Thème « amitié »
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Quand elle a fait ce rêve que parmi ses élèves se cachait un grand écrivain, mademoiselle Junon a distribué des carnets à spirale à chacun d’entre eux, pour y noter tout ce qui leur passait par la tête. À défaut d’écrire un roman, Sacha y prend des notes sur les êtres qui l’entourent et les questions qu’il se pose. Il se demande comment savoir que l’on est réellement amoureux.
« Si je comprenais bien, l’amour était une guerre, un combat dont le but était de sortir vainqueur à tout prix. J’ai écrit : Être amoureux, est-ce vouloir que l’autre soit aussi malheureux que soi ? D’un autre côté, je voyais bien que papa faisait tout l’inverse. Il passait sa vie à essayer de faire plaisir à maman ! Mais alors… Être amoureux, est-ce vouloir que l’autre soit aussi heureux que soi ? »
La danse, au début, pour Suzanne, c’était un jeu. Elle l’a apprise grâce à un livre, a suivi des cours, et elle y a pris goût. Tant et si bien qu’aujourd’hui c’est un nouveau monde qui s’offre à elle. Oui ! Car elle a présenté sa candidature à l’école des petits rats de l’Opéra. Le début de la gloire ? Oh, pas si vite…
Suzanne va devoir quitter son école et sa famille pour rejoindre l’internat de Nanterre. Sa directrice redoutable. Ses élèves aux prénoms improbables, prêtes à tout pour réussir. Et rencontrer Romu Millorteil en personne, le dieu vivant des chorégraphes. Et quand on a onze ans, entrer dans la danse est loin d’être une simple partie de plaisir…
2 septembre, veille de la rentrée. Contrairement à ce que pense ma mère, je n’entreprends pas ce journal aujourd’hui par plaisir, ni parce que j’entre en sixième demain. Je n’ai rien à dire là -dessus. Je veux parler des raisons pour lesquelles je vais devenir nul. Point à la ligne.
Il est suisse. Il s'appelle Léonardo. Il a un chien qui s'appelle Bichette, un camping-car qui s'appelle Bichette et il avait une femme qui s'appelait Bichette. Il est très déprimé, très déprimant, et surtout, il est poursuivi par une malchance phénoménale. Les accidents les plus invraisemblables fondent sur lui comme une nuée de mouettes sur un reste d'anchois. Grâce à lui, Martin et ses parents vont passer des vacances inoubliables.
Tout commence un beau jour d'été, sur le bateau qui relie Marseille à Calvi.
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d'ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n'a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d'Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu'au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres filles de la classe avaient déjà remarqué...
Vous le saviez, vous, que les sorcières étaient végétariennes ? Qu’elles descendaient en droite ligne des dragons de Komodo ? Qu’elles venaient d’une île du Pacifique engloutie par la montée des eaux ? Que c’est pour cela qu’elles s’étaient réfugiées sur les toits de Paris ? Que la plus jeune d’entre elles s’appelait Kaï ? Et qu’il était tout à fait possible de la confondre avec Marie-Astrid Caramel de Bellegarde, qui toute sa vie n’avait connu que les beaux quartiers ? Eh bien, le monde a changé. Et il est grand temps que vous l’appreniez.
Dans cette bande, on compte Cannelle, une petite gitane au regard perçant qu’il vaut mieux ne pas embêter, Chiffon, l’olibrius le plus débraillé du monde à croire qu’il passe chaque matin par la case « ouragan » , Clochette, la plus jeune du lot mais aussi la plus maligne, le gourmand Bouillu, un dodu qui ne sortait jamais sans quelques croissants dans ses poches, et enfin, Bougie, un garçon de dix ans qui devait son nom à :
1° ses cheveux blonds comme les blés,
2° l’ampoule qui s’allumait au-dessus de sa tête dès qu’il avait une bonne idée, c’est-à -dire toutes les dix minutes.
