Thème « famille »
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Bastien a douze ans. Son père est un écrivain plein de fantaisie, et souvent en proie à des idées fixes. Cette fois, il a décidé de partir à la recherche d'un animal fabuleux, mais qui existe bel et bien : le rat-trompette.
Jos ne veut plus aller à l’école.
Ce qu’il veut, c’est rester avec Granpa, pêcher avec lui, et le soir, l’écouter raconter des histoires.
Celle du gros serpent venimeux par exemple. Il était coincé sous une roue mais il vivait encore et suppliait Granpa de le sauver.
Qu’auriez-vous fait, vous?
Aider, trahir, réfléchir... la fable d'Esope et de La Fontaine est ici revisitée avec impertinence et intelligence par Toni et Slade Morrison.
Une BD qui pose des questions essentielles !
Le jour où tout bascule dans sa vie de collégien, Abel tente de s’accrocher à un programme : se lever le matin, aller en classe, finir son exposé avec Zoé, et surtout, surtout faire comme si tout était normal, comme si son père allait bien, que sa mère était encore là et que la bête n’avait pas fait irruption dans leur vie. Mais les programmes ne sont pas toujours faits pour être suivis…
Au début, ils étaient trois : Paul, sa maman, son papa. Un jour, les parents de Paul ont décidé de se séparer. Son papa est parti habiter ailleurs. Trois moins un égale deux. Ou plutôt, deux plus un. Et puis, quelques années plus tard, les parents de Paul ont décidé de vivre à nouveau ensemble. Deux plus un égale trois. Mais est-ce que ça fait vraiment trois, comme avant ? Paul est d'avis que non. Il regrette qu'on ne lui ait pas demandé son avis. Et pour tout dire, il ne sait plus où il en est. Parce que les mathématiques, c'est simple. Mais les sentiments, c'est beaucoup plus compliqué.
Aggie est la reine de la débrouille. Difficile de faire autrement quand on est orpheline et qu’on ne mange pas tous les jours à sa faim. Avec son ami Orin et son chien Mister Bones, elle a mis au point un numéro pour détrousser les riches passants qui s’aventurent dans les bas quartiers de Boston.
C’est d’ailleurs en essayant de voler le portefeuille de Pemberton Rushworth qu’Aggie l’a rencontré.
Plutôt que de la conduire à la police, ce détective privé lui fait alors une proposition extraordinaire.
Jusqu’à présent, Aggie n’a pas eu beaucoup de chance.
Mais cette drôle de rencontre est une occasion inespérée d’échapper à son destin de gamine des rues. Si Aggie suit attentivement les conseils du détective, elle pourra enfin changer de vie.
Aggie Barrie, la nouvelle héroïne de Malika Ferdjoukh, doit beaucoup aux lectures d’enfance de son auteur. Son prénom est directement inspiré d’Aggie Mack, le personnage d’une bande dessinée des années 50, et son nom est un hommage à James Matthew Barrie, le créateur de Peter Pan. Aggie pourrait d’ailleurs être la soeur jumelle de Minuit-Cinq, un autre orphelin dont Malika Ferdjoukh a raconté l’histoire dans le roman qui porte son nom.
La petite fille aux allumettes revisitée par Tomi Ungerer : un chef d'œuvre.
Kiyama, Kawabe et Yamashita sont trois copains d'école d'une douzaine d'années. Trois inséparables. La grand-mère de Yamashita meurt soudain. Il la connaissait à peine, mais il doit partir trois jours pour assister à son enterrement. Il revient troublé, fasciné, obsédé par la mort. Les deux autres se rendent compte qu'ils n'ont jamais vu de cadavre ailleurs que dans les mangas et les films à la télévision, et qu'ils ignorent ce qu'on ressent à la mort de quelqu'un. D'après eux, ce doit être une expérience comme une autre, un sujet d'étude. Et, justement, Kawabe vient de repérer une bicoque branlante sur un terrain vague. Elle est habitée par un très vieil homme. Elle a l'air mourante, cette maison. Son occupant doit l'être aussi. Ils se mettent au travail. À force de guetter, de scruter, d'espionner, ils vont bien finir par voir le vieillard mourir. Ils sauront enfin. Ils perceront le mystère. Ce qu'ils n'ont pas prévu, c'est qu'à force d'être observé le vieil ermite se sent exister, il se sent aimé, il reprend peu à peu goût à la vie. Et eux, en l'aidant à retaper sa maison et à cultiver son jardin en friche, en prenant soin de lui, en l'écoutant raconter ses souvenirs, c'est à une vie bien plus riche qu'ils accèdent patiemment.
