Thème « humour »
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Une cinquantaine de défis de lecture portés par des histoires courtes, afin d'aiguiser le travail de l'oeil, de l'oreille, la liaison oeil-oreille, l'oralité, le rythme, la traduction simultanée entre segments oraux et syntaxe et quelques approches ludiques des catégories grammaticales et formes littéraires. Chaque défi entraîne le lecteur à mieux sélectionner tels ou tels points de repère sur des territoires souvent insuffisamment explorés.
Merci qui ? Merci les panés Celsius ! Antoine Delamoute et trois autres collégiens ont remporté le premier prix du concours organisé par une célèbre marque de poissons panés et s’apprêtent à passer un mois dans l’Arctique sur un navire scientifique. Ils viennent d’embarquer à bord de la Suspicieuse avec leur valise, un slip chauffant et des moufles. Même s'ils sont bien équipés, les gagnants arriveront-ils à bon port ? Entre le capitaine du bateau incapable de tenir la barre, une expédition rivale qui leur met des bâtons dans les roues et les ours blancs qui rôdent dans le secteur, ce voyage au Groenland risque fort de tourner au désastre !
Nicolas entre au collège et il est temps qu'il le sache : le monde est une jungle. On n'est pas à l'abri de rencontrer dans la cour une meute d'alligators au sourire carnassier. On risque aussi de croiser, au coin d'un bois, une vraie tigresse échappée d'un zoo. Et on a des chances de croiser une intrépide guerrière en liberté. Mais quand, comme Nicolas, on a toujours été couvé au nid et élevé au grain, il faut savoir s'armer de courage pour prendre son vol.
Les princesses, les lapins, les sorcières, les nains et les cochons sont des gens comme tout le monde. Les géants aussi. Moins. Mais quand même. C'est cela la révélation osterienne. Ils ont les problèmes de tout le monde. Enfin presque. Des problèmes de couronne qui rouille, d'amour transi, de bain qui refroidit, de cartable perdu, de sandwich périmé, de faux amis. De solitude. Certains lapins s'envoient leur touillette dans l'oeil en buvant leur vodka orange. Certaines fées trouvent, avec raison, qu'on ne s'intéresse pas à qui elles sont vraiment. C'est cela qui est drôle. C'est dans les détails et les replis du coeur que la vie s'acharne sur nous, sur les fées, les ogres, les géants craintifs, les loups.
Avec un altruisme imaginatif qui n'appartient qu'à lui, Christian Oster s'inquiète pour eux, pour nous. Pour ces trois pauvres hommes transformés en ours avec leur photo d'homme piquée dans leur fourrure. Et son inquiétude fait notre bonheur.
Le royaume de Boroman XII est paralysé par un événement rarissime, exceptionnel, historique et social : une grève. La grève des fées. Plus un seul petit coup de baguette magique n'illumine le ciel du pays. Les fées sont très en colère. Pourquoi ? Elles refusent de le dire. Elles veulent qu'on devine. Qu'on se creuse un peu la cervelle. qu'on cherche à les connaître vraiment. Bref, elles font leurs intéressantes. Pendant ce temps, évidemment, rien ne va plus dans le royaume. Le géant transformé en nain par une sorcière reste nain, le ministre des Relations extérieures transformé en crapaud par une autre reste crapaud, et le fier cavalier de la garde royale transformé en cheval a beaucoup de mal à chevaucher... son propre cheval. Quant au prince, il végète dans un pot, métamorphosé en (beau) brin d'herbe. Et la grève s'éternise. Jusqu'au jour où le conseiller personnel du roi (pas encore transformé, lui) a une idée.
Ce recueil contient les histoires suivantes : La grève des fées, L'âne qui ne voulait plus être roi, Le pauvre, la princesse, L'homme cruel et le tamanoir magique.
Les héros de ce recueil ont un point commun. Ils veulent changer quelque chose à leur vie.
L’ogre aimerait réussir à croquer le petit poucet, immangeable à cause des cailloux qu’il a gardés dans ses poches et sur lesquels on se casse les dents.
La princesse timide aimerait pouvoir être elle-même et regarder quelqu’un en face sans aussitôt changer de visage et, surtout, sans prendre celui de son interlocuteur.
Le pauvre bûcheron orphelin, qui a repris le travail de son père parce qu’il n’en connaissait point d’autre, aimerait beaucoup changer de boulot.
