Thème « histoire policière »
Message d'erreur
- Notice : Undefined variable: pageCollection dans include() (ligne 7 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined variable: pageCollection dans include() (ligne 7 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined index: prix dans include() (ligne 79 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Warning : Invalid argument supplied for foreach() dans include() (ligne 79 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Notice : Undefined index: prix dans include() (ligne 137 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
- Warning : Invalid argument supplied for foreach() dans include() (ligne 137 dans /var/www/drupal7/sites/all/modules/custom/edl_thematique/theme/edl-filtre-thematique.tpl.php).
Le jeune Nicolas s'est-il vraiment noyé à Montalivet ? Pourquoi le docteur Victor a-t-il confié à Sylvère Lomeret qu'il avait fait un faux rapport d'autopsie ? Et par qui a-t-il été assassiné, alors qu'il se rendait au CEPP, le Centre d'études des phénomènes paranormaux, pour y chercher des renseignements sur le vampirisme ?
Sylvère Lomeret, journaliste à France 3 Région et à La Tribune de l'Ouest, risque d'avoir du mal à découvrir la vérité. Pour l'instant il est occupé à un reportage sans grand intérêt, au CEPP, justement.
La vocation du centre est de démontrer que les phénomènes dits paranormaux ont toujours une explication rationnelle. Il offre cinq cent mille francs à toute personne capable de faire preuve, dans des conditions extrêmement surveillées, d'un don de télépathie, de télékinésie ou autre. Les candidats se pressent et repartent toujours bredouilles. Au programme ces jours-ci, une pseudo-télépathe hystérique et une prétendue maison hantée. Anatole Le Lyonnais, le directeur, ricane d'avance. Mais son élève et assistante, Marianne, est moins sereine, surtout depuis qu'elle a entendu ce halètement étrange, juste derrière elle, dans le parking souterrain désert. Elle n'en a parlé à personne. C'est alors qu'entre en scène un jeune homme, Hugo Knocker, soi-disant étudiant en psychiatrie. Il a de sérieuses difficultés d'élocution, un problème avec les manches de son pull-over et aussi avec la pleine lune, et son cerveau est facilement envahi par des pensées qui ne sont pas les siennes. Il ne lâche pas Marianne d'une semelle et cela déplaît profondément à Sylvère, qui est tombé fou amoureux d'elle, et qui compte bien sur la visite de la maison hantée pour lui faire des avances...
Harry Bonnet, 16 ans, fils d’un cuistot montmartrois, est fou de cinéma.
Comment s’est-il retrouvé à Hollywood ? C’est simple. Il lui aura suffi d’une gifle, d’une caille rôtie et d’une assiette de pommes de terre pour traverser l’Atlantique et atterrir sur la colline mythique. L’Amérique ! Des stars à tous les coins de rue !
Une nuit, il suit son père à la cantine, s’introduit en catimini sur le plateau no 17, remplace au pied levé un second rôle souffrant et… tombe nez à nez avec Alfred Hitchcock.
Le metteur en scène le plus célèbre du monde commence le tournage dont il rêve depuis quarante ans : l’adaptation d’une pièce de J. M. Barrie, l’auteur de Peter Pan.
C’est un secret absolu. Le film porte un faux titre et Hitchcock lui-même a pris un nom de code. Mais pourquoi diable Harry a-t-il voulu voir les premières minutes du film fantôme ? Pourquoi a-t-il désobéi au maître du suspense ?
Adapté en BD aux éditions Rue de Sèvres par Nicolas Pitz
« Poe a créé un genre à part, ne procédant que de lui-même, et dont il me paraît avoir emporté le secret ; on peut le dire chef de l’École de l’étrange ; il a reculé les limites de l’impossible ; il aura des imitateurs. Ceux-ci tenteront d’aller au-delà , d’exagérer sa manière ; mais plus d’un croira le surpasser, qui ne l’égalera même pas. […] S’ils ne sont pas fous, les personnages de Poe doivent évidemment le devenir pour avoir abusé de leur cerveau, comme d’autres abusent des liqueurs fortes ; ils poussent à leur dernière limite l’esprit de réflexion et de déduction ; ce sont les plus terribles analystes que je connaisse, et, partant d’un fait insignifiant, ils arrivent à la vérité absolue. »
Jules Verne, Edgar Poe et ses oeuvres
Dans ce volume : « La Chute de la Maison Usher », « Double assassinat dans la rue Morgue », « La Lettre volée », « Le Chat noir », « Le Coeur révélateur », « Le Puits et le Pendule » et « Le Masque de la mort rouge ».