« La première fois que j’ai lu les aventures d’Anastasia Krupnik, je m’ennuyais dans un petit bureau poussiéreux, je me demandais quel était le sens de ma vie. Si ça allait durer toujours. J’étais grognon. Dégoûtée de tout. Donc je venais de rencontrer une fille rousse et intelligente avec des lunettes de hibou. Avec des parents injustes, drôles, tolérants, humains. Une fille normale, avec un frère normal, une maîtresse normalement effrayante et pudibonde. Normal.
So what ? À quoi tenait cette force communicative ? Aux dialogues ? Ils sont sans le moindre souci de politically correct, sans la moindre censure. Sexualité, politique, religion, rien ne fait peur à l’auteure. Ils sonnent plus vrai que nature. Un ping-pong permanent. Des situations hilarantes ? Bien sûr. À base de hamsters, d’apparitions de Sigmund Freud, de passages de girafes, d’élans amoureux, de jalousies horribles. »
Geneviève Brisac
Anastasia est la compilation de trois tomes :
Anastasia Krupnik, Anastasia, demande à ton psy !, Une carrière de rêve pour Anastasia.
Jamais Anastasia n'a été aussi furieuse que le jour où ses parents lui ont annoncé qu'elle allait avoir un petit frère. Elle est allée dignement dans sa chambre, a décroché son poster d'orang-outang et a commencé à faire ses valises. Ses parents lui ont tout de même suggéré de passer Noël à la maison. Ils lui ont également dit que si elle restait, elle pourrait choisir le prénom du bébé. C'est alors qu'Anastasia a eu l'idée du prénom le plus abominable, le plus calamiteux qui puisse exister. Elle s'est empressée de le noter dans un endroit secret. Ensuite, elle a ajouté "les bébés" dans la liste des choses qu'elle déteste. Anastasia met très souvent ses listes à jour. C'est nécessaire. Des événements totalement imprévisibles et indépendants de votre volonté peuvent vous faire changer d'avis. Qui aurait cru, par exemple, que des mots comme "les garçons", "Mme Wesvessel" (la maîtresse), et même "les bébés" puissent un jour être rayés de la liste des choses qu'Anastasia déteste ?
La saga d'ANASTASIA dans l'ordre : "Anastasia Krupnick", "C'est encore Anastasia", "Anastasia à votre service", "Anastasia, demande à ton psy !", "Anastasia connaît la réponse", "Le nom de code d'Anastasia", "Anastasia avec conviction".
Suzie, bientôt dix ans, a tout pour être heureuse. Elle a deux parents, aux cheveux bruns et lisses, qui l’aiment. Elle a aussi une meilleure amie, Marcia. Sa chevelure rousse vous saute au visage, une vraie attaque orange. La vie n’est décidément qu’une sombre affaire capillaire. Suzie vient de s’en rendre compte. Sur la tête de Suzie, des multitudes d’anglaises. Incroyable, disent les gens.
Mais ils ne connaissent pas son secret. Suzie, elle, a enfin compris. Elle est une enfant adoptée. Alors, Suzie passe ses journées à écrire à celle qui l’a abandonnée. Ça l’obsède. Suzie ne comprend plus rien à rien. Ces milliers de points d’interrogation dans sa tête l’empêchent d’y voir clair. Suzie a certainement la maladie des mauvais yeux. Pour guérir, il faudrait juste regarder la vérité en face. Mais Suzie fait mentir les miroirs.