La fée, enfin, en a assez de passer son temps à transformer tout le monde alors qu’elle rêve, elle, de devenir simplement princesse.
Il y a bien une solution pour chacun, mais elle ne va pas être facile à trouver...
Ce recueil contient les histoires suivantes : L'immangeable petit poucet, Le loup et la fée, Le monstre en morceaux, La princesse timide.
Rester soudés : c’est ce qu’on s’est dit avec Delphine quand on s’est installés avec papa chez Pierrette. Rester soudés devant ses gratins de choux-fleurs, ses napperons orange et ses deux enfants débiles. Je vis donc chez Porcinet qui pleure dès qu’il s’arrête sur la case prison du Monopoly et qui m’interdit de toucher à ses petites voitures. Delphine, elle, a déclaré la guerre à Marie-Neige : elle l’a carrément mordue ! À part ça, tout va bien. Parce qu’on a un plan. Papa va quitter Pierrette, mais il ne le sait pas encore. Et nous, on va bien rigoler !
Lucien, treize ans, sait que les vrais ennuis commencent aux portes du collège et ne s’arrêtent pas là . Il y a toujours un prof pour vous réveiller en plein cours et vous coller deux heures. En permanence, il n’y a personne. Ni Basile, son ami fidèle rebaptisé Croûton, ni Rosa, sa vieille copine peintre morte il y a 120 ans.
Là -bas, il n’y a que l’ennui. Et Lucien n’aime pas ça.
Comme il n’aime pas : les quatrièmes, les sixièmes, les cinquièmes, les troisièmes…
Pour s’occuper, Lucien a l’idée de dresser la liste de tout ce qu’il n’aime pas. Il est sonné devant l’ampleur de la tâche. Justement, Lucien vient d’atterrir sur le menton d’une fille. Elle s’appelle Fatou et c’est un phénomène.
Tout le monde a peur d’elle. C’est dit, Lucien ne l’aime pas, et c’est réciproque. Fatou propose un duel : celui qui déteste le plus de choses au monde l’emporte. Ça, Lucien aime bien.
Une semaine tranquille avec des voisins sans histoires, c'est tout ce qu'Antoine espérait pour bien terminer les vacances. C'est raté ! Entre Lulie qui se casse le bras, madame Ferplon qui vocifère pour chasser les esprits, Jules qui a soudainement peur des fourchettes, sa tante féroce à qui il manque un doigt...La rue d'Antoine est comme possédée, ses habitants semblent ensorcelés. Par qui ? Par Quoi ? C'est à lui de le découvrir.
Son nom est Cathrine, Arnaud Cathrine. Ça ne fait pas garçon comme nom. Pourtant, il est un garçon. Il aimerait le prouver, d'une manière ou d'une autre. Il essaie de boire du café mais il déteste ça. Dommage, il trouvait que ça faisait très garçon. Il essaie de péter la gueule à son meilleur copain qui lui a sorti une crasse. Ça marche assez bien (une incisive fêlée), mais ce n'est pas trop son genre d'être une brute. Un peu plus tard, il essaie d'embrasser une fille. C'est une réussite totale, mais qui ne regarde pas les autres. Alors les autres continuent à se moquer. Un jour, la prof de français note ce sujet de rédaction au tableau : « On vous donne la possibilité de changer une chose dans votre vie. Racontez. » Devinez ce qu'il choisit.
Paul a huit ans. Il a aussi un papa et une maman. Un papa qui fait des blagues pas drôles, mais ce n’est pas le problème. Le gros problème, c’est sa maman. Enfin, pas elle, mais ce truc qui se prépare. Cette chose. Un bébé. Un autre enfant dans la famille. À sa place à lui, Paul.
Au fur et à mesure que les mois passent, le ventre de sa mère devient de plus en plus impressionnant. Effrayant même. Au point que Paul tombe dans les pommes.
Ce n’est pas grave, ce soir, restaurant avec papa, et demain, pas d’école ! Tout serait parfait si l’autre n’arrivait pas bientôt. Mais il, ou elle, ne tardera plus. Alors, quand il se retrouve tout seul, il fait son sac. Il sort de la maison et claque la porte.