Lors d'une enquête difficile, l'inspecteur Le Garrec appelle à l'aide un spécialiste du langage, Glockenspiel. Le « professeur » a mis au point une méthode d'investigation de l'oral, capable de mesurer le degré de conviction de la parole, et de repérer tout écart entre ce qui est dit et ce qui ne l'est pas. Il ne tarde pas à déceler dans les témoignages des suspects des indications surprenantes. Les enquêtes policières rebondissent vers des dénouements aussi imprévisibles que logiques. Suspense garanti !
Glockenspiel, le petit homme au lunettes admirateur de Sherlock Holmes, apparaît ici pour la première fois. Il n'a pas fini d'étonner.
Quelques empreintes de pattes dans la neige, une carcasse de daim abandonnée un peu plus loin… et Felitsa avait compris en un éclair à qui elle avait affaire. C’était bel et bien une tigresse que sa mère et elle venaient de repérer. Et à y regarder de plus près, une tigresse qui attendait des petits. En dépit de la fatigue et de la température glaciale, Felitsa ne regrettait plus d’avoir accompagné sa mère dans sa tournée d’inspection. Alissa était garde forestière au bout du bout de la taïga russe, une zone de trafic intense avec la Chine voisine et un beau terrain de chasse pour les braconniers. De l’autre côté de la frontière, la dépouille d’un tigre de Sibérie valait des dizaines de milliers de dollars. Si Felitsa et sa mère avaient repéré la tigresse, les braconniers n’allaient pas tarder à faire de même. Il fallait trouver le moyen de sauver sa peau…
Amateurs de récits policiers, attention ! Vous qui avez l'habitude de refermer votre livre une fois le coupable démasqué et l'énigme élucidée, attendez-vous à une surprise. Même si vous lisez jusqu'au bout les six nouvelles de ce recueil, vous ne serez pas assurés de connaître le fin mot de chaque histoire. Une fois leur lecture terminée, un certain mystère persiste, des doutes subsistent. L'énigme est résolue certes, mais le lecteur s'interroge encore sur d'étranges coïncidences, sur le comportement bizarre d'un personnage ou sur la réalité d'un autre. Que penser par exemple de ce Monsieur X ? Costume passe-partout, mallette et sourire commercial, il possède la panoplie complète du parfait VRP. Mais en guise de savonnettes, lui, vend des crimes parfaits. Il suffit au client de choisir le genre (suicide ou accident ?), l'arme (poignard, boomerang ou arbalète sous-marine ?) et bien sûr la victime... Et que dire du comportement de cette chatte SuSu ? Tous les soirs à 20 h 30, elle trotte vers la porte d'entrée et vient se rouler sur le tapis. Elle attend que la sonnette retentisse, annonçant la visite du voisin de palier. Mais Mr Van n'est pas venu depuis des semaines ; on l'a enfermé dans un asile d'aliénés. Alors qu'attend la chatte SuSu ? Le souvenir de Mr Van ou son fantôme...
Le professeur d’étruscologie Nils Hazard a plus de facilité à résoudre les énigmes que les mystères de la langue étrusque. À treize ans, il a découvert un terrible secret de famille. Il a aujourd’hui décidé de le livrer à Catherine Roque, l’une de ses étudiantes. Un choix étonnant : brouillonne, championne de tir à l’arbalète, elle a aussi le don de le mettre hors de lui.
Au collège Saint-Prix, un professeur a retrouvé son casier forcé et ses copies corrigées avec du sang humain… Le chasseur d’énigmes Nils Hazard et sa petite amie Catherine Roque sont chargés de mener une enquête discrète sur le terrain. Avec 280 suspects sur les bras, Nils va devoir redoubler d’efforts pour démasquer le coupable...
