Thème « interdit »
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Matisse adore la peinture. Chaque jour, après l’école, il se rend au musée où sa mère est responsable de la sécurité pour s’entraîner à copier les chefs-d’oeuvre accrochés au mur.
Un soir, en pleins préparatifs d’une exposition consacrée à Henri Matisse, le nouveau système de sécurité du musée tombe en panne. Matisse se retrouve seul dans la salle des tableaux du maître à qui il doit son prénom, sans caméras, ni gardiens.
Il vient de terminer une reproduction parfaite du Portrait de Pierre Matisse. Il sait que c’est stupide et dangereux, mais il ne résiste pas et remplace le tableau original par sa copie, juste pour voir ce que ça fait d’être exposé dans un musée. Quand l’alarme se remet à fonctionner, Matisse n’a pas le temps de remettre à sa place l’original.
Et maintenant, comment va-t-il faire pour échanger les tableaux ?
La classe de mer, c'est quand on embarque des dizaines de C.M.2 turbulents, braillards et excités en direction de l'île d'Yeu. La classe de mer, c'est arriver à les faire se lever le matin, à les équiper en fonction des impératifs météorologiques, à les faire grimper sur un vélo... et surtout à ne pas les perdre, ni dans le château... ni en mer. La classe de mer, c'est épuisant... surtout lorsqu'elle compte dans ses rangs un élément réputé à problèmes : Franck Rouveyre. Et Franck Rouveyre en a des problèmes : lorsqu'il a fini de se disputer, il se bat et lorsqu'il a fini de se battre, il collectionne les bêtises, jette à l'eau le jeu électronique de l'un, le vélo de l'autre, et même la conductrice du vélo. Bref, Franck Rouveyre est une terreur, l'inévitable cauchemar des instits et des monos. Aussi, lorsque « l'affaire » se produit, les soupçons se portent-ils tout naturellement sur lui...
« As-tu vu comme il est laid ? On dirait un vieux balai ! Longue et sale est sa tignasse ! C'est bien lui : Crasse-Tignasse ! Jamais, jamais il ne veut qu'on lui coupe les cheveux !... »
En 1845, en Allemagne, paraît « Der Struwwelpeter » ou « Pierre l'ébouriffé » qui deviendra un classique du livre d'images, traduit un peu partout dans le monde. Son auteur, le Docteur Heinrich Hoffmann, déçu par les livres qu'il trouve dans les librairies, écrit ces histoires en rimes pour son enfant de trois ans, des histoires cocasses et cruelles.
Pierre n’a qu’une envie : se promener dans l’immense forêt, celle qui se trouve là, à quelques pas, juste derrière la clôture de la maison…
Seulement voilà, son grand-père lui a formellement interdit d’entrer dans ces bois, car il y rôde un loup féroce, « grand comme un ouragan et d’une effroyable voracité ». Il n’en fallait pas plus pour éveiller la curiosité du jeune garçon !
Alors un matin, au petit jour, Pierre désobéit. Il pénètre dans la forêt et y fait la rencontre d’une cane, d’un oiseau et d’un chat qui, tous les trois, sont catégoriques : le loup qui vit ici est une bête assoiffée de sang ! Ça ne semble pas impressionner Pierre pour autant… mais serait-il si sûr de lui s’il savait que, tapi dans l’ombre, le fauve les observe ?
D'accord, Romane est une tricheuse. Et une menteuse. Et, parfois, une voleuse, parce qu'avec les dix francs d'argent de poche par semaine que lui donne sa mère, elle n'est pas près de se payer l'adorable collier de petites perles roses ou le sautoir en (fausse) améthyste de la bijouterie Mélo. Ni même le petit lapin tout en argent, qui pourtant a l'air d'avoir été fait pour elle. Alors, lorsque le bracelet de cette bêcheuse de Clarisse disparaît, toute la classe est certaine que c'est Romane la coupable. Sauf que, depuis quelque jours, Romane a changé, beaucoup changé. Mais ce n'est parce qu'on a décidé de devenir une fille parfaite que la vie devient simple... Surtout si un saint Lapin et une grand-mère du Venezuela se mêlent de l'affaire !
Longtemps, Jack a fui. Il ne s’est pas présenté à un examen, il est descendu d’un train, il a quitté sa famille de gens biens, il s’est évadé d’un internat, d’une maison de correction, d’une caserne, il a passé une frontière. Il a fui les questions, les étiquettes, les brimades et les embrigadements. Il a fini par trouver refuge au coeur de la nature. Il est devenu berger. Taiseux, solitaire et attentif comme les bergers. Respectable comme eux. Il a rebâti une maison, construit ses meubles. Il élève des abeilles. Il veille sur le petit garçon de ses voisins. Il aime les fleurs, les livres et Natacha, une femme douce et rieuse. Tout est bien qui finit bien.
