Thème « aventure et policier »
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Avec une maman fleuriste et un papa conducteur de métro, Lili mène une vie parfaite… Jusqu’au soir où papa ne rentre pas à la maison. « Il est prisonnier du neuvième métro, dit maman, un métro ensorcelé qui fait oublier sa famille. »
Lili n’a pas peur, ni des mauvais sorts ni du métro, encore moins de l’oubli. Elle est prête à tout pour sauver son père. Sans hésiter, elle descend dans la première station venue et part à la recherche du métro numéro 9. Mais attention, les métros se ressemblent tous.
Salvatore est cordonnier. Il vit dans la ville la plus mystérieuse du monde : Venise.
Un beau soir, noir comme tous les soirs depuis que la lune a disparu, Salvatore finit de recoudre les bottes d’un pirate anglais, lorsqu’une gondole chargée d’une énorme chaussure accoste juste devant l’atelier du petit cordonnier…
Il y a une chose que je ne supporte pas, c'est d'être malheureuse... Mais comment continuer à être heureuse quand on est tombée amoureuse d'un secret d'État aux yeux verts qui s'appelle Emilio Perez, qui disparaît sans arrêt et qui est aussi difficile à trouver qu'une aiguille dans une botte de foin : aux îles Rademaker, il y a au moins deux mille familles Perez.
Selon Mina la souris, la forêt est sous l'emprise d'une terrible malédiction : une sorcière déguisée la hante jour et nuit. Le seul moyen de la faire disparaître à tout jamais est de la retrouver et... de la reconnaître sous son déguisement, avant le petit matin. Mina n'y arrivera jamais toute seule et fait appel à son ami Victor le lapin. Du coup, tout le monde s'y met : le hibou, les chauve-souris, la taupe, l'ours et même les loups vont essayer de déjouer l'affreuse sorcière. L'union fait la force !
Erine a de la chance : elle habite au bord des flots, à côté d'un joli port de pêche.
Erine n'a pas de chance : sa maman lui a interdit de sortir en mer car au large, un terrible rocher noir fracasse les bateaux, terrifie les marins, et s'amuse à changer de place pour mieux les transpercer de ses pics acérés !
Erine a du courage : tous les jours, elle essaie de se cacher à bord, pour s'en aller voir ce fameux rocher de plus près. Et tous les jours, sa mère la trouve. Sauf aujourd'hui...
Un cow-boy, à Borgisvik ! Un vrai cow-boy, comme dans un western ! Mon père et mon oncle, pourtant fameux bagarreurs, découvrent vite que c’est un sacré bonhomme : il les a mis KO quand ils se sont moqués de lui. Alors quand il est venu à la maison, l’ambiance était un peu tendue. Et quand il a annoncé qu’il était venu chasser le troll et qu’il comptait sur nous pour l’aider, rien n’allait plus. Parce que nous, nous savons que les trolls existent, mais nous gardons le secret pour les protéger. Comment arrêter ce redoutable chasseur ?
À part Tor de Borgisvik et sa famille, tout le monde dans le royaume pense que les trolls ont disparu depuis le Moyen Âge. Mais voilà, catastrophe : un jeune troll a été capturé. Il se retrouve aux mains du cruel Lars Vindson, qui veut le dresser pour son cirque.
Comment le délivrer, et empêcher le malheur qui menace tous les trolls ? Heureusement, Tor, son père et son oncle ne manquent ni d’imagination ni de courage...
Bientôt le printemps. Dans la forêt de Skogsfür, les gnomes s’apprêtent à donner leur grande fête annuelle au lac de l’Ours. Six jours et six nuits de festivités ! Tor n’a qu’une envie : y assister.
Pourtant ses parents le lui ont interdit : le lac est ensorcelé, la forêt est peuplée d’une foule de créatures bien peu recommandables. En voilà une, déjà, avec des yeux plus grands que des assiettes, un nez gigantesque, des dents et des ongles tout noirs : un troll ! Mais Tor n’est pas du genre à se laisser impressionner par le premier troll venu…
Qui vient de naître mais mesure déjà plus d’un mètre ? Qui est d’une laideur ravissante, avec sa peau toute fripée ? Qui dort beaucoup et pue encore plus ? C’est Luztigh, le bébé troll. Mais… chut, Tor doit le garder quelques jours en cachette pour aider son grand ami Borigh-Borigh.