Nils Hazard a reçu une lettre d’Italie : en fouillant une tombe, ses étudiants en archéologie ont trouvé un texte gravé sur des tablettes d’argile. Ni une ni deux, Nils s’envole pour l’Italie, emmenant avec lui Catherine Roque, sa secrétaire et petite amie. Mais c’est un tout autre secret que révèle la tombe : couloirs murés, pièges mortels et, pour finir, deux cadavres…
Nils Hazard, le héros de « Dinky rouge sang », de « L'assassin est au collège », et de « Scénario catastrophe » (entre autres aventures), a souvent eu l'occasion de s'intéresser à d'autres domaines que sa spécialité, les Etrusques. Son goût du risque l'a maintes fois sorti de son amphithéâtre de la Sorbonne et lui a fait découvrir des choses aussi diverses que les concerts de rap ou les rouages des sectes. Mais il est un milieu où on ne l'attendait pas vraiment : celui des agences de mannequins. Précisons que son amie Catherine Roque, qui change de métier tous les six mois, a décidé d'y tenter sa chance. Pour l'instant, elle n'a réussi à décrocher que des publicités pour de l'électroménager et de la purée en flocons, qui laissent Nils perplexe. Depuis quelque temps, un inconnu envoie des poupées Bardy piégées à de célèbres top models. Claudia Fisher, Estelle Sunday, Maori Cannell ont déjà été visées. Nils Hazard ne s'intéresse pas outre mesure à cette affaire... jusqu'à ce qu'il soit lui-même victime d'un attentat, dans le hall de la Top Ten Agency où il était venu rapporter un book égaré. Le colis qui attendait sa destinataire à l'accueil a tué une hôtesse et en a gravement blessé une autre. Le commissaire Berthier enquête et Nils, à peine remis, se garde bien entendu de lui confier tout ce qu'il a dans la tête. Ange, ce mannequin de seize ans au comportement étrange, est-elle la responsable ? Que sait-elle exactement ? Pourquoi donne-t-elle rendez-vous à Nils à trois heures du matin ? En tentant de résoudre le mystère, Nils se fait harceler par un photographe louche, se déguise sans grand succès en voyou fasciste et prend un certain nombre de coups. Mais il y a peut-être plus grave : il se met à porter Steppe, l'after shave « des hommes qui n'ont pas froid aux yeux », et il n'est pas tout à fait exclu qu'il succombe au charme de la belle Ange...
« Monsieur, suite au décès de votre fille A, nous vous informons que A'est à votre disposition aux laboratoires Vorillon. Monsieur X. » N'importe qui serait légèrement déstabilisé en lisant cette lettre. Ensuite la plupart d'entre nous croiraient à une plaisanterie sibylline et de mauvais goût, et cesseraient bientôt d'y penser. Nils Hazard décide de savoir d'où elle vient. Parce qu'il est curieux de nature... et parce qu'il a un véritable don pour mettre son nez là où il ne faut pas. Peut-être aussi parce qu'il va être père dans quelques jours et que c'est un sujet qui le préoccupe beaucoup. Il se présente sous un faux nom aux laboratoires Vorillon pour mener une petite enquête. Mais le simple fait d'avoir conservé la lettre le met en danger. Car le professeur Vorillon est un adepte du clonage humain et se livre à un trafic d'embryons des plus lucratifs. Et il n'a aucune envie qu'une preuve écrite de ses activités se promène dans la nature. Pauvre Nils Hazard, on lui saccage son appartement, on lui met un couteau sous la carotide et, en plus, sa petite amie Catherine lui en veut terriblement d'avoir disparu le jour de l'accouchement. Pauvre petite Juliette Hazard : non seulement un test paru dans Jeune et Jolie démontre que son père est totalement irresponsable, mais de surcroît la voilà kidnappée dans une camionnette et bringuebalée à travers Paris. Elle a faim et son père a un mal fou à lui donner son biberon parce qu'il a les mains et les pieds attachés ! Vraiment, être la fille d'un détective étruscologue, est-ce un cadeau ?