Mais les voilà qui le rattrapent. Ils ont lancé un détective privé à ses trousses.
Tout brûle autour d’Iris. Ernest, son père, qu’elle a très peu connu, est sur le point de mourir. Avant de s’éteindre, il aimerait partager avec elle sa passion de la peinture et lui faire découvrir sa magnifique collection. Les plus grands noms de la peinture y figurent : Miró, Chagall, Picasso, Modigliani… Et sa dernière acquisition : Feu Couleur #1, d’Yves Klein.
Mais la mère d’Iris, avide et à court d’argent, n’entend pas laisser échapper une telle aubaine. À ses yeux, les tableaux ne sont rien d’autre que les sommes fabuleuses qu’ils représentent. Et elle est prête à tout pour faire main basse sur l’héritage.
Dans cette situation, Iris aurait tellement besoin de compter sur quelqu’un. Mais Thurston, son meilleur ami, a disparu du jour au lendemain, comme un feu follet. Alors, que va faire Iris maintenant que tout brûle ?
Ned Wallis, après avoir commis ce qu'il considère comme une bêtise impardonnable, s'enferme peu à peu dans le mensonge et la culpabilité. L'amour de sa mère, une femme exceptionnelle, l'aidera à s'en sortir.
Un jour, il y a longtemps, les parents se sont mariés. Ils ont fait le serment de s’aimer toujours, de rester fidèles, de se prêter secours.
Aujourd’hui, rien ne va plus. Plus de rires ni de chatouilles entre eux, plus de danse, plus de feu dans l’âtre. À table, maman avale de travers. Papa prend des chemins de traverse. Elle se plaint. Il se tait.
Camille et son petit frère Matthieu s’en tirent comme ils peuvent. Elle rêve qu’elle vole comme un oiseau, s’évade dans son jardin chéri. Lui s’enferme dans de brusques colères, des crises de somnambulisme.
Ne t’en fais pas, a dit le père. Camille s’en fait. Du souci, du mouron, de l’inquiétude. Il faut qu’ils restent ensemble, et que personne ne sache ce qui les divise.
Ce pacte-là, ce sont les enfants qui l’ont scellé. Ils vont le respecter. Coûte que coûte.
La villa Mont-Noir, le domaine où Marguerite Yourcenar a passé son enfance, est devenue aujourd’hui un lieu de résidence pour les écrivains européens. Quel meilleur endroit aurait pu accueillir Gisèle Bienne et l’inspirer pour ce roman sur la douleur d’aimer des parents qui se déchirent et les liens sacrés de la fraternité ? Car un des personnages principaux du livre est un jardin frémissant, comme celui où elle s’est promenée au mois de mai, parmi les jacinthes et les biches.
« J'étais entrée dans la pièce pour chercher un livre que j'avais posé, et je me suis retrouvée nez à nez avec ma grand-mère qui avait plongé sa main dans le sac et qui, quand elle m'a vue, a fait un bond en arrière. Au lieu de poser une question ou de quitter la pièce, j'étais restée figée, fixant ma grand-mère comme si je la voyais pour la première fois.
Elle avait tenté de se justifier : - Ne fais pas cette tête, c'est ta maman qui m'a demandé de...
Je n'ai pas écouté ses explications. Jamais ma mère n'aurait demandé à quiconque de regarder dans son sac. Je l'ai toujours entendu répéter que son sac, c'était sacré, et que jamais personne ne devait y toucher. C'était son intimité, sa liberté, son argent, ses secrets.
Mamido a commencé à s'énerver : - Ne reste pas là avec ton air idiot. Le problème, c'est que je ne pouvais plus bouger.
Mes jambes ne m'obéissaient plus. Et des jambes qui décident de faire grève au moment même où elles sont censées vous protéger d'un danger, c'est très inquiétant. Ça veut dire que vous ne pouvez plus compter sur vous. Mes jambes ont fini par céder à mes supplications et elles m'ont littéralement propulsée hors de la pièce. Dans la précipitation, j'ai glissé sur le bord du tapis et je me suis retrouvée allongée dans le couloir, face contre terre, aux pieds de ma mère qui venait de quitter la salle de bains. Je n'ai rien dit à ma mère, je me suis contentée de pester contre le tapis. »