Trogndjûû ! Cela fait des heures que Tor pêche au bord du lac et il n’a toujours rien pris, pas le moindre petit poisson. Son père et son oncle ont une explication. C’est encore un tour du farfajoll, un gnome des lacs et des rivières qui s’amuse à empêcher les poissons de mordre à l’hameçon. Il faut à tout prix se débarrasser de cet être nuisible, de cette créature du diable. Le farfajoll, un être monstrueux ? Tor, pour sa part, le trouve tout simplement extraordinaire…
En faisant vivre Tor de Borgisvik, son nouveau héros, Thomas Lavachery a souvent pensé à Nils Holgersson, dont les aventures ont enchanté son enfance. Il en a fait un petit gars sensible, généreux, et d’emblée entreprenant, qui risque fort de rencontrer d’autres gnomes aussi extraordinaires que le farfajoll dans un prochain roman.
Ses lecteurs s’en réjouissent par avance !
Dans la même collection : Trois histoires de Jojo de la jungle
Il y a des nuits où la nuit s'ennuie. Elle veille sur Gaspard qui dort près de son chat Falbala. Il y a des nuits où Gaspard ne veut pas dormir. Cette nuit-là, il veut savoir. Que fait son chat jusqu'au petit matin ? Et s'il ne restait pas au bout de son lit ? Cette nuit-là, la nuit ne s'ennuie pas. Elle accompagne Gaspard qui sort de la maison et suit Falbala dans la campagne endormie. Où va donc le chat Falbala dans le froid ? Pourquoi s'approche-t-il du parc du château interdit ? Quelles sont ces voix qui l'appellent Belzébuth et l'attirent près de la fenêtre ? Malgré l'ombre terrifiante de la grande demeure, malgré les histoires menaçantes qu'on raconte sur la vicomtesse qui l'habite, Gaspard continue d'avancer tout seul. La nuit saura t-elle veiller sur lui jusqu'au petit matin ?
Une nuit, c'est dans MA chambre que le Voleur de Doudous est entré !
Connaissez-vous le Voleur de Doudous ? La nuit, sans bruit, il entre dans les maisons en passant par la cheminée. Sur la pointe des pieds, il se glisse dans les chambres des enfants. Malgré l'obscurité, il repère les doudous. Il ne vole que les plus beaux, ceux que les enfants aiment du fond du coeur. Il les met dans un grand sac et les emporte au Pays des sorcières. Car vous ne le saviez peut-être pas, mais les sorcières font de la soupe de doudou.
Moi, je connais bien le Voleur de Doudous. Je suis même allée au Pays des sorcières. Car une nuit, c'est mon doudou que le Voleur a voulu voler. Et je n'avais pas l'intention de le laisser faire.
Le jeune Nicolas s'est-il vraiment noyé à Montalivet ? Pourquoi le docteur Victor a-t-il confié à Sylvère Lomeret qu'il avait fait un faux rapport d'autopsie ? Et par qui a-t-il été assassiné, alors qu'il se rendait au CEPP, le Centre d'études des phénomènes paranormaux, pour y chercher des renseignements sur le vampirisme ?
Sylvère Lomeret, journaliste à France 3 Région et à La Tribune de l'Ouest, risque d'avoir du mal à découvrir la vérité. Pour l'instant il est occupé à un reportage sans grand intérêt, au CEPP, justement.
La vocation du centre est de démontrer que les phénomènes dits paranormaux ont toujours une explication rationnelle. Il offre cinq cent mille francs à toute personne capable de faire preuve, dans des conditions extrêmement surveillées, d'un don de télépathie, de télékinésie ou autre. Les candidats se pressent et repartent toujours bredouilles. Au programme ces jours-ci, une pseudo-télépathe hystérique et une prétendue maison hantée. Anatole Le Lyonnais, le directeur, ricane d'avance. Mais son élève et assistante, Marianne, est moins sereine, surtout depuis qu'elle a entendu ce halètement étrange, juste derrière elle, dans le parking souterrain désert. Elle n'en a parlé à personne. C'est alors qu'entre en scène un jeune homme, Hugo Knocker, soi-disant étudiant en psychiatrie. Il a de sérieuses difficultés d'élocution, un problème avec les manches de son pull-over et aussi avec la pleine lune, et son cerveau est facilement envahi par des pensées qui ne sont pas les siennes. Il ne lâche pas Marianne d'une semelle et cela déplaît profondément à Sylvère, qui est tombé fou amoureux d'elle, et qui compte bien sur la visite de la maison hantée pour lui faire des avances...