Le 14 août de l'an 2000, la comète Swift-Tuttle percutera la terre. Le choc sera équivalent à 10 millions de bombes H. L'atmosphère s'obscurcira, il y aura des pluies acides, des tremblements de terre, des villes seront englouties. Ensuite, ce sera l'hiver nucléaire. C'est ce que prétend le professeur Harvey Liver, fondateur de Millenarisme A.H.L., une association qui construit une ville bulle autonome pour des survivants triés sur le volet. Le commissaire Berthier, qui surveille Harvey Liver depuis longtemps, demande une fois de plus leur aide à Nils Hazard et Catherine Roque. Il s'agit d'infiltrer Millenarisme A. H. L. Autrement dit, de mettre les pieds dans une secte. Et c'est autrement plus dangereux qu'il n'y paraît.
Serial killer va te faire ta teuf. Il tue pas pour le flouze, Serial killer, il kill le blues. Ce ne sont que les paroles d'un rap, écrites par Axel, le lycéen qu'a adopté Nils Hazard. Pourtant, ces paroles sont devenues vraies. Dans Paris, un tueur frappe. Ses victimes sont toujours des drogués.. Nils Hazard mène l'enquête. ÀA moins que ce ne soit le tueur qui le mène. Ils se sont déjà croisés. Et il y a même des gens qui se demandent s'ils ne forment pas une seule et unique personne.
Aisselle manie la pelle, et le poste de radio fredonne : « J'entends un signal d'aaaalarme Quand tu t'approches, ça me désarme... » Il vient de passer quatorze mois à creuser des trous au camp de redressement du lac vert, et que fait-il une fois rentré chez lui à Austin ? Il creuse des trous ! Sauf que, cette fois, Aisselle est payé pour son travail. « Alerte rouge ! J'ai les m-m-mains tremblantes... » Aisselle est bien décidé à économiser de l'argent, à passer son bac, à éviter les embrouilles et surtout à se débarrasser de ce surnom qui lui colle à la peau. « Alerte rouge ! J'ai mal au ventre... » Mais bizarrement, quand on est noir, baraqué et affligé d'un casier, on trouve peu de soutien autour de soi. À moins d'avoir pour meilleure amie une petite fille handicapée qui, elle, n'est pas du tout impressionnée. « Alerte rouge ! Le sol sous m-m-mes pas s'éventre. » C'est alors qu'un ancien pensionnaire du camp du lac vert, X Ray, vient proposer à Aisselle une « affaire en or » qui va le propulser dans l'univers d'une jeune star de la chanson. Son plus grand tube : « Alerte rouge ! »
Ce soir, les parents d'Henri vont à l'opéra. Le front et les joues brûlants - il a une angine - il ouvre une porte d'armoire, et sa vie bascule. Dans la poche d'un veston de son père, il y a la photo d'une femme et ces mots : Anna qui t'aime. À la poursuite d'Anna, qui l'aimerait peut-être lui, Henri, s'il la trouvait, qui l'aimerait sûrement mieux en tout cas que sa mère aux yeux secs, Henri va se cogner dans un monde dont il ne soupçonne pas la dureté. Sur les marches de l'Opéra Bastille, il rencontre Waldo et Angela, il leur fait confiance, il a tort. La vie n'est pas comme dans les livres où il s'est toujours réfugié. La vraie vie est bête, et cruelle. Henri court à la catastrophe, le coeur rempli d'espoir et d'amour.
Louna a quinze ans et des parents qu’elle trouve égoïstes, lointains, car insensibles au sort des migrants en difficulté qu’elle voit partout autour d’elle. Après avoir échoué à les convaincre d’accueillir une famille entière, Louna enlève le petit Mirhan devant son école, estimant qu’il est de son devoir de soustraire le jeune clandestin à la police qui le recherche et le renverra sans doute dans son pays. Sans le soutien de son petit ami Thomas, qui refuse lui aussi de l’aider, c’est pour Louna – et Mirhan – une longue nuit de cavale qui s’annonce un véritable jeu de cache-cache avec les autorités. Mais la situation est-elle bien comme la jeune fille nous la raconte ?