À eux tous, ils vont devoir se creuser les méninges pour échapper à l’affreux Rondlard et au vilain Dents Jaunes !
Souvenez-vous. Nous avions laissé Verte, l’apprentie sorcière rebelle, rayonnante. Entourée de femmes, comme depuis toujours : sa mère Ursule et sa grand-mère Anastabotte. Mais aussi, c’était nouveau pour elle, d’hommes : Soufi, le garçon de sa classe grâce à qui elle avait retrouvé son père, et celui-ci, Gérard, l’entraîneur de foot.
Les choses pourraient être simples désormais.
Et bien sûr, elle ne le seront pas. Car Soufi déménage et Gérard a un père, lui aussi : Raymond, un ancien commissaire de police. Verte pleure, Verte rit, Verte est très entourée soudain et pourtant elle se sent seule. Heureusement, une fille vient d’emménager avec sa mère dans le bâtiment B. C’est Pome.
Verte se dit que c’est un nom parfait pour une alter ego, une future meilleure amie, une pareille en tout. En tout ? Même en sorcellerie ?
Imaginez que votre meilleur ami habite juste à côté de chez vous. Imaginez que ses parents vont adopter et que, dans deux mois, il aura une petite soeur. Mais que cette nouvelle ne lui fait pas du tout plaisir. Au contraire : il est même décidé à s’enfuir de chez lui. Voilà ce qui arrive à Simon. Il a beau ne pas être d’accord, lui qui aimerait bien avoir une petite soeur, il est bien obligé d’aider Albin à préparer sa fugue...
Il s'appelle Ulysse Colmar, il est nouveau au collège. Il est plutôt sympa, dans le genre bien élevé. Il n'arrive jamais chez quelqu'un les mains vides. Il est un peu trop bien habillé. Il est très bon en classe, il fait ses devoirs en dix minutes et ne refuse pas son aide, au contraire. Il a des choses à raconter, il a vécu au Brésil et en Afrique du Sud. Il a besoin d'un ami et il a choisi Thomas. Et c'est là que les choses se gâtent...
Ce matin-là , Antoine et Tony ont fait la course sur le chemin du collège. Mais au bout du trajet, ils ont continué. Ils ont envoyé balader leurs soucis. Pour Tony, la hantise de se faire expulser vers l’Ukraine. Pour Antoine, la peur de prendre une nouvelle dérouillée par son père. Tant qu’il leur restera une once de force, ils courront. Fatigués, mais terriblement vivants.
P'Tit Trois, Eddie, Min et Julie ne pourraient pas être plus différents, et en même temps plus amis. Ils partagent un catalogue de vente par correspondance, trois dollars à dépenser et un grand désir de découvrir le monde. Et quand, au lieu du revolver qu'ils ont commandé arrive une vieille montre qui ne fonctionne même pas, les quatre n'hésitent pas une seconde et partent vers Chicago pour récupérer leur revolver.
Au cours de leur voyage, ils rencontreront des tricheurs professionnels, des flics véreux, des méchants qui semblent gentils et des gentils qui ne le sont pas du tout... un crime non résolu et beaucoup, beaucoup d'argent...
On les appelle les EANA : les élèves allophones nouvellement arrivés. Ils viennent d’un peu partout. De Bulgarie, de Turquie, de Corée, de Grande-Bretagne ou, comme Luca, de Roumanie. Ils sont là pour un temps ou pour longtemps. Ils viennent avec leurs histoires, simples ou heurtées. C’est peut-être le travail de leurs parents qui les a amenés là , ou bien l’absence de travail. Parfois l’espoir, parfois l’absence d’espoir. Ils parlent un français dansant, boiteux, drôle. Ils portent des rêves puissants et fragiles, celui de devenir champion de Rubik’s Cube ou virtuose du violon. C’est pour toutes ces raisons qu’ils sont venus à Paris, dans la Ville lumière. Mais la lumière a aussi ses ombres.