Trois semaines en Angleterre pour apprendre l'anglais, la clé du monde moderne : un programme enthousiasmant pour l'été ! Je ne veux pas y aller. Je déteste le monde moderne. Je cherche les clés du monde ancien. J'y vais quand même, parce qu'on ne me demande pas mon avis. Là-bas m'attend la famille Baker. J'ai peur des lunettes de la mère, des gros seins de la fille, des mains du père, du temps qui ne passe plus. Je suis en exil. Je dessine les Baker dans mon journal. Puis j'y colle des souvenirs : des poils de chat torturé, un haricot blanc cuit. J'écris à ma soeur des lettres qui restent sans réponse. Les autres filles disent de moi : Elle est pas formée. Elle est trop jeune. Elle fait la tronche. C'est une sorcière. Elles gloussent en regardant les garçons. Elles emploient des mots que je ne comprends pas. Que je comprends trop. Je veux les comprendre.
L’agresseur portait un masque de la Saint-Magnus, une figure de diable, et un chapeau à cornes. Tandis qu’il poignardait Harald Ier, il riait à gorge déployée.
Un démon, pour sûr ! Après ce terrible attentat, le vieux roi viking est au plus mal et fait appeler le morphir à son chevet. À peine Bjorn a-t-il eu le temps de profiter de l’affection des siens, de sa gloire toute neuve et des cadeaux offerts par Harald Ier après son expédition victorieuse aux enfers, que le voilà reparti. Sans attendre, il galope à bride abattue vers la capitale avec, à ses côtés, son ami le demitroll Dizir.
Sur la route, les nouvelles sont préoccupantes.
Des troupes ennemies se massent aux frontières et les royaumes voisins s’apprêtent à envahir le Fizzland.
La guerre est imminente. Harald Ier doit se hâter de désigner un jarlal, un guerrier plein d’expérience qui le remplacera à la tête des armées. Ghizur-Loup-Blanc et Bardi le Borgne paraissent les meilleurs candidats au poste suprême. Pour Bjorn, cela ne fait aucun doute…
Et si le morphir se trompait ?
Avant d’attaquer ces nouvelles aventures de Bjorn le morphir, Thomas Lavachery s’est accordé deux ans de répit pour « garder l’envie et le plaisir », explique-t-il. Dans ce nouveau cycle, il a voulu décrire la guerre telle qu’elle est, « chaotique, féroce et meurtrière ».
Il s’est inspiré de batailles célèbres et s’est plongé dans le traité de Sun Tzu, auteur chinois d’un célébrissime Art de la guerre. Mais son modèle absolu reste la bataille de Waterloo décrite par Stendhal dans La Chartreuse de Parme : « Un bazar incroyable ! » Avec autant de références, Bjorn ne pouvait que prendre du galon…
Bjorn, un puissant jarlal ? À le voir errer à moitié nu, sans escorte et sans épée, sale et épuisé, on pourrait en douter. Après sa défaite au bois d’Hallorn contre les mercenaires du roi Karl, le morphir a tout perdu. Mais il a retrouvé son frère, Gunnar.
Les deux fils d’Erik ne se sont pas revus depuis trois ans, et pendant tout ce temps la jalousie de Gunnar n’a cessé de grandir. Mais la rivalité est-elle encore de mise quand le Fizzland est aux mains de l’ennemi ? Bjorn le jarlal a besoin d’aide. Il lui faut rejoindre les steppes de l’Est, trouver Tchortchi, un grand chef toundour dont il espère obtenir l’appui. Bjorn et Gunnar ne seront pas trop de deux pour traverser les territoires des Tyburides, des Belles-Personnes, des Gvars, des Zarques… des peuples aux coutumes étranges, aux intentions parfois belliqueuses.
Il leur faudra d’abord s’enfoncer dans la forêt des Bannis, réputée pour ses pièges. Vite, le temps presse ! Cette odeur salée, cette odeur d’algues… Hafkell le mort-vivant est à leurs trousses !