Thème « homosexualité »
Message d'erreur
- Notice : Undefined variable: pageCollection dans include() (ligne 7 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined variable: pageCollection dans include() (ligne 7 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined index: prix dans include() (ligne 79 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Warning : Invalid argument supplied for foreach() dans include() (ligne 79 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined index: prix dans include() (ligne 137 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Warning : Invalid argument supplied for foreach() dans include() (ligne 137 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
L’été, les vacances, une maison sur la plage, ce devrait être le paradis. Mais les lettres qu’écrit chaque jour le petit frère de Christophe en cachette de ses parents disent la vérité : cet été-là, tout va de travers. À marée basse, la plage est jonchée d’algues qui répandent une odeur épouvantable. À marée haute, tous les baigneurs des environs s’installent sur le mur du jardin, qui menace de s’effondrer. S’il s’effondre, le propriétaire de la maison a promis un procès. Au lieu de s’amuser tranquillement, il faut donc, à chaque marée, défendre ce fichu mur comme on défend un château fort. Dans la maison, l’ambiance n’est pas très bonne non plus, les nerfs de maman sont en train de lâcher, et papa trouve judicieux de partir en mer par mauvais temps, alors qu’il est le pire marin du monde. Chaque jour apporte une catastrophe, ces vacances semblent maudites et le bloc de papier à lettres est presque épuisé. Heureusement, à la dixième lettre, enfin, un miracle se produit…
Dès sa première parution, ce livre délicat, unique et follement drôle a soulevé l’enthousiasme des critiques et des jeunes lecteurs. Il est l’un des grands classiques de la littérature pour enfants d’aujourd’hui.
Ils sont frère et soeurs. Depuis quelques heures, ils sont orphelins. Ils ont juré qu'on ne les séparerait pas. Il y a Siméon Morlevent, 14 ans. Maigrichon. Yeux marron. Signe particulier : surdoué, prépare actuellement son bac. Morgane Morlevent, 8 ans. Yeux marron. Oreilles très décollées. Première de sa classe, très proche de son frère. Signe particulier : les adultes oublient tout le temps qu'elle existe. Venise Morlevent, 5 ans. Yeux bleus, cheveux blonds, ravissante. La petite fille que tout le monde rêve d'avoir. Signe particulier : fait vivre des histoires d'amour torrides à ses Barbie. Ils n'ont aucune envie de confier leur sort à la première assistante sociale venue. Leur objectif est de quitter le foyer où on les a placés et de se trouver une famille. À cette heure, deux personnes pourraient vouloir les adopter. Pour de bonnes raisons. Mais aussi pour de mauvaises. L'une n'est pas très sympathique, l'autre est irresponsable, et... Ah, oui ! ces deux personnes se détestent.
L'adaptation théâtrale de Oh, boy ! par Olivier Letellier, a reçu le Molière du spectacle jeune public 2010.
La bibliothèque du lycée. C’était mon sanctuaire. L’abri sûr en cas de coup dur, le lieu saint à l’abri du vulgaire. C’était mon terrain de chasse favori, depuis que j’y avais découvert un gros livre relié de maroquin vert qui portait sur le dos ces lettres d’or : Amours des dieux et des héros. Je revenais toujours consulter ce livre, rêver à ces amours. M’éblouir d’images jusqu’à me brouiller la vue et la raison. Or, il arriva qu’un jour le livre disparut. Ce livre était ma machine à rêver. Qui avait pu m’en priver, sous prétexte d’un exposé banal, d’une simple lubie ?
Ce matin-là, dans la cour du collège, Sidonie s’apprête à faire quelque chose de dangereux, d’irréparable peut-être. De ces choses que l’on fait quand on perd la tête et que l’on veut à tout prix échapper à soi-même. Sidonie est une jeune fille qui normalement n’a peur de rien, qui porte des chaussures rouges, n’aime que la musique classique, ne s’intéresse à personne et a toujours pensé que sa vie ne commencerait que lorsqu’elle aurait quitté l’affreuse petite ville où elle est née. Mais ce matin-là, dans la cour, la vie a le rythme obsédant d’un blues, le parfum d’une amitié fulgurante, l’évidence d’une histoire d’amour si forte, si parfaite que Sidonie n’aurait jamais pu l’imaginer. Et elle a le visage de Rebecca.
Que faire quand on apprend, à treize ans, que son père est très malade, qu'il va bientôt mourir, et que c'est le sida ? Que penser quand on entend sa mère, un matin très tôt, lancer à son mari : « Est-ce que tu te rends compte de ce que tu m'as fait ? De ce que tu as fait à notre fils ? » Que dire quand on se rend compte que personne ne dit la vérité ? Que répondre quand le père constate : « La raison pour laquelle tu sais que tout le monde ment, c'est que tu mens toi-même » ? Comment interroger sans agresser ? Comment comprendre le mystère de l'amour quand on ne dispose que du tableau noir de l'éducation sexuelle ? Comment aider à mourir quand on n'a pas encore appris à vivre ?
Liam ne sait pas de combien de temps il dispose pour répondre à toutes ces questions. Il sait juste que le temps presse.