« Douze février. On peut ruiner sa vie en moins de dix secondes. Je le sais. Je viens de le faire. Là , juste à l'instant. J'arrive à la porte de l'immeuble, une modeste baguette dans la main et la modeste monnaie dans l'autre, quand Merveille-Sans-Nom surgit devant moi. Inopinément. À moins de cinq centimètres (il est en train de sortir et je m'apprête à entrer, pour un peu on s'explose le crâne, front contre front). Il pose sereinement sur moi ses yeux sublimes. Je baisse les miens illico, autant dire que je les jette quasiment sous terre, bien profond, entre la conduite d'égoût et le tuyau du gaz.
Sa voix amicale résonne dans l'air du soir : - Tiens ! Aurore ! Tu vas bien ?
Je reste la bouche ouverte pendant environ deux millions de secondes, avant de me décider et lui hurler à la figure : - Voua ! Merdi ! »
Un soir de décembre à Châtillon-sur-Oise, Frédéric Legendre, douze ans, se retrouve seul sur le trottoir, devant chez ses parents. Il a pris la décision de partir. « Plutôt que de subir une pareille honte, je préférerais n'avoir jamais eu d'enfant », a dit son père après avoir lu son bulletin.
Frédéric passe deux nuits dans la cité voisine, puis se rend gare de l'Est et saute dans un train. Il a toujours rêvé de vivre à la campagne. Mais très vite, les gendarmes lui mettent la main dessus. Ils ont avec eux la photo d'un garçon, Ludovic Bernard, qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau et qui est parti de chez ses parents il y a trois mois. Ils conduisent Frédéric chez les Bernard... qui croient reconnaître Ludovic. Est-ce d'avoir eu si peur que leur fils soit mort ? Ils n'ont pas le moindre doute. Les parents, les frères, Annette, la petite soeur de Ludovic, tous le reconnaissent. Frédéric n'a pas le coeur de les décevoir. Il a l'impression d'avoir rencontré la famille dont il rêvait. Il choisit de se taire. C'est l'imposture la plus périlleuse qui soit et les premiers jours semblent les plus risqués. Frédéric doit « renouer » avec Bidou, le meilleur ami de Ludovic et saluer familièrement des gens dont il ne connaît pas le nom. Il doit s'inventer des aventures en mer, car Ludovic a envoyé des cartes postales juste avant de s'embarquer pour les Caraïbes. Et puis il y a l'école : il faut tâcher d'être brillant. En fait, Ludovic est un crack : un aventurier et un bon élève, un champion de Ping-Pong et un cavalier émérite... à part le vieux Darru, qui a tout compris, et qui sans cesse le gratifie de petites phrases comme « La corde du mensonge est toujours trop courte », Frédéric réussit à duper tout le monde. Il y a des avantages à vivre dans la peau d'un enfant prodigue et toutes vos faiblesses sont excusées d'avance. Frédéric est même écoeuré des faveurs et de l'admiration béate dont il est l'objet. Il en vient à détester Ludovic. Et c'est le moment que choisit Ludovic pour se manifester.
Si Jonas n'avait pas eu si peur que son ami Grégoire vienne chez lui et voie l'appartement dans lequel il vit, il ne lui aurait sans doute jamais proposé d'aller regarder les filles à la sortie du Lycée. Et Grégoire ne serait jamais tombé amoureux de Melle X, qui porte un manteau rouge et fume la pipe. Et rien ne serait arrivé. Peut-être que personne n'aurait découvert le secret de Berriau, le prof de latin que tout le monde hait.
Tout le monde sauf Jonas. Parce que Jonas a, lui aussi, un secret. Il sait que les gens sont faits pour vous surprendre, et les idoles pour vous décevoir. Il a aussi compris, en regardant brûler des cahiers dans la cour, un jour de mai, qu'il se méfiait des révoltes. Et qu'il était idiot de vouloir sauver quelqu'un contre son gré.