Mer d'huile ou tempête, peu importe dans les profondeurs de l'océan où tout est immuable et paisible comme la mort. Les habitants des contrées sous-marines sont des créatures pour qui tout est toujours égal et qui ne conçoivent pas qu'on veuille quitter la quiétude aquatique pour aller vivre à terre en compagnie d'un lynx, d'un ours et d'un homme : ils n'imaginent en aucun cas qu'on puisse se choisir «des animaux pour famille». Pourtant, parfois, l'un d'eux tente l'expérience, et il advient qu'il (ou elle) n'ait pas à le regretter...
Naufrage, rive déserte, bêtes fauves : au-delà du récit d'aventures, Randall Jarrell (1914-1965), qui fut un des grands poètes et critiques américains de son époque, nous donne ici une fable pleine de poésie et de sagesse vraie, où l'élément de merveilleux ne fausse nullement un sens aigu de la Nature.
Il était une fois un garçon qui n’avait peur de rien, mais alors de rien du tout ! Claquer des dents, frémir, trembler… Tout cela ne signifiait rien pour lui qui ne rêvait que d’une chose : «Apprendre à frissonner.» Mais comment faire ?
Qu’il rencontre des fantômes ou qu’il passe la nuit dans un cimetière, rien ne semblait l’inquiéter… Jusqu’au jour où il entendit parler d’un château si terriblement hanté que nul n’osait y entrer. Le roi avait promis la main de sa fille à qui y passerait trois nuits d’affilée, mais, malgré la beauté de la jeune princesse, les candidats ne se bousculaient pas.
– Sire, dit le jeune homme, si vous m’y autorisez, j’aimerais veiller trois nuits au château…
– Te voilà bien sûr de toi, répondit le roi, et pourtant mille dangers t’attendent. Personne n’est encore revenu du château vivant !
– Merveilleux ! s’écria le garçon. Peut-être allait-il enfin « apprendre à frissonner»…
Le poème de Goethe n’a cessé d’inspirer d’autres artistes : Paul Dukas pour une musique, Walt Disney pour un dessin animé, Tomi Ungerer et aujourd’hui Gerda Muller pour un livre illustré. Un jeune garçon est recruté par un maître sorcier décidé à lui transmettre son savoir, à condition qu’il soit patient et discret. Et l’enfant immature désobéit… À cette histoire universelle, Gerda offre sa minutie et son humanisme.
Pourquoi Maman fait-elle autant de mystères aujourd'hui ? Que va-t-elle faire des oiseaux en papier qu'elle fabrique ? Pourquoi n'a-t-elle rien dit à son fils qui lui avait désobéi en allant jouer près de la mare ?
Pourquoi Ralph doit-il rester enfermé dans sa chambre le jour de Noël ? Tout avait pourtant bien commencé. Il avait envoyé sa lettre au Père Noël pour demander : « Un furet, un vrai crâne humain, un scooter Px125, une toupie à moteur, un poster du Roi des Grenouilles, une promenade en ballon, une Game Boy Advance, un tour en avion biplan, un filet de saumon fumé, un casque stéréo GTS et une journée de canoë-kayak sur le Colorado. » Mais tout ce qu'il a obtenu, c'est : un oncle sadique, une tante gâteuse, une Grand-mamie odieuse, une cousine crâneuse déguisée en meringue, une mère surmenée, un père coupable, un voisin abandonné par des parents indignes, un Grand-père démolisseur, un oncle radin, une tante au régime... Et une punition injuste. Il se venge en racontant sa version de l'histoire. Et attention : il dit TOUTE la vérité.
Un petit garçon se fait bien du souci pour son père qui a perdu son emploi. Tous les jours, il interroge sa famille et il essaie de comprendre pourquoi il est si difficile de ne plus travailler. Tous les soirs, le visiteur du soir vient répondre aux questions et aux rêves des uns et des autres.
Et si le plus beau travail pour un papa, c’était d’abord d’être un papa ?