela va devenir une morte vivante. Rester cloîtrée pendant un an. Ôter tous ses bijoux, se raser la tête et ne plus porter qu’un sari spécial couleur de boue. Elle ne devra jamais se remarier. Partout où elle passera, elle portera malheur. Elle est au désespoir.
Heureusement, Leela peut compter sur quelques alliés : Kanubhai, son frère aîné, qui a promis de revenir l’aider ; Saviben, sa directrice d’école, qui est décidée à lui donner des cours à domicile. Ainsi que Gandhiji, un drôle de bonhomme qui prend fait et cause pour les paysans, les tisserands et tous les opprimés. D’ailleurs, celui-ci commence à bousculer les traditions et les consciences dans tout le pays…
Kashmira Sheth est l’auteur d’autres romans avec l’Inde pour toile de fond et des héroïnes à forte personnalité, mais celui-ci est le premier traduit en français. Elle a écrit cette histoire d’émancipation progressive d’une jeune fille veuve, en prenant modèle sur sa grand-tante chérie qui, comme Leela, a connu les débuts de Gandhi et vécu la longue marche de l’Inde vers la libération et l’égalité.