Le jour de la rentrée, deux amis, Wallace et Simone, se retrouvent dans un espace aménagé à l'abri des regards. Ils sont rejoints par Albert, un nouveau, reçu dans cet internat qui prépare au conservatoire de danse. Mauvais plan, le préviennent Wallace et Simone. Les danseurs sont moqués, insultés, humiliés, surtout par Léo et sa bande, des brutes. Albert n'est pas inquiet, il sait comment les affronter. Wallace, lui, est terrorisé. De quoi a-t-il donc si peur ?
Je ne suis pas normale. Nina est ma cousine et ma meilleure amie, mon idole et mon contraire. Dans la famille, tout le monde nous appelle les inséparables. Mais moi, ce n'est pas comme une cousine que je l'aime. Ni comme une amie. J'ai envie de la voir nue, de caresser sa peau à la folie, de me frotter contre elle, de me cacher avec elle. Ça m'a pris le jour du déménagement quand je l'ai serrée dans mes bras, avant de la quitter jusqu'aux prochaines vacances. Je n'ai pas le droit. Je sais que je commets le péché de chair, comme disent les religieuses du collège. Alors j'entre à l'église, et je jure que je ne la toucherai plus. Et puis je recommence. Je suis lourde, mal, idiote, suppliante, amoureuse. Et pas elle.
« Longtemps, j'ai fait des cauchemars, je me réveillais en hurlant, trempé de sueur; alors, j'ai appris à tutoyer les fantômes. » La journée aussi, les fantômes viennent hanter Balthazar. Ainsi, quand Jeanne le réveille, il revoit les yeux de Laure. Dans les bras de Laure, il pense à Valentin. Devant Valentin, il se rappelle le goût des lèvres de Jeanne. Alors, pour échapper à ses fantômes, Balthazar court. Pour fuir la solitude sur le quai d'une gare, au milieu de ces gens inconnus qui semblent ne pas exister, Balthazar court. Mais ce jour-là, à la manif des lycéens, alors que les C.R.S. s'apprêtent à charger, une main se tend... Et Balthazar court...
Arielle Lefranc est nouvelle à l'École Saint-Charles, un pensionnat de jeunes filles installé dans un somptueux manoir XVIIIe, avec parc, rivière, arbres centenaires, uniformes bleu marine, traditions et extinction des feux à dix heures. Dès le premier jour, parce qu'elle est arrivée dans la R5 de sa mère mais a prétendu que son père dirigeait une grosse société, les autres l'ont rangée dans le clan des Parvenues. Il y a trois clans à Saint-Charles : Parvenues, Aristos, Intouchables. Le préclassement va de soi. Il est fonction du nom, de la fortune, de l'origine. Quant à l'admission définitive, c'est une autre affaire. Il s'agit de subir diverses épreuves comme la mort subite, la traversée du cimetière voisin à minuit pile... Ou encore d'inventer une blessure horrible à infliger à un membre d'un clan adverse. D'abord révoltée, puis intriguée, et enfin amusée et conquérante, Arielle décide de se distraire en enquêtant sur ce que les autres lui cachent. Mais la pire épreuve qu'elle va rencontrer au fond du parc, personne, ni l'Aristo la plus perverse, ni l'Intouchable la plus vengeresse, n'aurait pu en avoir l'idée...
Le jour où Alma a embrassé Robin pour la première fois devant le lycée, après huit semaines de patience, de faux espoirs, de SMS, et près de vingt-six nuits passées à dormir le téléphone contre l’oreille au risque de griller ses neurones déjà bien endommagés par le coup de foudre, ce jour-là, elle a perdu sa meilleure amie.
Comment aurait-elle pu deviner que, en venant partager avec Jade son bonheur tout neuf, cette dernière lui annoncerait que tout était fini entre elles ? Et pour quelle raison ? L’ennui ! Jade s’est lassée d’Alma qu’elle trouve trop gamine, égoïste et superficielle. Certes, contrairement à son amie Jade, Alma ne s’est jamais souciée des sans-papiers ni des SDF ; elle ne milite dans aucune association et n’a jamais pris la peine de lire un seul article sur la guerre en Syrie. Mais est-ce une raison pour la chasser comme une malpropre ? Il y a autre chose. Forcément.
C'est la rentrée et Julien sent tout de suite que quelque chose cloche dans ce nouveau lycée. Pourtant, la classe de seconde D est une classe comme les autres, avec des crâneurs, des premiers de la classe, des filles aux agendas de star et des paresseux collés au radiateur. Non, ce qui cloche, c'est Julien. Il se sent à la fois si loin et si différent. Il n'aime pas les blagues sur les filles, il ne s'intéresse pas au foot et déteste les jeux vidéo. Il fait tout de même des efforts pour s'intégrer. Il suffit d'ailleurs de quelques vannes à la récré, et le voilà adopté. Avec Clément, c'est différent. Dès le premier jour, Julien décide que ce garçon calme et silencieux, assis en classe devant lui, avec sa grande nuque et son col de chemise impeccable, sera son meilleur ami. Un ami dont il se surprend à écrire le nom en tout petit sur ses classeurs...