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Il y a le jour où j'ai été le chef, le jour où le maître a martyrisé Thierry Balleau parce qu'il avait fait 19 fautes à sa dictée. Il y a le jour où j'ai voulu épouser Arthur (le squelette du cours de biologie des sixièmes) et le jour où j'ai du chercher CINQ péchés pour aller à confesse. Et il y en a d'autres, des jours, plus injustes les uns que les autres, plus drôles parfois aussi (comme quand Mamy a perdu au Scrabble) mais il faudrait un livre pour tous les raconter. Qu'on pourrait appeler, par exemple, « Le jour où j'ai été le chef ».
2 septembre, veille de la rentrée. Contrairement à ce que pense ma mère, je n’entreprends pas ce journal aujourd’hui par plaisir, ni parce que j’entre en sixième demain. Je n’ai rien à dire là -dessus. Je veux parler des raisons pour lesquelles je vais devenir nul. Point à la ligne.
Avertissement : « Je l'avoue, je suis un voleur. Pendant qu'elle était en voyage, je me suis introduit chez la sorcière à l'aide d'une fausse clé. Je n'ai rien trouvé d'intéressant, à part ce carnet bourré de fariboles. Je l'ai emporté. Je l'ai caché dans ma chambre, mais il y a des jours où il sent tellement mauvais qu'on pourrait le découvrir à l'odeur. Je me demande si je ne ferais pas mieux de m'en débarrasser. Je vous l'envoie. Lisez-le. Si vous estimez dangereux de le publier, brûlez-le. P.-S. On peut essayer de le vendre, mais j'ai constaté, à le toucher, qu'il m'était venu des boutons aux doigts. Je ne sais pas si le livre imprimé fera le même effet aux lecteurs. Peut-être faudrait-il en recommander la lecture avec des gants ? »
Depuis dix ans qu'elle et ses consoeurs étaient « N.R.V. », c'était inévitable. La voilà de retour, qui répand derechef ses poisons dans la langue française. Elle estourbillonne les noms, prestidigite les adjectifs, froufroute les verbes dans le sens du poil, bistourique les pronoms relatifs, désarticulotte la syntaxe et fait lever l'imaginaire comme des soufflets magiques dans une quarantaine d'histoires malicieuses. Prudence ! Elle a beau être A.G.R.I.D., elle R.S.T. plus verte qu'une platée d'épinards, et toujours prête H.A.U.T. !
Une malachite, vous savez-ce que c’est ? Lino, lui, n’en avait aucune idée jusqu’à ce que ce frimeur de John-John en apporte une à l’école. En gros, c’est un caillou vert qui ressemble à un chewing gum et qui vaut des millions. Et devinez ce qui est arrivé ? La malachite a disparu.
C’est qu’il s’en passe des choses, dans cette école. Entre les parties de foot avec Fatou, les clubs d’espions ultra-secrets auxquels il faut adhérer, l’anniversaire de Tulipe à ne pas rater, Lino n’arrête jamais. Heureusement, il y a les autres, ces copains sur qui il peut toujours compter.
C'est comme ça depuis le début avec les contes de Christian Oster, mais pour la première fois en huit recueils, à l'heure où nous imprimons ces lignes, il avoue enfin. Qu'avoue-t-il ? Page 93, un homme, couteau dans une main, fourchette dans l'autre, s'élance à la poursuite du steak qui vient de s'enfuir à toutes jambes de son assiette, et qui par conséquent n'y est plus. « Comme dans un dessin animé ? C'est ça, oui. » note l'auteur, l'air de rien. Bon sang mais c'est bien sûr ! s'écrient en choeur les lecteurs, les bibliothécaires, les libraires et autres adultes prescripteurs. On se demandait aussi où diantre on avait déjà autant rigolé avec les loups, les fées, les crapauds, les princesses, les nains et les légumes du potager ! C'étaient dans les dessins animés ! Ceux où les loups portent des smokings et des costumes de bain, ceux où les génies ont le trac de retourner dans leurs récipients, ceux où bananes, haricots verts et navets organisent des courses de vitesse et arborent de superbes dossards et des casquettes américaines, ceux où les pommes de terre ont des caisses de retraite, ceux où les bêtes se nourrissent de conserves « d'enfant perdu confit dans de la graisse d'adulte parti à sa recherche et mort d'épuisement devant la tanière » !
Ce recueil contient les histoires suivantes : Le loup, le géant et le distributeur de chewing-gums, Les mémoires d'un navet, La forêt silencieuse, Le steak en fuite, Le baiser du crapaud.